Chapitre 2

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Aujourd'hui c'était mes débuts de cours, cet endroit était immense, je m'y habituerai jamais. Le soleil passait par la fenêtre qui venait  se blottir sur mon visage endormi. Maryline dort encore, elle dormait tout croche, ses bras se tendait pas terre ainsi que ses cheveux. Je soupirais fortement pour me donner la motivation de me lever.
Je me demande si j'étais en mesure de la réveiller, est-ce que je devais ou pas? De toute manière il fallait que je la réveille. Avait-elle cour aujourd'hui? Je prend pas de chance, je la secouais doucement pour la faire bouger mais son corps raide et tirailler donne l'impression qu'elle est complètement morte. Je la secouais un peu plus fort cette fois-ci, elle donne aucune résultats. Cette fois-ci je lui met une claque, ça la fait sauter du lit. Ses cheveux étaient sur son visage qui recouvre ses yeux. Je me suis senti tout suite coupable d'avoir fait cela. C'était pas mon genre, je dois m'excuser.

"Qu'est-ce qui sa passe? Dit elle en se levant du lit, "pourquoi m'a tu frappé au visage?" Pour un réveil sa voix était toute autant aigu que la dernière fois.

"Euh... Tu n'as pas cour? Je pensée te réveiller pour que tu ne sois pas en retard." Bafouilla- je en croisant mes bras sur ma poitrine.

Elle me fixe un instant, cela me faisait peur, peur de perde la seule amie que je pourrais avoir, car j'ai eu l'idée de la réveiller en la mettant une maudite claque.

" Merci! Pour la première fois, je ne serais pas en retard. Tu m'as sauvé la vie" dit elle toute excité. Je soupirais en lâchant un "ouf"

" De rien, et vraiment désolé pour la claque." En prenant ma serviette pour aller prendre une douche.

" Ce n'est rien t'inquiète pas et merci encore"!
Je lui fais signe de la tête, je quittèrent la chambre pour allez prendre une douche. J'ai été surpris que mes parents ne m'ont pas placer dans la prestigieuse confrérie féminine. Comme ça je serais séparer des garçons comme le souhaitent-ils si souvent.

Je ne savais pas ou se situait les cours dans quel niveau du bâtiment. C'était très gigantesque quand même. Je me rappelle de James toute à coup, si seulement je pouvais le trouver, mais les chances que ça se produise est une sur des milliers d'élèves. Je n'ose pas demander au passant. J'étais devenu décourager, je rentrerai jamais dans le cours que je suis supposé me rendre. Je me rappelle de la bibliothèque où se trouvait, je me réfugièrent à l'intérieur. Je commençais à angoisser, j'essayais de me convaincre que ce ne qu'une heure de cours que ça n'allait rien n'aggraver. Cependant j'étais terrifié. Je prends n'importe quel livre au hasard pour passer le temps. Je n'arrive pas à me concentrer sur les mots. Soudain, une main se dépose sur mon épaule droite, je lève doucement la tête pour rencontrer les yeux de James qui s'illumine. Je me lève directement de ma chaise et lui fait une accolade.

" Merci! Mon dieu tu me sauve la vie. James tu pourrais m'aider s'il te plaît." J'étais impatiente qu'il me répond sans une seconde de plus. Son regard me répondait déjà à sa place, il m'accordait un léger sourire.

" Bien bonjour à toi aussi Mademoiselle Simmons." Son ton de vois était doux et sarcastique. "Vous allez bien?" Rajoute- il.

- Bonjour à toi James, j'en t'en prie ne prononce pas mon nom de famille ici, aussi fort, appelle moi Rebeca, et j'aimerais que tu m'appelle plus jamais madame, tutoie moi tant qu'a y être." Lui remarqua- je, son regard était surpris.

" Pourquoi avez- vous honte de votre nom de famille, vous êtes l'enfant, de John Si-"

"James. Arrête ça. Tu n'a pas besoin de savoir les raison à mes choix. Pour la dernière fois tutoie moi."
Ma voix était très ferme.
Je ne veux pas que mon nom gâche ma vie universitaire également que celle du collège, et du lycée.

Je suis libre avec lui.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant