Chapitre 1

512 20 3
                                    


Rebecca Simons, fille unique de John Simmons et de Charlotte Hale. J'ai dix-sept ans bientôt dix-huit. Je suis brune, avec des yeux noisettes, je fais exactement la taille de un mètre soixante- quatre. Les vacances sont finis et maintenant que j'ai également terminer le lycée, je dois aller à Londres pour l'université de Royal Holloway un des plus prestigieuse à ce lieu. Mes parents ont toujours été stricts sur l'éducation dans la famille. Il ont choisi un endroit où il faudrait porter un uniforme en tout temps . Je n'avais aucun regret d'y aller ou aucun inconvénient du choix de mes parents. De toute façon il y avait quasiment rien qui pourrait me faire hésiter à partir. C'est à dire, aucun ami, ou de petit ami. J'avais un frère mais il partait avec moi. Jusqu'à maintenant mes parents ont toujours pris des décisions pour moi. Tous ce qu'ils les intéressaient c'était que je réussisse à l'école pour que je devienne plus tard telle qu'eux, riche, et puissant, mais à mes yeux ceux-ci ne représentait rien. À l'école je ne jamais été populaire, mes parents m'interdisaient d'avoir des amis ou pire un copain. Rien devait me distraire.

J'étais sensé être une trophée à leurs yeux pour qu'ils sois fière.

Les gens ne faisait pas vraiment attention à moi, ils savaient qui j'étais, une adolescente riche et point barre. Certains me comparait à Paris Hilton, mais je n'étais pas blonde et je ne pas de petit chien que je promenais partout. Je ne suis pas célèbre, cependant mes parents ou plutôt mon père l'était. C'était le président de plusieurs marques d'entreprises, il faisait également partie des plus riches puissances des cinquante États. Il était énormément important au près de la société. J'étais apeurée d'être sa fille, sa unique fille, j'avais l'impression de marcher sur des ufs. Je n'a jamais eu le temps de m'amuser et de prendre de l'air, de sortir tout ce stress qui déborde en moi. Je me suis jamais plaint ou dit quoi que ce soit à mes parents de ma façon penser. Je me
contentais  de devenir muette, et d'obéir.

La plupart des mères sont tristes quand leur enfant part de la maison pour la fac, au contraire la mienne elle m'aide à faire mes valises en ce moment. Sympathique. Elle est rapide pour se débarrasser de moi, elle tourne en rond dans ma chambre depuis quelques minutes. Depuis que je suis enfant, à moins que je me souvienne elle ne m'a jamais prise  dans ses bras. Faire une preuve d'amour envers sa fille ou son fils était pas son point fort. Avec ses cheveux attacher serrer telle d'une queue de cheval. Elle s'habillait toujours comme une avocate. Elle me fixe avec ces yeux noirs qui reflète rien. Je lui ressemble cela n'a pas de doute, ma mère à des origines arméniennes, cela explique sa peau mate et douce. Ma grand-mère est une arménienne qui a épousé un touriste américain. J'adore l' Arménie c'est un beau pays avec une culture très décorée. Ma grand mère est venu s'installer ici avec son mari mort à la guerre du Vietnam. Ma mère n'avait qu'un ans. Ma mère à grandit sans son père, je crois que c'est une douleur qui n'a jamais été guéri. Avec le temps elle a commencé à fréquenter une école de personnes que leur parents étaient très influents. Elle plaisait à mon père mais elle n'était pas intéressé dans les débuts, les parents de John (mon père), lui ont proposé d'épouser leur fils en échange d'assurances de budgets scolaires, et d'argent.  En gros ils lui ont proposé de payé ses études universitaires. 

"Tu as tout t'es sûr, n'oublie pas tu reviens plus ici. Donc si tu oublie quoi que se soit je le jète à la poubelle. Jeune fille tu as compris?" Son ton était dur, et indifférent.

"Non, je me suis bien vérifier tout est là." Répétais-je avec une petite voix, cela sonne bizarre comme une poupée robotiser qui répétait sans cesse la même chose, je ne parle pas beaucoup.

"Alors prépare toi, je ne pas tout mon temps." Lance-t-elle en sortant sans m'accorder le moindre de regard. Je passe ma main dans mes cheveux, en soupirant. Ma mère ne se soucis pas vraiment de moi, j'avais l'habitude, elle veut que je sois parfaite aux yeux de tout le monde. Durant les ans de ma vie qui ont défilés, je me souviens pas un seul moment de joie, de rire en famille. Ça toujours été l'école à plusieurs reprise. Tous ce qui concerne les amis j'en ai pas. On raconte de moi, que je suis une fille trop parfaite, j'étais trop fragile, on me donne le surnom de l'intellos riche qui se prend au dessus de tout le monde. Il y en a qui voulait être mon amie, mais après je découvert que c'était juste pour mon argent. À personne ou un jour, j'ai montré mes émotions, et la douleur que je garde à l'intérieur. J'avais peur que le reste de ma vie se résume ainsi, exactement comme celle de mes parents. J'avais une vie mais j'étais pas la propriétaire. Je ne peux faire ce que je désire, quoi que je fasse ils étaient jamais satisfait, il fallait que dépasse les limites à chaque fois.

Je suis libre avec lui.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant