Je suis libre avec lui.

Chapitre 5

Aujourd'hui lundi, j'avais cour, je ne voulais pas y a aller parce que c'était le fameux cour ou Logan seras présent. Je ne pourrais pas une seconde supporter sa malaise en me regardant, en repensant à vendredi. Il seras complètement contrarier en me voyant, je serai perturber et je ne pourrais pas me concentrer sur le cour. Cependant imaginons qu'il se souvienne de rien, au plus profond de moi je voudrais que ce ne soit pas le cas, que cette soirée d'abandon sur nos rôles à jouer dans la vie, notre réputation, notre fortune familiale, nos péchés, soit effacé par quelques goutes d'alcool. Pour moi c'était des instants magiques qui contait à mes yeux, j'avais pas le béguin pour lui mais je me comprenais Je m'habillais comme d'habitude, mes cheveux bruns mon toujours plue, ce la seule chose que j'aimais chez moi, j'aimais la manière dont il tombe sur mes épaules, une telle précision sensationnel sur le contour de mon visage qui me rend un peu jolie sans maquillage. Je me souriait dans le miroir avant de m'en aller, un truc que j'adore faire pour me donner de la chance ainsi que du courage pour affronter la journée.

Arrivée en cour, Je déposais mes livres, m'assoyait aux milieux car en avant ça donne trop un air d'intellectuels avancé, un intello trop sur de lui, et un chouchou du prof. En arrière me faisait trop peur, faire des niaiseries en cachette, parler en même temps que le prof, lancé des papiers, tout cela pourrait me déranger, alors je me mettais entre les deux ce qu'on appelle les normes, les neutres. Deux filles étaient assises à mes côtés, je voulais que Logan occupe une de ses places, je voulais leur dire, que cette place était réservé. Mon cœur eu un choc quand je le vois dans la rangée en avant de moi à ma droite. C'était pas le qu'il était assise la sous mes yeux et non à côté de moi qui me donnais une émoi mais cette fille avec qui il rigolait à cœur joie. Chevelure rousse, sa peau d'une authentique teint, elle était juste magnifique, ce là que je remarquait que je me suis souvenue où je l'avais rencontré cette fille, ce t-elle qui avait écrasé ma main avec ses escarpins de haute couture par la compagnie de ma mère. C'était qu'un moment dans une chambre rien de plus, je me suis pris trop la tête, alors que lui, il m'accordais aucun regard alors qu'il savais impertinemment que je suis là. Le prof commença son cour alors je détourna le regard.

Après quarante cinq minutes de cour, il se tourna enfin pour me regarder. Il m'a fixé dix secondes comme s'il cherchait quelques choses dans mes yeux.

" Messieurs Monte Li pourriez-vous arrêter de fixer mademoiselle Simmons, et vous concentrez sur le cour s'il vous plaît?" Cette remarque très embarrassante du professeur, me mis dans l'eau chaude, Les élèves commencèrent à nous regarder. Les regards des élèves étaient rien à côté de celui de la rouquine à côté de Logan. J'étais pas très bonne en matière de repérer les regards de mort envers les gens mais celui qu'elle vient de me dédier était plutôt sinistre. Les gens retournèrent à leur occupation, Logan tournait doucement la tête. Mes joues s'enflamment à faire un feu de joie.

*****

- Vous savez, votre mère ne m'a pas engagé pour devenir votre meilleur ami.

J'avais convoqué Vin dans un café, je ne voulais qui me rend service. Ce n'est pas n'importe quel services, celui-là était très particulier. Aujourd'hui, j'ai décidé d'aller au cinéma avec lui. C'était une petite salle, les gens étaient pas beaucoup, ce normal on est un mercredi. Qui vas aux cinéma mercredi. En Californie je n'avais pas le temps de regarder la télé, alors n'imaginez même pas aller au cinéma. Vin était le seul qui accepterait sans demander compte.

Vin était un homme plutôt vieux, je dirais la quarantaine, il avait la carrure d'une personne doux mais à la fois sévère. Quand on était entré dans le cinéma, la fille au comptoir a crut que c'était mon père. J'avais aucune ressemblance avec lui, mais je ne voulais pas créer de malaise, qui croirait une jeune fille qui dit être amie avec un homme de quarante ans, si vous voyez ce que je veux dire alors je ne la pas contredit.