Madame Bovary, me pardonnerez-vous
D'avoir laissé rouler des larmes sur vos joues ?
Et me laisserez-vous embrasser votre main
Dont la douceur n'égale que votre parfum ?Me reprocherez-vous mes avances grossières,
Mes baisers maladroits, mes folies passagères ?
Garderez-vous pour moi le visage sévère,
Ou m'accorderez-vous des caresses légères ?Madame Bovary, choisissez plutôt Charles,
Et faites attention aux hommes qui vous parlent
En serrant dans leur main des roses sans épines,
Car l'amour n'est jamais tel qu'on se l'imagine...Ħeиrik
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Prosaïk
PoesiaIl m'arrive souvent d'imaginer l'enfer et d'écrire des vers, en m'allongeant par terre, dans l'univers obscur des démons qui m'inspirent et déchirent mon cœur... Henrik © [Tous droits réservés]