Princesse Redonne Moi Le Sourire.[ Réécriture]

Chapitre 3

Salem,
Un j'aime c'est gratuit ma belle.
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Je retrouve le bébé toujours entrain de pleurer, mais cette fois allongé seul sur le canapé... Elle est passée où l'autre ??

Je pose le lait sur la table avant de me mettre à crier le nom de l'autre folle. Aucune réponse.

Je cherche dans toute les pièces de la maison pendant que la petite pleure encore mais aucune trace de sa mère.

Je deviens fou la c'est pas possible. J'ouvre la fenêtre en criant son nom de toute mes forces.
J'ai trop la haine putain.

Un passant me regarde d'un air apeuré avec ses yeux jaune la. Un vrai blédard.

- TU VEUX QUOI TOI ! VASY MONTE QU'ON RÈGLE SA, M'écriais-je.

J'ai vraiment besoin de me défouler la je suis entrain d'étouffer.

Elle s'est barrée la Salope ! Elle a abandonnée sa fille, c'est quelle genre de mère sa ?

Elle est drôle si elle croit que je vais garder son enfant.
Je vais la chercher, la retrouver, la régler et la dégager avec son enfant.
Si tout ce qu'elle disait était vrai elle serait jamais partie.

Je vais chercher mon téléphone sans calculer le bébé qui ne se fatigue pas de pleurer. Elle s'arrêtera bien à un moment.
Je sais que si je la porte dans mes bras, je risque de la laisser glisser ou quoi tellement elle est minuscule.

Je me pose sur la terrasse et appelle Samir au bord de la panique. Il décroche à la troisième sonnerie.

- Ouai gros ?

- Sava ? Demandai-je d'une petite voix.

- Bien et toi ?

- Je suis dans un bourbier la Samir ramène toi avec Idriss chez moi.

- OK je vais lui dire on arrive, dit-il avant de raccrocher.

Je sais que si j'avais appelé Idriss, il ne m'aurait jamais laissé en paix tant que je ne lui aurais pas tout raconté. Et je n'en ai clairement pas la force maintenant.

Mon téléphone se met à sonner. Un numéro inconnu m'appelle.
Je déteste quand sa m'arrive mais je décroche comme même parce qu'on sait jamais qui sa peut être.

- Allô ? , Dis-je d'une voix calme mais tendue.

- Saïd c'est Marie je ne peux pas..

- FERME TA GORGE ET RAMENE TOI TOUT DE SUITE ! T'A CRU QUE J'ETAIS UN BABY-SITTEUR OU QUOI ? VIENT CHERCHER TON GOSSE AVANT QUE LA POLICE VIENNE TE CHERCHER TOI !

- Non s'il te plaît je ne peux pas, dit-elle en pleurant, Je n'ai pas d'argent pour subvenir à ses besoins, ma famille m'a rejetée. S'il te plaît comprend moi.
Il y a une chose qui est bien vrai Said, c'est le fait qu'elle soit ta fille. Tu as vraiment été ma première fois tu peux même faire un test de paternité mais crois moi. Elle a seulement 3mois prend soin d'elle je t'en prie.
Je reviendrais la chercher quand j'aurais suffisamment d'argent pour prendre soin d'elle je te le promet.
Je suis désolé Said vraiment.

- Et tu crois que j'ai le salaire à Neymar moi ? Ravale tes mensonge et viens vite avant que je...

BIP BIP BIP..

Putain elle a raccrochée. C'est pas vrai je peux pas y croire je peux pas avoir d'enfant maintenant c'est impossible.

Je réessaye d'appeler mais ils me disent que la ligne est indisponible. J'essaie encore et encore jusqu'à ce que la fatigue me prenne.

Je me prends la tête entre les mains, impuissant, seul avec un bébé dont je ne connaissais même pas l'existence il y a quelques heures.

Une envie de fumer me prend. J'ai arrêter cette merde il y a 2ans.
Avant cela, on vas dire que c'était la période "sombre" de ma vie. J'enchainais bêtise sur bêtise, je rendaient triste mais parents. Depuis, je me suis promis de plus recommencer mais la, mes parents vont tomber de haut.

Moi qui voulait être un exemple pour mes soeurs, je n'ai plus aucune crédibilité. Sa vas parler à fond dans ma famille.
Enfin si sa se sait car je compte retrouver Marie le plus vite possible.

Je retourne dans le salon et vois le bébé tranquillement entrain de dormir. Bah voilà je le savais bien qu'elle se fatiguerai.

La sonnette retentit , elle a vite fais demi-tour la Marie.

Je cours soulagé jusqu'à la porte d'entrée et ouvre pour découvrir les deux gros visages de Samir et Idriss en face de moi.

Bon je crois que je vais me jeter par la fenêtre la c'est bon c'est la fin de moi.
Je fais entrer les briseurs d'espoir avant de refermer la porte.

Ils sont à peine entrer qu'Idriss se mit à crier.

- J'AI FAIIIIIMMM.

- FERME TES POUMONS TU VAS RÉVEILLER L'ALARME, repondis-je paniqué.

- MAIS C'EST TOI QUI CRI LÀ !

- NON C'EST TOI !

Samir nous regardait sûrement en se demandant pourquoi il traîne encore avec nous quand on entendis des cris atroce provenant du salon.
J'ai directement su que c'était "l'alarme".

Samir et Idriss se bouchent les oreilles avant d'avancer vers le salon. Arrivés devant la petite, ils me lancent des regard interrogateurs.

- C'est qui ?, demanda Samir.

- Ah Ouai le negro fait du baby-sitting.

- Apparemment c'est ma fille les gars.

- Tu m'a fait venir pour sa ? , dit Samir d'un air neutre. C'est pas drôle et calme la petite wsh.

- Samir fait la tête du mec choqué, dis Idriss, c'est bon tu peux montrer la caméra Said. La blague elle était nul mais original t'inquete.

- Wallah c'est pas une blague les gars. C'est une pote de Ashley, ton ex Idriss qui l'a abandonnée ici. Elle a dit qu'on a passé la nuit de ton dernier anniversaire ensemble et que c'est ma fille la. Ensuite elle s'est tirée pendant que je faisais chauffer du lait. Je sais pas quoi faire la je suis à bout. En plus de base j'étais entrain de dormir putain.

Ils se sont assis sur le canapé, choqués. Samir prit la parole.

- Et depuis tout ce temps tu l'a laissé sans manger ??

- Elle s'était endormie, répondis-je.

- Elle peut pas boire dans le verre il est trop grand. Il faut un biberon.

- Ah d'accord t'inquiète j'ai tout le nécessaire dans mon tiroir magique.

C'est logique qu'il n'y ai pas de biberon chez moi. Il ne me calcule pas et et releva un peu la tête du bébé afin de pouvoir lui faire boire le lait.
Idriss essaye de faire sourire la petite avec son gros visage mais il lui fait plus peur qu'autre chose.

Mais lui au moins il essaye de servir à quelque chose contrairement à moi. Je me sens inutile, j'ai peur pour la suite.

Quand la petite redevient calme, Samir l'allonge puis se retourne vers moi.

- Elle s'appelle comment ?

- Heu.... Je m'en rappelle plus...

À suivre.