Princesse Redonne Moi Le Sourire.[ Réécriture]

Chapitre 1

Salem,
( Un j'aime c'est gratuit ma belle.)
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On est en juillet, j'ai pris deux semaine de vacances car mon boulot ne me permet pas d'en avoir plus. Je profite donc de mon repos confortablement allongé dans mon lit.
J'allume mon téléphone, il est 11h.
J'en profite pour répondre à quelques filles qui veulent me voir pour "Des cours de gymnastique".

Une douce odeur de poulet vient me chatouiller les narines.
Je sais déjà que Idriss et Samir sont là. Depuis que je leur ai donné le double de la clé, c'est la fête.

Ces deux là, se sont mes amis les plus anciens. On s'est connus en grande section et depuis on ne s'est plus lâchés. De vrais cancres depuis petits.On a donc le même âge.

Idriss est un sénégalais. C'est un "thug" aux yeux des filles alors qu'on sait tous qu'il bicrave des chips. Bref un éternel célibataire. Il travail au MacDonald.

Samir est un turque discret et fermé avec les gens qu'il ne connais pas mais avec un énorme coeur dans le fond. Il travail dans le garage de son père.

On a eu une bonne éducation dieu merci. Nous ne somme pas dans des trafics ou je ne sais quoi d'autre.

Bref je me suis donc directement dirigé vers la cuisine car mon ventre me cri famine.

- J'ai les crocs, dis-je en entrant dans la cuisine.

- Je savais, répond Idriss, je t'ai dit Samir même quand t'es dans le comma, tu sens le poulet tu te réveil directement. Bref allez fait péter mes 5 euros.

- Et c'est donc sur moi que vous faites vos expériences bêtes?, Demandais-je en les regardant s'échanger de l'argent.

- Bah oui faut bien qu'on connaisse les capacités de vos narines déployées hein Saïd déjà que vous mangez du poulet à 11h,dit Samir d'un air moqueur.

- Et vous il faut bien qu'on connaisse les limites de vos capacités de vol mais est-ce qu'on en parle même?

On rigole avant de voir Idriss en pleine concentration.

- Tu pense à quoi toi?

- Je savais que je devais aller en scientifique. Je sens mon intelligence qui grandit de jour en jour. Mais c'est vous qui la bloquez.

Bref je lance un regard désespéré à Samir qui fait de même.
On calcul pas l'autre dans ses pensées débiles la.
C'était le plus nul des trois à l'école, c'était celui que tu voyais jamais la.
Son père il l'a déjà emmené chez le médecin pour savoir si il y avait vraiment quelque chose dans sa tête.

Je prends une assiette et me sers à ma guise. Eh oui il faut bien se nourrir le reste je le règle à la salle.

Après avoir terminé de manger, je me dirige vers la salle de bain dans l'intention de faire ma toilette.
Dans le couloir j'entends des chuchotement comme " c'est bon il est partit ouvre la fenêtre gros", "sa bouche elle tue un toro la je suis choqué".
Mdrr les gamins tout sa parce que je ne me suis pas encore brossé les dents.

Bref je finis de me préparer je mets un jean's et un pull kenzo. Un peu de parfum et le charmeur est prêt.

- On bouge? Demandais-je aux deux autres qui regardent la télé.
- Ou? Répondit Samir.

- Non mais laisse, dit Idriss. Il s'est cru dans les films genre " On ira là ou le vent nous mènera".
Ils rigolent avant de se concentrer à nouveau sur la télé.

- Bah je pensais qu'on allait rencontrer de la femelle...

- Ne m'en dit pas plus! S'exclama Idriss en allant chercher sa veste.

Il changera jamais celui là.

Samir se lève donc d'un air désespéré en éteignant la télé. Il est moins dans ce délire la lui.

On quitte le joli appartement prêts pour la chasse.

Chez moi, c'est plutôt joli et spacieux.
J'ai emménagé il y a 6mois dans le but de devenir totalement indépendant.

Avant cela, je vivais chez mes parents. Ils ont quitté le Mali pour nous donner une meilleur scolarité.
Cependant ils parlent très bien le français.
Chaque mois je leur déverse une partie de ma paye.

Bref nous sommes dans le bus, chacun sur son téléphone a part Idriss qui ne range plus ses dents à l'idée de faire de nouvelles rencontres.

Une odeur difficile à respirer vient me piquer le nez, elle provient de l'arrière du bus.
Je me retourne donc et croise le regard d'une soeur noir accompagnée de sa bande de copine.
Il y en avait de toutes les couleurs. Elles faisaient énormément de bruits, leurs visage n'avaient pas connus la crème depuis très longtemps sûrement. Je ne veux pas dénigrer mes soeurs noir mais comment ne pourrais-je rien dire en voyant cela?

A la seconde ou elles m'ont vues me retourner, elles ont commencé à crier on dirais que j'étais un tacos.
J'entendais des "C'est le miens toi c'est celui à côté", "Mais non je suis polygame il y a quoi?"
J'ai vu que les gars aussi entendaient, on a éclaté de rire j'en pouvais plus. Maintenant les meufs sa s'invente des vie à ce points?

Bref on est sortis du bus toujours en rigolant.

- Calmez vos soeurs vous, dit Samir en plein fou rire.

On l'a même pas calculé on est partis faire les magasins.
Idriss et moi on en a profité pour prendre deux trois numéro de fille faciles.

Après tout cela finit, chacun est rentré chez soi.

Je suis confortablement installé dans mon canapé, entrain de parler avec ma mère au téléphone.

- Mon fils c'est quand que tu passe à la maison? Tu nous oublis la, me dit-elle inquiète.

- Mais non jamais maman, t'inquiète je passerai dans la semaine.

- Oui tu as interrait mon fils, sinon tu goûtera pas à mes beignets.

- Ah tu sais comment m'attirer toi, dit-je en riant.

Bref on a raccroché et je suis parti dormir un peu.

Je me fais réveiller par des coups sur la porte. La personne s'acharne littéralement sur ma porte qui n'a rien demandé..

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