Chapitre 18

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PDV Clara

TOC TOC TOC

Moi(avec une voix endormie): oui?

La mégère: Lève toi tu travaille aujourd'hui pff de toute façon tu ne sais que dormir je ne sais même pas pourquoi je t'ai acceptée dans la crèche.

Et elle dégagea. Vous vous demander surement qui est la mégère?

Hé bien c'est l'horrible femme qui me serre de belle-mère.

Ma mère est morte quand j'avais 7ans et mon père a  ramené cette femme du nom de Catherine. Mon père a disparut quelques temps après et on n'a plus jamais eu de nouvelle. Pourtant mon père était un homme respectable, grand avocat, il ramenait beaucoup d'argent a la maison. Des fois, pour me faire mal je suppose, Catherine me dit que mon père ne m'aimait pas qu'il m'avait abandonnée parce qu'il préférait encore dormir dans la rue plutôt que m'avoir, que je lui faisait honte etc.... Ses paroles me blaisait tellement que je finis par les croire. J'ai une haine terrible envers cet homme qui m'a lâchement abandonnée alors que je venais de perdre ma mère. Ma mère elle était très douce, toujours la pour moi, et très belle, tout le contraire de cette femme avec qui mon père m'a cruellement laissée.

Ma mère aimait beaucoup les enfant, choses qu'on partage. Mon père lui avait acheté une crèche il y a longtemps et a sa mort, il a donné la crèche a Catherine, elle en est maintenant directrice.

Du haut de mes dix-huit ans, j'y travaille déjà.  J'ai du arrêter l'école il y a un ans pour aider Catherine a payer le loyer car selon elle je cite: Tu vis aussi dans cette appartement alors pourquoi tu ne paierai pas? De toute façon si tu ne le fais pas tu sais que la rue sera ta nouvelle maison.

Pff j'ai tellement rêvée du prince charmant qui viendrait me sauver que j'en suis fatiguer.

Mais parents m'ont donnés le nom de Clara.  Je mesure un mètre soixante dix et j'ai de longs cheveux brun ondulés. je possède de grands yeux bleus et un corps normal ayant les courbes la ou il faut. 

Bref je me lève et vais faire ma toilette. Je me vêtis d'une chemise blanche et d'un jean normale.

Un peu de mascara et un rouge a lèvre rose suffisent a mettre mon visage en valeur.

Je cours dans la cuisine, prends une pomme en vitesse et sors de l'immeuble toujours en courant essayant d'attraper le bus. Je le rejoins juste a temps et monte a l'intérieur essoufflée.

Arrivée a la crèche, je rentre dans le bureau de Catherine.

Catherine: Tu n'arrive que maintenant?  vas me chercher un café.

Je n'ai vraiment pas la tète a me disputer avec elle. Sa me rappelle la première et dernière fois qu'elle a levé la main sur moi, ce jour la j'ai pris mon courage a deux main et j'ai fuguée. Elle m'a retrouvée et depuis ce jour elle n'a plus osé me toucher.

Je suis partie en furie lui prendre un café au rez de chaussé et au retour j'ai préférée prendre les escaliers donc j'ai mis toute la colère que j'avais contre cette vieille mégère sur la porte.

Oups.. il y avait un magnifique gars derrière  cette porte qui avait le visage tout rouge. Quand ses yeux ont virés d'un merveilleux vert au rouge j'ai crue qu'il allait me couper en morceau.

Lui: QU'ESC CE QUI TE PRENDS DE ME FAIRE BOUFFER LA PORTE? VAS Y BOUGE AVANT QUE JE NE M'éNERVE.

En fin de compte magnifique que quand il a la bouche fermer le gars.

Je suis timide certes mais quand on me parle comme une chienne je ne supporte pas.

Je pris tout mon courage a deux mains, deux pieds , deux fesses et je lui renversa tout le contenu du verre c'est a dire le café, cette chose dégueulasse que je n'ai jamais réussi a avaler et lui balança:

Moi: La prochaine fois t'y réfléchiras deux fois avant de mal parler aux fille connard.

Et je me mise a courir en montant les escaliers. Je ne m'arrêta pas par hasard au troisième étage.

Je pris le grand couloir et continua ma cours en zigzaguant. Je courus dix fois plus vite au dernier virage afin de prendre un peu d'avance et je m'enferma dans un placard a balais qu'on ne voyait pas. Il avait une porte de la même couleur que le mur avec une minuscule poignée qu'on ne voyait a peine. Je me rappelle qu'a l'époque ou maman était la directrice, je m'y cachais avec mon meilleur amis qui avais mon âge. Je ne me rappelle même pas de son nom. A l'heure qu'il es, il doit m'avoir oubliée et faire sa vie heureux.

Bref le mystérieux gars sexy mais nerveux cria un "SALLE CONASSE" et s'en alla.

Je retourna chercher un autre café et partis dans le bureau de Catherine qui me fit remarquer que j'avais pris du temps et m'expliqua que je travaillerai avec les tout petits.

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Alors avis????

Clara en photo.

Bisoux a tous mes lecteurs chéris    

  


Princesse Redonne Moi Le Sourire.[ Réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant