Chapitre 7:

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Après une semaine bien remplit d'apprentissages et de devoirs, il me fallait absolument se week end pour faire une pause. Il est 10h et je n'ai toujours pas bougée de mon lit... 10h30, 11h... pas bouger...11h30, je décidais enfin, avec force, de me levée malgré le confort moelleux que pouvait procurer un matelas et une couette. Une mâtiné relaxante et paisible venait de passé à la vitesse d'une étoile filante. Ce week-end là, je l'avais bien mérité c'est sûr, pour faire une pause, c'est sûr, pour me relaxer, c'est sûr... Mais ce samedi après midi était bien trop ennuyeux à mon goût; j'essayais de ne pas y pensée en dessinant, une de mes activités favorite pour tous dire. Mais cela n'y faisait rien... Je m'ennuyais... Quelques chose dans ma tête ne voulais pas se concentré sur l'activité en cour... Trop occupé à penser... À penser fortement, et seulement à autre chose... Une chose qui n'allait pas s'effacer d'aussi peu... Une personne particulièrement... Cette personne qui prenait la place dans mon esprit, et qui désavantagé ma concentration sur mes actions mises en places pour passé le temp qui était long et qui ne faisait que ça... S'agrandir... S'agrandir chaque minute, chaque seconde ! Cette parcelle de temp qui s'allongeait comme il le voulait quand il le voulait pour enfin prendre une place dans notre vocabulaire : "L'ennui". Je finis par abandonnée, me levant de ma chaise en attrapant mon téléphone et mes écouteurs. J'étais vexé... Vexé qu'il m'ai rattrapé... Vexé que l'ennuie est pris le dessus. J'eu donc l'idée de sortir de ma tanière et de prendre l'air pour occupé cet horrible ennui.

À écouter du piano dans mes oreilles, je marchais lentement dans la forêt qui menait à un grand parc. Je marchais lentement, pour faire passer le temp, qui lui aussi, était lent comme une seconde qui se prenait pour une minute.
Il faisait beau, assez pour que je sois sortis en sweat. Le soleil était à la fois présent et à la fois caché derrière les nuages. L'air était doux, ni trop chaud ni trop froid, la température idéale pour une saison de printemps.
Dans la forêt, le soleil arrivé avec difficulté à traverser les feuillages des arbres qui recouvrait le dessus du chemin en terre, arrivant parfois à trouvé une faille entre elles, laissant paraître un faisceau lumineux se dessiner sur le sol. Un trait droit et clair qui ne réchauffé seulement cette parcelle de terre qui la touché. La douce mélodie du piano s'harmoniser parfaitement avec cet atmosphère.
Arrivant sur le lieux prévue, je regardais se qui m'entourais pour trouver un endroit où me poser. Ne voyant aucun banc libre aux allant tour, j'opte pour l'herbe verte et épaisse qui occupé tout l'espace. Je m'allongeais dans celle-ci en posant une main en dessous de ma tête pour en faire un oreiller. Le ciel était en train de se dégager de ses nuages qui formé des dessins plus extravagants les uns que les autres et le soleil effleuré mon visage tous en y posant une chaleur agréable. La combinaison des notes de musique paisible du piano et du soleil me relaxé beaucoup... Jusqu'à me faire fermer les paupières et de m'endormir.

Je ne sais pas... Je dois sûrement dormir depuis quelques minutes... 10 minutes peut être... 20... 30... Umphf.
Pendant cette question sans réponse, je sentis un changement de température sur mon visage... Du frais... Comme si la boule rouge s'était caché ou qu'une hombre me cacherais d'elle. Je n'ouvrais pas les yeux sur l'instant, pensant que le soleil me faisait des siennes... Mais j'avais tort. Quelques secondes après cette fraîcheur ayant apparu sur mon visage blanc et clair, une voix se fit entendre juste au dessus de moi.

- fait attention à ne pas prendre de coup soleil.

Je sentis comme un sourire se former sur cette voix sans visage. Un peu surprise, je fis un petit sursaut des épaules et décidais avec curiosité, d'enfin ouvrir les yeux d'un sommeil qui devenait sans fin. Pensant apercevoir le ciel bleu avec des nuages revenants, une forme sombre était au dessus de ma tête... En me concentrant plus sur "l'objet", celui-ci ressemblé à un visage masculin au trait clair et lisse, les yeux grands et colorés et des joues aussi rosés qu'une Aster (fleur rose pâle).
Je fronçais les sourcils comme pour démontrer une interrogation et me relevais, me mettant en tailleur pour examiner plus attentivement cet individu au visage bien tracé et bien beau: c'était Kentin.

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⏰ Dernière mise à jour : Apr 14, 2017 ⏰

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