Une routine Chambouler

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-Mais qu'est-ce qui vous prend bon sans de vous ?!

Il ne répondit pas à ma question et nicha sa tête dans mon cou. Je pica un far monstrueux essayant par la suite de le repousser quand je remarquai qu'il était brûlant. Inquiète je lui relevaient la tête et posai ma main sur son front. Il est si chaud.

-Vous avez de la fièvre.

J'essayai de me lever en le poussant mais il n'en fit rien.

-Laissez moi vous soigner vous êtes brûlant.

-Non, a-t-il murmurer, laisse moi dormir

-Non... vous êtes malade, ai je déclaré avec insistance.

-T'occupes et laisse moi... dormir...

Ne pouvant faire plus je pris la décision de le laisser faire comme il lui plairait jusqu'à qu'il s'endorme. Avachi sur moi je nous fis rouler de sorte à ce que je me retrouve au dessus de lui.

Une fois de nouveau libre de mes mouvements je dessendis du lit avec prudence et allai chercher une serviette et de l'eau fraiche pour calmer la fièvre. Je posais la serviette humide sur son front avant de regarder en direction de la fenêtre.

-Il commence à faire nuit... fis-je la remarque à moi même.

Je regardai Paul dormir à mes côtés et ne pus m'empêcher d'être attendris par son visage endormi. Je lui caressais les cheveux avec douceur et me mis à veiller sur lui.

******

Paul ouvrir de nouveau les yeux seulement le l'an demain. Encore plonger dans les brumes du sommeil il se releva doucement quand la serviette lui tomba sur les cuisses une fois qu'il fut en position assise.

Il regarda d'un mauvais oeil la dite serviette comme si elle était responsable de tout ses malheurs avant de regarder en direction de sa "prisonnière" qui avait veiller sur lui jusqu'à tomber de sommeil.

-Réveilles-toi, dit-il en la secouant légèrement.

La jeune fille remua dans son sommeil avant d'ouvrir grand les yeux la peur pouvant s'y lire facilement.

-Vous vous sentez mieux ?!

Paul regarda Mathilda d'un drôle d'air.

-Pourquoi cette question ?

-Vous aviez de la fièvre hier soir.

-Hum..., énonça-t-il en hochant de la tête.

Mathilda soypira de soulagement et souria au jeune homme.

-Tu es vraiment une fille étrange, remarqua-t-il.

-Ah bon vous croyez ?

-Je ne crois pas... j'en suis sûr.

-Si vous le dites.

Le calme se fit un instant dans la pièce avant d'être briser par la jeune fille aux cheveux blonds:

-Que faites-vous ici ? Une personne aussi au grader que vous ne devrait pas être ici.

-Je ne suis pas ici par choix.

-Et pourquoi l'êtes-vous ?

-Cela ne te regarde en rien, déclara-t-il d'un ton ferme clôturant la discutions.

Paul se leva du lit et sortit de la chambre laissant seul Mathilda.

*******

Cela fait maintenant un mois que Mathilda a été enlever de chez elle et pas une seule fois n'a-t-elle essayé de prendre la fuite. C'est pour dire que le jeune homme mystérieux âgé de 20 ans qu'était Paul l'attirait et l'intriguait en même temps. Elle ne savait pas trop pourquoi mais Mathilda avait l'impression de connaître l'homme et cela depuis longtemps.

Cette impression ne la quittant jamais la blonde posait toujours les mêmes questions: "Que me voulez-vous ?" " Nous sommes-nous déjà rencontrés ?" ce qui installa une certaine routine entre eux deux. Mais aujourd'hui quand le solda rentra chez lui Mathilda l'attendait devant la porte l'aidant à ce débarrasser de sa veste avant de l'interroger.

Le soldat ne lui versa même pas un regard et se dirigea en direction de la cuisine se servant un verre d'eau.

-Il y a quelque chose pour toi dans ma veste.

Intrigué Mathilda fouilla dans la poche du solda et y trouva un petit boitier en velour. Quand elle l'ouvrit elle vit une petite broche en or orner de petite pierre rose la faisant briller de mille feu. Elle ressemblait à une fleure de cerisier.

-Mais... C'est...

-Une fleure de cerisier: Sakura

-Comment... ?

-Comment est-ce que je sais que c'est ta fleure préférer... Je le sais parce que je te connais tout simplement.

Mathilda s'écroula sur le sol sous le choc et l'émotion les yeux écarquillés. 'Ce n'est pas possible el ne peut pas' pensa-t-elle.

-Mais quand... Sommes-nous de la même famille ?

Interloqué le jeune solda fit tomber son verre d'eau qui se brisa sous l'impacte avec le sol froid.

-M... mais qu'est-ce qui te fait dire ça...

-C'est vous... "Je le sais parce que je te connais tout simplement"... Cela prête à confusion. Alors répondez moi... Est-ce que nous nous connaissons ?

Paul regarda Mathilda dans les yeux. Bleu azur contre jaune whisky.

-Tu le sauras au moment voulu...

Puis il quitta la pièce sans demander son reste en laissant à Mathilda la responsabilité de ramasser les morceaux de verres.

Souvenir du passéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant