Souvenir du passé

Une visite surprise

Aujourd'hui est un jour de pluiset nous sommes en fin de soirée. Les derniers promeneurs ce dépêchaient de rentrer chez eux pour ne pas enfraindre le couvre feu. Dans l'ombre ce dressait une silhouette qui marchait d'une démarche conquérante dans les sombres rues de Paris. L'ombre s'arrêta subitement devant une maison en brique et s'abrita sous le perron de la maison avant de porter son doigt en direction de la sonnette et d'y sonner pressant sondoigt sur le bouton. Le bruit de la sonnette retentit. Elle attendit quelques minutes avant que la porte ne s'ouvre sur Paul.

-Toi, sursura-t-il abasourdi, mais que fais-tu là ?

L'ombre regarda le jeune solda d'un aire amusé avant de rompre le silence de la ville parlant de sa voix grave et de manière assurer.

-Tu ne me laisse pas entrer ? Mais où sont donc passer tes bonnes manières, demanda-t-il avec une pointe de sacarsme dans la voix.

Paul se décala, à regret, de la porte invitant de ce fait l'inconnu, pas si inconnu que ça, dans la maison.

-Viktor...

-Ravie de te revoir mon chère cousin.

Viktor sourit.

-Tu n'as pas répondu à ma question, réplica Paul.

-Plaît-il ?

-Que viens-tu faire ici ? Demanda-t-il.

-Ce je font les bons cousins, prendre de tes nouvelles.

-Arrête de te foutre de moi !! Cria subitement Paul faisant légèrement sursauter son inviter de surprise. Je vais te le répéter une dernière fois, il marqua une pause avant de reprendre de manière lente et d'un ton froid. Que viens tu faire ici ?

-Tu commences à te faire vieux mon chère cousin, déclara-t-il sous le ton de la rigolade avant de reprendre sérieusement. On te demande ou plutôt le Führer te demande.

Paul parti surprit. Et il y avait de quoi. Que peut-il bien se passer en Allemagne pour que le Führer lui même recommande ou encore edgise sa présence ? Une peusante atmosphère se fit ressentir dans la pièce. Trop occuper à leurs sombres pensées Paul et Viktor ne firent pas attention à leur entourage ne remarquant pas la présence de Mathilda qui se cachait derrière la porte entrebâillée.

La jeune fille resta là à écouter leur discution avant de retourner dans leur chambre commune.

Allonger sur le lit Mathilda décida d'attendre le retour de Paul pour chercher des réponses à toutes ses questions qui la bousculait. Ses pensées étaient confuses: 'Que va-t-il faire ? Combien de temps nous reste-t-il ? Va-t-il me laisser ici, seule ?'

Mathilda commença à froncer les sourcils face à la tournure de ses pensées.

-Tu ne dors pas encore ?

Mathilda sursauta n'aillant pas entendu Paul arriver.

-Non je n'avais pas sommeil...

-Hum...

Paul s'approcha du lit avant de s'y allonger au côté de Mathilda.

La jeune fille blonde était en quête de réponses. Elle voulait savoir ce qui adviendrait d'elle, de lui, d'eux. Mais le blond ne semblait pas vouloir faire quoi que se soit.

-Vous n'avez rien à me dire, a-t-elle demander rompant de se fait le silence qui c'était établis entre eu.

Vu qu'elle était de dos Mathilda se tourna vers Paul.

-N'allez-vous pas retourner en Allemagne ?

Le solda regarda la jeune fille dans les yeux.

-Tu m'as espionné, fît-il en plissant des yeux.

Cette phrase sonnait plus comme une certitude qu'une simple question. Mais Mathilda ne pût s'empêcher d'y répondre.

-Cela n'en était guère mon intention, a-t-elle dit sur la défensive, je vous avez entendu élever la voix depuis la chambre et c'est inquiète que je suis allée voir ce qui se passait.

Mathilda ne pût s'empêcher de rougir face aux aveux qu'elle venait de faire.

-Donc entre autre tu as écouté au porte sans vraiment le vouloir...

Elle hocha de la tête.

-... Et maintenant tu me demande ce que je conte faire.

-Oui, déclare-t-elle les yeux brillant plein d'espoir.

Paul soupira.

-Je ne sais pas vraiment. Le Führer me demande pour dans deux semaines mais je ne veux pas te laisser ici.

Le cœur de Mathilda se mit à battre à tout rompre et pour la première fois depuis son enlèvement le solda se confia à elle.