Le cauchemar vient juste de commencer

139 7 0
                                    

Cela fait maintenant une semaine que Paul est partit en Allemagne laissant derrière lui Mathilda. Cette dernière n'est plus que l'ombre d'elle même ce demandant pourquoi ne l'a-t-il pas prévenu pour son départ ? Que va-t-elle devenir sans lui ?

En seulement deux mois le jeune solda avait réussit à rendre dépendante de lui Mathilda. A la faire tomber amoureuse de lui. Cette contestation la fit frissonner d'effroi.
Elle décida de s'occuper l'esprit en allant cuisiner quand on sonna à la porte. Intriguer elle partit ouvrir la porte. Devant elle se tenait deux hommes en uniformes.

-Mademoiselle vous êtes prié de nous suivre calmement et il ne vous sera fait aucun mal.

-Qui êtes-vous ?

L'homme de gauche ne pris guère le temps de lui répondre et la pris de force par le poignet rapidement aider par celui de droite quand ils la virent se débattre.

C'est avec une peur non feinte que la jeune femme aux cheveux d'or se rendit compte de ce qu'il lui arrivait. La Guestapo venait d'apparaitre chez elle pour l'emmener elle ne savait où. Les deux hommes durent porter la jeune femme pendant la monter de deux avenue avant de la jeter comme une mal propre, un animal dans unes de leurs voitures.

Mathilda se releva avec difficulté et s'approcha d'une des vitres du véhicule. De là où elle était elle put observer trois autres voitures du même genre que celle où on l'avait emmené de force. De la où elle était elle pouvait entendre les cris et les pleures des autres passagers.

-Mais où ai-je atterri...

Le moteur se mit à chanter de sa voix grave (roque) avant que la voiture ne roule.

Mathilda ne savait pas exactement combien de temps c'était écouler depuis son départ mais une fois arriver à destination on la prit de nouveau violemment par le bras et l'emmena dans un des wagons qui de l'extérieure comme de l'intérieur ressemblait à des cages d'animaux. A travers les barreaux s'échappaient des bras maigres et pâles comme la mort, des cris et des pleures se faisaient entendre de la où elles se trouvait.

Effrayé par tant d'horreurs, Mathilda fut emmenée à l'intérieur d'un des wagons. Une fois sur place elle fut prise d'haulle cœur. Sur le wagons fait en bois, se trouvait des traces de griffures. Des corps d'hommes, de femmes et d'enfants de tout âges jonchaient le sol. C'était affreux. Des personnes terrorisés, essayant de faire taire le bruit en se bouchant les oreilles, se balançant d'avant en arrière tout en chantant dans leur tête. Toutes ces personnes avaient déjà, depuis longtemps perdu la raison. 'Mais où ai-je été emmener ? Pourquoi nous ? Quel crime avons-nous commit pour être traité ainsi ?' Terrorisé Mathilda se cacha dans un coin en position fœtale .

La porte des wagons se referma plongeant leurs occupants dans le noir le plus total et la chaudière se mit à hurler annonçant le départ des passagers vers un lieu inconnu.

Les derniers c'étaient tus lasse de tout cela. On pouvait lire dans leur regard qu'ils étaient résignés. Qu'ils étaient fait à leur destin communs. Celui de mourir. Après tout, pourquoi s'accrocher à la vie final c'est la même chose pour tous. La mort les attendra les bras ouverts après avoir accomplie son ignoble travail. Celui de faucher les hommes pour ensuite les emmener avec elle dans le royaume des morts.
Mathilda observa toutes ses âmes en peines, elle aussi résigné sur le fait de sa mort prochaine.
C'est ainsi, la mort dans l'âme qu'elle ferma les yeux pour une duré indéterminée, pour elle, essayant d'oublier le présent en s'enfermant dans ses rêves.

Souvenir du passéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant