Une fabuleuse aventure

Chapitre 2 : L'exploration

Je me réveille doucement mais ma jambe me brûle, j'ouvre les yeux mais la lumière me fait mal. Oh ! C'est vrai j'ai pas fermé les rideaux avant d'aller me coucher hier soir et le soleil tape sur ma jambe. Je prends mon téléphone qui est en train de charger sur ma table de nuit et il indique seize heure trente. Quoi ? Déjà ? A cause du décalage horaire j'ai gâché ma première journée aux États Unis. Je m'habille rapidement, je mets une jupe patineuse  rouge bordeaux avec un tee-shirt rose pâle, je me maquille légèrement avec un peu de crayon noir sur les yeux et mon rouge à lèvres rouge, je mets des chaussettes et enfile mes chaussures des doc Martens rouge bordeaux. J'attrape une petite veste noir à côté de la porte d'entrée et prends ma clés que j'ai laissé dans le pot à côté de la porte. Je la glisse dans mon sac et prends mon téléphone, j'ai un message de mon père : "Coucou chérie je suis parti au boulot, comme tu n'as pas encore le permis et que tes cours commencent demain je t'ai laissé de l'argent sur le comptoir pour que tu puisses aller faire les boutiques. Pense à passer à la banque pour échanger ta monnaie française. Bonne après-midi. Et je rentrerai pas tard mais commende à dîner, ce que tu veux je t'ai laissé plusieurs menu choisi et commende. Bisous." Je prends le billet de vingt dollars et sors de la maison. Il fait chaud, je sors de mon sac à main mes lunettes de soleil. Je marche assez vite car je veux trouver un centre commercial rapidement comme ça je pourrais faire quelques courses pour ne pas être obliger d'acheter des plats à emporter pour notre premier dîner ensemble dans notre nouvelle maison. Je trouve enfin le centre commercial. Il est gigantesque, je pense que je vais me perdre. Je me promène de boutique en boutique mais je ne trouve pas grand chose. En me promenant j'aperçois une boutique qui est très présente dans les livres que je lis. Karl Marc John, je rentre presque en courant dans la boutique. Les portants sont tous remplis de la dernière collection. C'est classique mais j'aime bien ce style, ça me rend classe. Je sors avec trois poches à la main, je me suis achetée une robe patineuse rouge bordeaux avec des manches trois quarts avec le col haut devant et un peu plus décolleté dans le dos, je me suis aussi achetée des nouvelles chaussures imitation Vans rouge bordeaux, deux tee-shirts, un sweat-shirt à capuche gris foncé et un pantalon slim noir avec un trou aux genoux. Après avoir fais les courses je me dirige vers le Starbuck du centre commercial, je me prends un chocolat chaud avec de la crème à la cannelle (je n'ai jamais goûter mais bon il faut une première fois à tout). Mes bras me font mal à cause des sacs que je porte. En marchant je me rappelle que j'ai fini tous les livres que j'ai pris pour l'avion alors il m'en faut des nouveaux. J'aperçois une librairie qui a l'air plutôt pas mal. Je rentre après avoir fourrer mes poches dans mon sac. La sonnette retentit quand je pousse la porte. Il n'y a pas l'air d'avoir quelqu'un, cette boutique est petite mais elle contient beaucoup de livre. Je m'avance dans le magasin pour voir s'il y a quelqu'un. Mais il m'a l'air complètement vide. J'entends une voix qui me rappelle quelqu'un, mais non ça ne peux pas être lui. J'entend que la voix se rapproche, non je veux pas savoir je ne veux pas le voir. Je fais demi tour assez rapidement et sors de la boutique, je me mets presque à courir pour rentrer au plus vite chez moi. Puis quand j'arrive chez moi je monte dans ma chambre et m'écroule sur le lit. Je rêve de le revoir depuis l'année dernière, je pense à lui chaque minutes, chaque secondes. Je le vois partout, c'est aussi pour ça que je suis partie aux Etats-Unis pour ne plus risquer d'être dans le même état que la dernière fois qu'il m'a laissé, ma vie était réduite à le chercher sur internet sans manger et sans dormir, vous vous souvenez quand je vous ai dit que j'avais déjà vécu le chagrin d'amour bah c'était lui. Je parlais de lui tout le temps et sa ennuyer mes amis surtout mon meilleur ami Guillaume, je l'ennuyait a toujours parler du passer. Donc au fur et à mesure du temps on c'est éloigner et il a arrêté de me parler, de me dire bonjour, de me demander si j'allais bien, j'ai plus aucun contact avec lui à cause du passer et aussi à cause de sa copine qui contrôle ses actes, ses pensés et ses fréquentations ce qui veut dire plus de Céleste en gros sa copine m'a mis à la poubelle. Après avoir ressasser le passer je décide de prendre un bain pour me relaxer. Je mets le CD des frero delavega pour un petit rappel français dans ma nouvelle vie totalement américaine. Après mon bain je descend à la cuisine pour commencer à préparer mon plat préféré que mon père aime presque autant que moi, soit de spaghetti à la carbonara. OK, c'est pas totalement la vrai recette mais c'est la mienne avec des lardons, de la crème, des oignons, du jaune d'œuf et du persil. Une demi heure plus tard le repas est prêt et mon père n'est toujours pas rentrer, je commence à m'inquiéter pourquoi il n'est pas encore la ? J'entends la porte s'ouvrir et je me précipite vers elle mon père est au téléphone et il rigole très fort. Il m'embrasse furtivement sur le front et monte à l'étage sans même me laisser le temps de dire quelque chose. Je suis vexée qu'il ne m'ai pas demandé comment c'était passé ma journée ou ce que j'ai fais aujourd'hui. J'ai fais à dîner pour moi toute seule ou je dois juste attendre que M. Thompson veuille bien m'adresser la parole. Je m'assois à table seule devant un couvert qui ne sert à personne. Je mange, je lave mon assiette et mes couverts (on a un lave-vaisselle mais je pensais que je pourrais peut être voir mon père si je mettais plus de temps mais non raté je ne l'ai pas vu), comme mon père n'est toujours pas descendu je décide de retourner dans ma chambre. J'entends mon père éclater de rire toutes les deux minutes, c'est assez énervant sachant que moi je ne peux appeler personne, vivement la rentrée que je puisses me faire des amis. Je m'étale sur mon lit après mettre brosser les dents. Je crois que le décalage horaire me fatigue beaucoup.