LAURENT ALLUME LA TELE , CHANGE DE CHAINES , PUIS ETEINT LE POSTE ; IL PREND UN LIVRE , MAIS N' A PAS ENVIE DE LIRE ; IL PENSE A RIEN , A LUI , A ELLE . IL NE VEUT PAS DORMIR CAR IL N' A PAS ASSEZ SOMMEIL . MAIS QUE FAIRE ? IL FAIT A PEINE NUIT ...
PUIS , IL ENTEND LA PORTE QUI S' OUVRE . ELLE APPARAIT DEVANT LUI , ENCORE ELLE . LAURENT , SURPRIS , N' A PAS LE TEMPS D' ALLUMER LA LUMIERE MAIS IL L' A RECONNU A SA SILHOUETTE , A PEINE DISSIMULEE DANS L' OMBRE , ET AUSSI GRACE A SON PARFUM « COCO « ENVOUTANT . CORINNE NE LAISSE PAS LE SILENCE S' INSTALLER , ET REFERME LA PORTE , PUIS S' APPROCHE DE LUI , ENLEVE SA ROBE DE NUIT , NE LAISSANT VOIR SUR ELLE QU' UNE COURTE CULOTTE BLANCHE A POIS VERT .
- « VIENS LAURENT , PREND MOI ! JE N' EN PEUT PLUS !! PREND MOI ! «
ALORS , POUSSE PAR UN DESIR DE PLUS EN PLUS PRESSANT , LAURENT NE SE FAIT PAS ATTENDRE ET LA PREND DANS SES BRAS POUR L' EMBRASSER , LA BAISER D' UN MOUVEMENT MALADROIT AVEC SA BOUCHE ; MAIS ELLE AIME ; ELLE ADORE ; ELLE EN VEUT PLUS . ALORS , LES LEVRES DU JEUNE HOMME EFFLEURENT LA PEAU DOUCE DE CORINNE AVANT D' ARRIVER SUR SES SEINS QUI POINTENT DE PLAISIR ; IL MORDILLE SES TETONS , ET ELLE , DELICATEMENT , CARESSE LES CHEVEUX DE LAURENT QUI N' EN PEUT PLUS ET BALADE SES DOIGTS SUR LE CLITORIS DE LA BELLE QUI GEMIT .LE JEUNE HOMME LA RENVERSE SUR LE LIT , TROP ETROIT , MAIS PEU IMPORTE . CORINNE L' ENCOURAGE , LE POUSSE A L' ACTION :
-« PREND MOI ...S' IL TE PLAIT !! PREND MOI ! «
LES CRIS DE CORINNE DEVIENNENT DE PLUS EN PLUS STRIDENTS ; SON CORPS TRANSPIRE ; SES JAMBES FOURMILLENT ; SES REINS SE TORDENT TANDIS QUE LUI LA PENETRE ; ENCORE PLUS FORT TANDIS QU' ELLE GRIFFE SAUVAGEMENT SON DOS ; PUIS IL LA RETOURNE , TANDIS QU' ELLE , TOUJOURS PLUS EXCITEE , S' AGRIPPE A LA BARRE DU LIT , SE LAISSE RENTRER PAR LE SEXE DE LAURENT QUI , DANS UN VA- ET- VIENT INCESSANT , NE CESSE DE SE RAIDIR JUSQU ' A L' EXTASE , A PEINE MESURE PAR L' INCONGRUITE DU LIEU .
UNEDEMI-HEURE , PRESQUE UNE HEURE DE PLAISIR CHARNEL QUE LES DEUX AMANTS PARTAGENTCOMME SI IL S' AGISSAIT D' UNE PREMIERE FOIS MAGIQUE (...)
