L'anéantissement de la confrérie des sang-mêlés

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L'aurore prenait place pour chasser le nuit,dans la forêt pas un bruit,des arbres ,des animaux la vie semble s'enfuir.Un homme se tenait droit sur le haut d'une colline dominant de vue un établissement gigantesque.Il paraît serein et animé d'un calme sans pareil ,sa longue vue contournait la plaine verdoyante pour scruter les porteset les fenêtres du bâtiment.
"Du courage et encore du courage renifla l'homme entre ses dents."

L'homme dévala le versant et s'approcha du manoir,pas un bruit ne dechira l'air pour parvenir à ses oreilles pendantes.Il ouvrit les portes ,se trouva dans une énorme salle vide qui donnait sur des portes colossales.Il s'arrêta ,poussa un long souffle pour rendormir ses nerfs déchaînés par la peur.Il se trouvait déjà devant les portes une corale de cuillères,fourchettes fendaient en échos au-delà de la porte.Il poussa les portes prêt à affronter la terreur qui l'attend.
"Bonjour,je m'appelle Sherlok Holmes ;émissaire du Vatican chargé de vous faire passer de vilains trépas.En raison de mes quelques courbatures et du mal du pays je vous avoue que j'ai une grande envie de rentrer chez moi. Je vais donc être bref. Alors quelles sont vos dernières volontés?"

La salle fut secouée par un rire de tonnerre.
Un vieux griot se leva et s'exclama:"Comment donc vas tu nous vaincre petit homme ?Essaie donc!!!"
-Oh sachez que ce gaz qui surplombe vos plafonds que vous n'avez remarqué est du propane que j'ai pris le plaisir de remplir vos tuyaux depuis quelques semaines.Une étincelle suffira.J'ai répandu du gaz hilarant sur le parquet devant moi donc vous ne pouvez pas m'attaquer ici là.Il se retourna fier et laissa perplexes les sang-mêlés.Il prit sa cigarette l'alluma et envoya l'allumette derrière lui.Le bâtiment explosa derrière lui.Il croit avoir fini.Le souffle strident des loups garous explosa dans les débris enflammées ."Bon Dieu des survivants!".

Il tira de ses reins ses revolvers,il avait le don de connaître ses adversaires,leurs manières,les déséquilibrer.Les lycans sont comme des chiens ,ils attaquent de manière latérale pour arracher l'ennemi par ses flancs.Il elargit ses mains et déversa ses balles sans retenue.Des lycans couraient par les côtés sautant sur les murs ,les gueules ouvertes ,crocs acérés,bouche pleine de bave .Le dernier était bien arrivé en pleine face de Sherlock qui pivota sur lui même esquivant l'animal ,la bête se retourna folle de rage, sprinta de plus belle et plongea sur Sherlock qui glissa à l'importune tout improviste ,il ne pouvait tirer sans recharger et la bête ne lui laissa aucun répit.Il glissa sa main droite dans sa veste et prit trois fioles .La bête tournoyait autour de sa proie prête à lui bondir dessus.La première fiole lancée tomba tout près,le lycan tourna la tête agacé par l'odeur suffocante de la fiole ,sa rage s'éxacerba et on le voyait sortir ses griffes ,grossir son dos telle une colline.S'élanca ,la deuxième fiole chuta sur sa tête.Sherlock Holmes tremblait déjà,il se voyait dévoré et lâcha dan son désespoir la dernière fiole,elle atterrit sans courbes sur le museau de la bête.Elle se débattit ,roula sur le sol,ses poils chutaient pour laisser une peau moite et ridée,sa gueule disparut,sa queue rentra timidement en ses fessiers.Redevenu homme ,on vit gisant sur le sol le viellard de la salle à manger pourrir comme une mangue qui a chuté sur le sol maléfique.Sherlock Holmes s'approcha,le prend en joue et l'abattit. "Paix à ton âme "lâcha t il,retournant sa face vers la mer d'où il rejoindra la fameuse Rome.

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