Chapitre 25

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Voté, et commenté .

Je me réveille à 7 h 30 avec une grosse migraine je m'en doutais bien que ça allait m'arriver car j'avais peu dormi. Durant toute la nuit, j'ai fait que penser à cette fille et ses enfants. D'un côté je m'en voulais énormément et de l'autre j'étais contente pas qu'elle soit à l'hôpital mais le fait que nos routes se son de nouveau croiser car à vrai dire je l'avais dans la peau. Elle m'attirait d'une certaine manière que j'en devenais malade. Certes je ne l'ai vue que 2 vois seulement et dans des circonstances pas vraiment favorable mais le fait de l'avoir vue qu'une fraction de seconde m'avait suffi à tomber amoureuse d'elle et dans mon cœur je prie qu'elle soit une mère célibataire. 

 Je sors un moment de mes pensées pour appeler le service d'étage à fin qu'il m'amène mon petit déjeuner et mon journal.

Puis je pars prendre une douche et m'habille d'un jeans et d'une chemise à carreaux.

À ma sortie de la chambre, je vois mon plateau repas que j'ai demandé au room service. Je m'installe devant la télé pour suivre les informations du matin avec mon café à la main. J'avais presque fini de manger quand soudain mon attention est tournée vers la télé je prie alors la télécommande pour augmenter le son.

Journaliste: L'unique héritier de la prestigieuse maison de mannequinât et de mode Victoria secret à enfin parlé de lui. Hier un de nos sources a aperçu le magnifique beau brun embarqué dans une ambulance au côté d'une jeune femme enceinte dont nous ignorons l'identité pour le moment. Mais qui est cette femme ? Sa copine ? Serait-il le père du bébé ? Mystère ! Mais ne vous en faites pas nous vous donneront plus de détails cet après midi. 
Je le savais, je savais qu'il allait s'en prendre à moi et pire, à ces pauvres gens qui n'ont rien fait. Sur ces quelques mots, je continue à manger. Après avoir fini j'appelle James pour qu'il prépare la voiture pour aller à l'hôpital. Plusieurs minutes plus tard j'étais devant la porte de l'hôtel prête à sortir quand je voie une horde de photographe et de journalistes qui n'attendaient que moi. Je fais demi-tour et sors par la porte des employés et appel James qui me retrouve en moins d'une minute et direction l'hôpital. 
Arrivé, par chance il n'y avait pas de paparazi. Je me dirige donc vers la chambres de la jeune fille. Elle était toujours inconsciente. Je me permis alors de prendre sa main pour la serré. Elle était si douce et fragile à la fois..
Moi : réveille toi s'il te plaît
Les larmes aux yeux. Quand une infirmière fit son entré dans la chambre je me précipite alors pour essuyer les quelques larmes. 

 Infirmière : ne perdez pas espoir, elle va s'en sortir. Dit-elle tout en lui faisant les soins nécessaires 

 Après sa sortie je m'assoupi un moment avant d'être réveiller par une autre infirmière. 

Infirmière : vous ne voulez pas voir vos enfants aujourd'hui ? 

 Moi : heu oui 

 Je me lève et la suis dans la chambre des bébés. Ils étaient toujours dans leurs couveuse et branché à des milliers de fils avec pour seul vêtement une très grosse couche. Elle me demanda de les touché mais j'étais obligé de refuser car je voulais en aucun cas m'attacher à ses bébés car je ne savais pas si j'allais un jour les revoir après le réveil de leur mère et je suppose aussi qu'ils doivent avoir un père même si ça me fait mal de l'admettre. Infirmière : vous savez le contact avec les parents aide beaucoup les prématurés à s'en sortir.Je ne fais pas attention à ces paroles et retourne dans la chambre de la jeune fille. 
......
Déjà une semaine que l'accident ces produits et la jeune fille est toujours dans un coma artificiel. Les docteurs m'ont dit que son état s'était améliorer et qu'elle allait bientôt sortir de son coma. Quant à la presse ils ont fini par découvrir dans quel hôpital nous étions et s'en donne à cœur joie de me démolir par tous les moyens et je ne sais par qu'elle moyen il on découvert que j'avais enregistré la jeune fille comme étant ma petite amie et père de ses enfants. Ils l'ont publié dans tous les magazines et l'entrée de l'hôpital est toujours remplis de photographe et de journalistes du coup je passe toujours par la porte de derrière. Par chance ils ne connaissent pas la vraie identité de la fille et ne possède pas de photo d'elle juste une ou on la voit à peine dans l'ambulance.

 Aujourd'hui c'est le 11 juillet je dois normalement retourner à los angeles (L.A) le lundi 13 cars mon travail est fini à New York si on veut car depuis la naissance des petits j'ai complètement annuler tous mes rendez-vous pour être au côté de ces parfait inconnue mais qui me procurait tant de joie même si on ne parle pas j'ai l'impression qu'ils n'attendaient que moi que c'était ma nouvelle famille. Je sais je me fais trop de film dans ma tête mais bon j'y crois. Je redoute aussi mon retour chez moi car je sais que ma mère va me tuer. Depuis l'apparition de l'article dans les journaux on ne sait pas reparler et ça ce n'est pas bon signe je suppose donc qu'elle est en rogne et qu'elle va m'étrangler à notre rencontre. 

J'arrête de trop pensé et me décide à sortir du lit. Je fais comme à mon habitude j'appelle le service d'étage, prend ma douche, m'habille et prend mon petit déjeuner devant la télé et pour finir à l'hôpital à 10 h.Arrivé j'allais dans la chambre de la jeune fille comme à mon habitude mais une infirmière me dit d'aller voir les enfants et que le docteur mi attendais ce que je fais.
Docteur : bonjour Mr, alors les infirmières m'ont expliqué que depuis la naissance des petits vous ne les avez pas touché et ça c'est vraiment pas bien. Il leur faut la chaleur de leur père et mère et étant donné que la mère n'est pas en état de le faire c'est votre devoir. De ce fait, après d'éventuels analyse nous avons décidé de faire du peau à peau avec votre petit garçon car il se remet très vite ce qui n'est pas le cas de la petite fille qui n'a toujours pas ouvert les yeux et qui a toujours besoin d'aide pour respirer.
Moi : ho heu
Je n'ai pas eu le temps de contester quand deux infirmières s'approche de moi et aide à me préparer. Il a fallu que j'enlève ma chemise et qu'elles me désinfectent le torse. Puis il me demande de m'assoir près de la couveuse avant de venir déposer ce magnifique petit être sur moi et de le recouvrir avec une petite couverture toute douce verte. À peine déposé qu'il se blottit sur moi et ouvre ses petits yeux pour me fixer. Il est si beau avec les yeux d'un bleu perçant. Dire que j'ai failli les tuer ho mon Dieu je ne voulais même pas pensé à sa. Ils sortirent tous pour nous laissé plus d'intimité et je finis par m'en dormir le petit sur moi.
Point de vue de l'auteur

Cela fait maintenant 2 jours que les docteurs avait sortis lola de son coma artificiel car elle récupère bien mais n'avait pas informé le jeune homme, car il voulait lui faire une surprise et voulais que lola se réveille près de lui la main dans la main. Vu que les docteurs l'avais remarqué que le jeune garçon passait son temps à lui tenir la main.  

Point de vue de lola
J'ouvre les yeux difficilement mais avec tout ça je voyais flou. Je ne sais pas où je suis n'y ce que je fais ici, la seule chose dont je me souviens est que j'allai vers un restaurant pour me chercher a mangé. Mais en parlant de manger, mon ventre. Mes bébés, ma main sur le ventre je me mets à crier et en moins de 2 une femme en blouse rose rentre dans la chambre
Moi : en criant mes bébés ou son mes enfants, où suis-je ? Qu'est-ce que je fais ici ? 

Dame: calmez-vous, vous êtes à l'hôpital et vos enfants vont bien ils sont avec leur père. 

Leur père. .... ! Qui a prévenu Lucas aurait-il changé d'avis ? Et comment m'a t il retrouvé ? 

 Moi : je veux voir mes enfants ! 

Dame: oui dans pas longtemps laissé le temps au docteur de vous examiner un moment s'il vous plaît.
Quelques minutes plus tard le docteur arrive dans la salle m'examine et fit savoir à l'infirmière que je pouvais sortir de mon lit pour aller voir mes petits monstres mais interdictions de marché ou de faire des mouvements brusque car ils me font aussi savoir que c'était une césarienne et que j'avais eu beaucoup de chance et aussi que ma petite fille pouvais ne pas survivre. Oui c'est une fille je sais maintenant mais elle est forte et va s'en sortir comme moi sa maman de bientôt 18 ans. L'infirmière m'aide à m'installer le fauteuil roulant et me pousse direction la chambre de mes petits monstres. 
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Un assez long chapitre pour me faire pardonner du retard
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Le jour où tout a BasculéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant