Technowar

Chapitre 3: jolies découverte et rencontre un peu spéciale

Un bip retentit et je sursautai. Mince je m'étais endormie sur le sofa et il faisait froid car les fenêtres étaient encore ouvertes. J'accourais vers l'écran, où clignotait l'heure. Il va vraiment falloir que je change le son car ça me fait paniquer à chaque fois !

Je vais dans la cuisine pour prendre quelque chose à manger quand je me rends compte qu'il n'y a rien dans le frigo. Mince !!

Il faut que j'aille faire les courses. Je prends donc ma douche, me prépare et attrape un billet dans mon enveloppe où j'ai économisé quand j'étais dans l'orphelinat, puis je claque la porte en veillant à ne pas oublier mes clés.

Le supermarché se trouve à deux rues de mon appartement. J'ai peu d'argent alors il faut que je n'achète que le necessaire.

J'entre et je remarque une petite vieille assise à la caisse. Elle me salue vaguement puis je me dirige vers les différents rayons. C'est une petite épicerie qui est je pense, très ancienne car on peut y acheter d'autres choses que les plats tous près du C.A.S , ça me rend heureuse mais je ne sais pas pourquoi. Je suis soudainement surprise car tout est à petit prix. Je vais pouvoir acheter pour la semaine alors ! Super au moins une bonne nouvelle. Je passe à la caisse et rentre chez moi pour pouvoir enfin prendre mon petit déjeuner.

Il est je pense deux heure de l'après-midi quand je sort le carton beige de mon placard. Je dois dire que j'ai peu de vêtement car à l'orphelinat, nous n'avions pas le droit à plus d'habits que nous avions besoin.

Mon cœur bat rapidement quand je découvre les anciennes tenues de ma mère. Celle-ci m'avait appris quelque noms.

J'y trouvais une jupe « crayon » bordeaux, une robe à dentelles blanche, un tee-shirt rouge avec écrit dessus « coca cola », une veste en cuir noire, un tee-shirt blanc lui aussi en dentelle, un large pull noir avec écrit dessus « Free », et enfin une veste en jeans.

Derrière le carton je trouvais des chaussures. Elles étaient magnifiques ! Elle ressemblaient à des bottes de chantier. « Très original » pensai-je en souriant.

Je plaçais tous mes nouveaux vêtements dans mon placard, à côté de mon ancienne garde robe qui était composée de deux pantalons gris, un sweat blanc et un autre bleu, quatre débardeurs et une paire de bottes noires.

J'étais contente de mes précieuses trouvailles !

Je me rendis compte que je n'avais pas vu l'heure passer et qu'il était déjà cinq heure.

Demain commençaient mes premiers cours en dehors de l'orphelinat ! Waouh !! J'ai hâte !!

Cette fois-ci, quelque chose bipa à côté de moi. Encore surprise, je balance ma main dans le vide et l'objet tombe dans un fracas. Mince. Mais c'est vrai quoi ?! Je déteste qu'on me réveille aussi violemment !

Puis soudain... Je me rends compte, que c'est mon premier jour à l'Université !! Je me presse de me préparer, je prends mon petit dej en quatrième vitesse puis j'enfile mes bottes noires et claque la porte.

L'Université se trouve à une quinzaine de minutes de chez moi. Aujourd'hui, je me suis habillée normalement, avec mes anciens habits qui sont donnés à tous par le C.A.S car j'ai peur de ne pas être acceptée si on découvre que je porte des habits de l'ancien siècle !

J'arrive devant et là... Waouh.... Magnifique, grand, peuplé excitant, sont les mots qui me viennent à l'esprit. J'entre sans regarder les gens autour de moi car je suis nouvelle et orpheline. D'ailleurs j'ai oublié de vous préciser que les orphelins ne sont pas trop aimés dans notre monde.

Je me fraye un chemins jusqu'au bureau principal et là je toque à la porte. Une voix me dit d'entrer et je tourne la poignée.

Une grande femme blonde m'accueille :

-Bonjour. Tu dois être Sylia n'est-ce pas ?

-Euh... Oui bonjour c'est bien moi. Je suis nouvelle et on m'a dit de venir vous voir.

Elle me sourit mais je me rends compte que ce sourire est ...faux !

Il me glace le sang mais je ne dis rien.

-Tu as bien fait et voilà....

Elle me tends un dossier et une pochette en plastique.

-... tu y trouveras tous tes dossiers, ton emploie du temps, et le matériel nécessaire pour pouvoir travailler. Tout cela est fournis par le C.A.S bien sûr. Ne sont-ils pas géniaux ?

J'acquiesce puis sort de son bureau. Cette première impression avec la directrice était je dois le dire, mauvaise et étrange. Cette femme et hypocrite, et complètement obsédée par le C.A.S. Mais pourquoi ? Qu'a-t-il de si important ?

Une sonnerie retentit et je me dirige vers mon premier cours qui est celui de « Vie meilleure » ? Qu'est-ce que c'est que ça ? Il doit y avoir une faute non ? Je n'ai jamais entendue parlé de cette matière.

J'entre dans la salle de classe et je découvre plusieurs personnes déjà assises, toutes silencieuses. Je me sens génée car j'ai toujours été solitaire et qu'il y a déjà beaucoup de personnes. Les sièges sont disposés en escaliers. Je crois qu'on appelle cela un Amphithéatre. Je m'assois donc tout en haut. Au derniers rang et je commence à lire mon dossier. Le temps passe et de plus en plus de personnes s'installent autour de moi jusqu'à ce que une fille un peu bizarre s'assoit à ma gauche. Je l'ignore. Le professeur arrive et tout le monde se tait. Il se présente. Son nom est Monsieur Mauron, il est assez jeune, brun, les yeux bleu. Je sens alors un courant d'air à ma droite et je tourne la tête. Une silhouette se faufile sans se faire voir et s'assoit à côté de moi.

-Pfiou... J'me suis pas fait ...

-JE VOUS AI VUS MONSIEUR MAC !!! ENCORE UNE FOIS !!!

- Et merde... soupire-t-il.

Tout le monde s'était tourné vers nous mais le professeur les rappella à l'ordre et ils continuèrent d'écouter.

Le garçon qui se tenait à ma droite était blond, les yeux bleus et il avait l'air très sportif vu qu'il était habillé en joueur de basket. D'ailleurs javais remarqué que chacun était habillé différemment car cela voudrait dire que je peut porter mes vieux vêtements au lieu de ces... trucs du C.A.S.

Je continuais d'écouter le cours.Le professeur nous faisait un discours sur le « comment vivre en harmonie et en ordre grâce au C.A.S et à notre MERVEILLEUSE Corrine Martin !» (voyez l'humour)

-Que des conneries hein ?!

Je me tournais vers le retardataire surprise qu'il m'adresse la parole.

-Quoi.... c'est... chuchotai-je

-Oui c'est à toi que je parle, dit-il.

Mais il lisait dans mes pensées ou quoi ?

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Here we are !!!!! Déjà le chapitre 3 ! 

Dites moi vos impressions pour que je m'améliore si il le faut. J'essais de faire un minimum de fautes mais je sais que j'en fais quand même....(snif snif ;( )

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Big Kiss ! Je vous aime <3 et au plaisir de vous revoir dans le chapitre 4 ! Let's go !!<3<3 x)

E.