L'amour D'une Arme

Chapitre II: Pensée

*Pdv Alice*
Ils etaient partit nous laissant moi et Marie seul. La soirée était cool, et puis ça gars euh... Taylor. Qu'est ce qu'il était beau. Il était drôle intelligent. Et il avait un beau corps musclé comme il faut. Mais je faisais des films je ne devais pas l'intéresser.

Marie: Tu pense encore à lui ?
Moi: Hein mais des qui tu parle ?
Marie: De Taylor, tu devenais toute rouge quand il te regardait.
Moi: Sérieux ? Tu pense qu'il l'à remarquer ?
Marie: Sûrement ahahahahah

Ah non la honte ! Il devait m'avoir trouver bizarre. Je pourrai plus le regarder après ça c'est sûr.

Marie: T'inquiète pas j'en suis certaine que tu lui à taper dans l'œil.
Alice: Pfff n'importe quoi !
Marie: Sérieux quand tu le regardait il détourné toujours les yeux alors que moi il me fixer.

On n'a passé toute la nuit à débattre sur ce garçon. C'est clair qu'il me ferait ressentir quelque chose mais était ce de l'amour ou,juste un début d'amour ? Puis je me rappellai qu'on devrait se revoir le lendemain et je fini par me coucher le sourire aux lèvres tout en pensant à lui.

*Pdv Taylor*

J'étais enfin arriver en bas du bâtiment de la cible, comme à mon habitude j'avais mis mes gants et ma combinaison noir. La porte d'entrée était cassé donc facilement accessible. C'était un bâtiment immonde, les escaliers puait la pisse et les murs était plein de graffiti.

Je cherchai son appartement, une bonne dizaine de minute avant de le trouver. Comme à chaque meurtre je ressentais cette sensation bizarre au fond de moi. J'ai appris avec le temps que ce n'était pas de la compassion ni même des remords. Non c'était plutôt de la pitié car je savais qu'il ne restait que quelque minute à cette homme avant de mourir.

Comment allais je procéder pour rentrer ? Je pouvais pas simplement sonné et dire "Bonjour je suis la pour vois tuez veuillez ouvrir svp" alors comment ? Enfoncé la porte risquerai d'alerter les voisins ou bien même mettre la cible en garde. J'opta pour la sonnerie. Il n'y avait que ça à faire.

Un homme de grosse corpulence ouvra la porte. C'était lui. Je me dis pendant un court moment que cette était vraiment idiot pour ouvrir la porte à cette heure ci sans demander qui ça pouvait être.

Cible: Vous êtes malade de sonner a cette heure ! Vous voulez quoi que j'appelle la police ?

Il continuait de parler jusqu'à ce que son regard se dirigea en direction de ma lame. Il tenta de refermer la porte mais c'était trop tard. J'enfonca celle ci avec mon pied et le gros monsieur tomba à la renverse comme une vulgaire motte de foin. Il tenta de se relever mais retomba sur ses genoux. Je me glissa derrière lui et bloqua sa tête entre ma main gauche et mon ventre et posa doucement la lame sur son coup.

Cible: S'il vous plait, ne faite pas ça. Vous savez si c'est de l'argent que vous voulez j'en ai un peu. Mais s'il vous plait ne me tuez pas.

Moi: Ton argent ne m'interesse pas !

Je fis glissé la lame sur son coup gras. Le sang se mit à couler. J'étais là debout regardant le corps de cette homme se vider puis avant même qu'il se vide totalement, je lui planta le couteau en plein coeur. C'était une habitude que j'avais prise avec le temps.

Je regardais ma montre, il était 6h02. J'avais encore le temps d'aller dormir.

-Lendemain-

J'ouvris mon ordinateur et envoya une confirmation comme quoi rempli ma tâche. L'argent fut envoyer directement dans mon,compte bancaire. Je pris mon téléphone et composa le numéro de de Steven.

Steven: Ouais ?
Moi: Tu dort encore là ?
Steven: Ouais mec on n'est le matin !
Moi: Mec il est déjà 13h
Steven: QUOIIIII ?! Putain tes sérieux ?
Moi: Ahahaha bon j'arrive chez toi ! Je passerai à la boulangerie tu veux quelque chose ?
Steven: Juste des croissants et un café stp.
Moi: Okok j'suis chez toi dans 20 minute.

Je raccroche puis me dirige vers mon armoire. Je pris des habits puis mis mes chaussures, j'avais pas besoins de prendre ma voiture car la maison de Steven n'était qu'à quelques minutes de marche.

Ah toutes les conditions étaient réuni pour passé une bonne journée, il fesait beau ,aucun nuage à l'horizon une chaleur raisonable et surtout... J'allais revoir Alice. Elle m'avait fait une impression étrange. Un sentiment que je n'avais jamais ressenti.

Il est vrai que dans notre famille dès le plus jeune âge les enfants sont entrainé à ne ressentir ni sentiment ni douleur, mais alors pourquoi je ressentais cette chaleur en bas de mon ventre à chaque fois qu'elle posait ses yeux sur moi. Perdu dans mes pensées je n'avait même pas remarqué que j'étais devant la boulangerie. Je vous explique, cette boulangerie "Le petit pain" faisait les MEILLEURS croissant aux amandes du monde. Ça fesait 4 ans que je prenais tout mes petits déjeuners accompagné de leur croissants.

Vendeuse: Salut Taylor en forme ?
Moi: La super forme même et vous ?
Vendeuse: Très bien. Alors comme d'habitude ?
Moi: À un cheveux près, vous pouvez rajouter du café et doublé les croissants ?
Vendeuse: Pas de problème ! Voila voila ça te fera 11€25

Je lui donna l'argent lui souhaita une bonne journée et sortit, je marchais le long du trotoirre tout en savourant mes croissant quand j'entendis une voix au loin qui criait mon prénom.

Je me retournai avec mon croissant dans la bouche quand je vis Alice. Merde ! J'avais la bouche toute sale, cette les croissant était bon mais très salissant.

Alice: Alors ça v..... Ahahahahahahahaha
Moi: Qu'est ce qu'il y a ?
Alice: Tu devrai te regarder dans une glace, tes lèvres sont toute blanche.

D'un réflexe j'essuia ma bouche avec ma main pendant que Alice rigolait. Puis après avoir bien rigoler elle fouilla dans son sac et sorti un mouchoir.

Alice: Tient je pense qu'avec ce mouchoir tu a une chance ahahah.

Je pris 2 minute rien que pour contempler son sourire, c'était vraiment le plus beau soutire que je n'avais jamais vu.

Alice: Y'a quoi ?
Moi: Hmm quoi quoi ?
Alice: Bah tu me fixe comme si j'avais une tâche au milieu du front.
Moi: Ah désolé !
Alice: Pas grave.

J'avais remarqué qu'elle avait changer de couleur, elle était à présente toute rouge. Serait ce moi qui lui faisait cette effet ? Ou bien serait autre chose.

Ou parlait de tout et de rien pendant tout le trajet, elle m'expliqua que son père était dirigeant d'une grande entreprise mais qu'un jour il était partit au états unis et n'était plus revenu. Elle me demanda si ce n'était pas trop dur de vivre seul je lui dit que non. On arriva enfin devant chez Steven bien que je voulais que ce trajet dur plus longtemps, Steven nous avait sûrement vue venir puisque avant même que l'on sonne il ouvra la porte.

Moi: Bah alors on surveille mon arrivée par la fenêtre maintenant ?
Steven: Pas ton arrivée ! Celle de mes croissants. Oh Alice ça va ? Rentrer Marie est déjà dedans.

Alice fut la première à rentrer et se jeta dans les bras de Marie comme si elles s'étaient quitté pendant des années. Ah les filles toujours comme ça mdr. Je la salua à mon tour.

Elle suivait les infos mais très vite quelque chose prit toute mon attention...