Chapitre IV: Annonce

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Moi: Qu'est ce que tu fais ici ?
Père: C'est une façon de dire bonjour à  son pere ?
Moi: ...
Père: Bon passons... Je venais t'annoncer la bonne nouvelle !
Moi: La bonne nouvelle ? Quoi vous allez me laisser tranquille ?
Père: Non. Bien au contraire, on va vivre tous ensemble. Moi, tes frères et toi bien évidemment.
Moi: QUOOOI ?

Je n'en croyais pas mes oreilles, pourquoi ? Pourquoi cela devait il arriver maintenant. J'avais des amis, tout marchait pour moi alors pourquoi venir habité ici ?

Sûrement dû à mon silence mon père compris que cette annonce me faisait un choc.

Père: Il y a quelques jours j'ai envoyé ton jeune frère accomplir un meurtre. Mais il est jeune et encore inexpérimenté, il a commis une erreur et un témoin à pu apercevoir notre emblème. La police est à l'affut alors pendant quelques temps on va mettre fin au meurtre et se contenté de vivre comme une famille ordinaire.
Moi: ARRÊTE TES CONNERIES... ON NE POURRA PLUS JAMAIS ÊTRE UNE FAMILLE ! PAS APRÈS QUE VOUS...

Avant que je puisse finir ma phrase cet enfoiré me décrocha un coup de poing. J'avais souvent eu droit à des coups de sa part étant petit, mais je ne suis plus le petit qu'il frappait pour entraîner. J'etais devenu l'arme parfaite. Je me mis a rassemblé tout mon courage pour lui rendre son coup mais avant que l'occasion se présente je sentai déjà le canon d'un revolver sur mon front.

Père: Mauvaise idée. Je t'ai mis au monde... Je peux très bien te le faire quitté.
Moi: Tu serait près à tuer ton fils ? Vraiment ?
                   *Pdv Alice*

Ma mère n'était pzs encore rentré, elle a s'en doute dû passer chez une collègue ou quelque chose comme ça.

Je me mis a retirer mes chaussures puis je remontai à l'étage. Je me jetta sur mon lit puis me mis a écouté de la musique. Et d'un coup je ne sais pas pourquoi je me mis à pensé à Taylor.

Lorsqu'il me quitta aujourd'hui il n'avait pas l'air dans son assiette. C'est comme si la personne dans le 4x4 lui faisait peur. Mais à qui pouvait bien appartenir ce 4x4. Je sais ! Je n'ai qu'a demander a Steven, après tout ils sont meilleurs amis les deux.

Je pris le téléphone et composa son numéro.

Steven: Allô ?
Moi: Steven ? Cest Alice
Steven: Ah Alice comment tu va ?
Moi: Je vais bien et toi ?
Steven: ça va, ça va !
Moi: Cool ! Au faite Steven j'aimerai te poser quelques questions si ça ne te dérange pas.
Steven: Non vas y je t'en prie...
Moi: Tu connait pas quelqu'un dans l'entourage de Taylor qui aurait un 4x4 ?

À ce moment là, Steven se mit a réfléchir longuement comme si il cherchais dans ses souvenirs les plus profonds.

Steven: Sincèrement... Non. C'est mon meilleur ami mais depuis qu'on se connait il ne m'a jamais dit d'où il vient, comment il gagne
sa vie. Pour te dire je ne suis jamais allez chez lui. Ce gars est un mystère à lui tout seul. Euuh au faite pourquoi cette question ?
Moi: Non pour rien.... ahahahaha ne t'inquiète pas, rien de grave. Bye
Steven: Si tu le dis, bye

Ça devenait vraiment étrange. Comment pouvez t'on considéré quelqu'un dont on ne sait rien comme son meilleur ami ? Je me mis à me poser des questions jusqu'a ce que le sommeil me prit.
                       
                         *Pdv Taylor*
Lorsque j'ouvris les yeux, je me retrouvait couché sur mon lit. Je senti une douleur au front. Cet enfoiré m'avait frappé avec son arme pour ensuite me ramenez chez moi. Il n'avait pas changer. Mais très vite je repensais à ce qu'il m'avait dit. Si c'était vrai mes frères allait revenir ici. Je ne m'entendais avec aucun d'eux, ils n'eprouvaient aucune compassion. Certes nous étions des tueurs mais tuer n'a jamais était un plaisir pour moi. C'était surtout une seconde nature, mais eux y prenaient un réel plaisir à tuer. Ils étaient imprévisible et dénué de tout sentiments.

Je me m'y a penser aux catastrophes qui pourrait arriver si ils s'installaient ici jusqu'au moment où je senti quelque chose couler sur mon front. Du sang. Je me leva et parti prendre un pansement, puis je me coucha sur mon lit pour dormir.

               *Flashback*
J'étais la suspendu en l'air par les bras. Tout les membres de la famille devait passer par là un jour. C'etait un entrainement à la douleur. Pendant 15 jours on faisait subir a chaque membres toutes sorte de torture. Simulation de noyade, coup avec des barres en fer, choc électrique etc.

Mon bourreaux pour aujourd'hui n'etait personne d'autre que mon grand frère Matt.

Matt: Tu n'a pas l'air en forme petit frère.
Moi: Et comment l'être ? Je ne sais pas combien de jour j'ai passer ici
Matt: Oh ne t'en fais pas pour ça tu le sera bientôt mais avant....

Il sorti d'un sac une matraque en métal et ce mit à sourire. Voir la douleur inscrite sur mon visage lui faisait sûrement plaisir. Et de là il leva la main....

L'amour D'une ArmeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant