Chapitre 32

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Je me réveille avec une sale gueule de bois. Je me lève mais malheureusement un peu trop vite et je m'empresse d'aller au toilettes pour nettoyer mon estomac. Lisa elle, se serait occupée de moi. Lisa... Je regarde mon téléphone mais je vois qu'elle ne m'a toujours pas envoyé de message. Elle va finir par gagner si elle continue comme ça. Mais je ne perds pas espoir. Je descends au rez-de-chaussée et vois avec horreur l'état de la pièce à vivre. Il y avait des verres partout par terre avec de l'alcool qui en coulait, des mégots de cigarette et pleins d'autres éléments non identifiés. Les trois autres étaient affalés dans un canapé ou par terre et avaient eux aussi une sale tête. Je vais alors dans la cuisine et cherche les pâtes. Je suppose que Sean ne m'en voudra pas. Je me fais alors mon petit brunch puisqu'il était quand même une heure de l'après-midi et que ça commençait à faire quelques heures que je n'avais rien avaler. Une fois mon petit repas prêt, je le mange en pensant au moment où Lisa m'en avait préparé spécialement pour moi. Je ne sais pas ce que j'ai en ce moment. Cette fille me rend complètement différent. Enfin, il faut que j'arrête de penser à elle, ça fait trop de mal de s'attacher. Lorsque je termine mon plat de pâtes, je mets la vaisselle dans l'évier, la nettoie et la range. Je retourne ensuite dans la pièce à vivre pour nettoyer un maximum les dégâts de hier soir. Au bout d'un moment Stéphane s'est levé et est venu m'aider dans ma mission nettoyage intensif. Lorsque nous avions fini, nous avons attendu en discutant que les deux autres se réveillent pour qu'ensuite nous puissions rentrer chez nous. Il est quatre heures de l'après-midi lorsque j'arrive dans l'appartement et je vais directement dans ma chambre ma caler confortablement dans mon lit. Je traîne ensuite sur les réseaux sociaux mais constate rapidement qu'il n'y avait rien d'intéressant. Je décide alors de faire une petite sieste pour faire disparaître toutes traces de fatigue et d'ivresse et lorsque je me réveille, il était six heures et je me dis que demain, Lisa sera sûrement rentrée.



Ce qui les différencie, les réunitOù les histoires vivent. Découvrez maintenant