Chapitre 8

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Aujourd'hui on est vendredi. Je n'ai pas eu le cran de parler de la lettre aux garçons. Mais aujourd'hui c'est décidé. Je vais leurs en parler. Je mets donc la lettre dans mon sac et je file m'habiller. Enfin prête je prends mon sac et mon tel et je file en bas. Je regarde par la fenêtre et je vois la voiture d'Holland. Alors je file dans sa voiture. Je lui fais la bise. J'en ai déjà parler à Holland de la lettre. Elle m'a dit qu'en effet, elle entendait des personnes lui parler. Mais elle avait peur de m'en parler. Je ne lui en voulait absolument pas. On arrive au lycée et on part direct en cours. Je n'ai pas envie de parler maintenant avec les gars. De peur de découvrir ce qu'ils vont dire.

4 heures

Et voilà. C'est le moment pour aller manger. Je me dirige donc vers la cantine accompagné par Holland et Max. Dylan lui nous rejoint après. Pendant cette semaine il n'a pas mangé avec nous car il devait régler ses "affaires" donc il nous rejoignait après manger. Bon on s'installe et personne ne parle. C'est comme ça depuis lundi. Bon je viens de fini de manger. Je sors sans attendre mes amis. J'ai besoin de prendre l'air. Arriver dehors, je vois Dylan qui arrive vers moi. Je sors donc la lettre de mon sac et je la plaque contre son torse. Il parait surpris. Il prend la lettre et il lit. Plus il lit, plus son visage se décompose. Il me regarde.

Dylan: Je vais t'expliquer.

Moi: On attend Max.

J'avais dit ça tellement fermement que ça me surprenait. J'ai envie de le prendre dans mes bras et de l'embrasser mais je me retiens. Le silence est gênant entre nous. Max et Holland arrive. Je lui fait un signe pour lui montrer que c'est le moment. Dylan lui tend la lettre à Max. Il fait exactement la même tête que Dylan un peu plus tôt.

Moi: Alors?

Holland: Oui j'aimerais bien comprendre.

Max: Très bien. Je suis un ange et Dylan est un ange déchu. Quant à toi Holland tu es une banshee. Ça veut dire que tu peux entendre les voix des morts. Mais c'est tout.

Moi: Et moi j'ai quoi à avoir avec cette histoire?

Max: Tu es ma protégée.

Moi: Et pourquoi?

Max: On ne sait pas encore ce que te veulent les démons.

Moi: Vous êtes complètement tarer. Vous savez quoi je me case.

Et je pars. Dylan me rattrape.

Dylan: Ambre, écoute...

Moi: Non toi tu m'écoute. Au début tu fais genre tu ne m'apprécie pas, après tu passe tu temps avec moi et tu m'embrasse, puis après tu me dis de t'eviter puis après tu me dis que tu veux essayer quelque chose avec moi mais tu dois régler tes problèmes. Mais tu n'ai même pas capable de me parler de tes problèmes et tu veux essayer quelque chose avec moi?

Dylan: Euh... Ouais... Ouais... Mais...

Il est perturbé par mon discours.

Moi: Tu sais quoi? Quand tu seras décider à me parler de toute cette histoire tu viens me voir sinon je ne veux pas te voir ni toi ni Max avant que vous ne me parlez clairement de ce qu'il se passe. Tu m'as déçus Dylan.

Et je m'en vais en le laissant là. Dans la cours tout seul. Je n'en peux plus. Je rentre donc chez moi. Je part sur le canapé. Mon chaton me rejoint. Mon téléphone sonne depuis toute à l'heure mais je ne répond pas. J'ai besoin de temps. Je ne comprends rien à cette histoire. Et c'est comme ça que je m'endors.

20h

Je me réveille désorienté. Puis tout me revient. J'ai besoin de prendre une douche. Je pars donc prendre ma douche. Je resors quelque minutes plus tard d'un short et d'un tee-shirt. Je vais en bas manger. Après ça je veux pour remonter mais je vois une ombre devant ma maison. Alors par peur je me cache. Enfin je vais fermer à clé ma porte.

...: Ambre. Ouvre moi.

C'est Dylan. Mais je ne bouge pas. Je suis toujours derrière la porte.

Dylan: Je t'en supplie ne me laisse pas. Pas toi.

Il à l'air triste. Je regarde par la fenêtre et je vois qu'il commence à partir. Et je me mets à réfléchir. C'est moi qui lui est dit de venir quand il voudra me parler. J'en peux plus. Je déverrouille ma porte. Il pleut. Je cours donc jusqu'à lui pieds nus et son veste. Il m'entend et il me sourit. Je me jette dans ses bras. Et je l'embrasse. Au début il a l'air surpris mais il me répond. Il passe une de ses mains sur mes hanches et l'autre sur ma joue. Moi je les est mise dans ses cheveux. On se sépare par manque d'air. Il me regarde et me caresse la joue.

Dylan: On rentre. Sinon tu vas tomber malade.

J'hoche la tête et on rentre. On monte dans ma chambre. Je me change pendant qu'il va se laver. Je m'allonge sur lit et je l'attend. Il revient changer avec les affaires de mon père. Il vient à côté de moi et je pose ma tête sur son torse.

Dylan: J'ai mis mes vêtements à sécher.

Moi: Dylan faut qu'on parle.

Dylan: Je sais.

Moi: Je ne comprend pas tout.

Dylan: Je vais t'expliquer. Alors il existe des anges depuis longtemps. Bien avant la création des hommes. Après que dieu est décidé de créer l'homme, des conflits son parvenu envers des personnes innocente. Alors Dieu nous a charger de nous occuper de tous les innocents qui sont de le besoin. On ne devait ni succomber au tension humain ni tomber amoureux d'une humaine. Il y a aussi les anges qui font tomber amoureux les gens. Et si on a le malheur d'enfreindre une de ses deux règles on devient un ange déchu.

Moi: Et toi pourquoi est tu un ange déchu?

Dylan: Je suis tomber amoureux de la femme a qui je devait faire trouver l'amour. Comme elle ne ressentait pas ce que je ressentait, j'ai commencé à boire et me droguer pour oublier cette horrible douleur dans ma poitrine. Puis quelques années plus tard, j'ai rencontré une fille. Je n'y avais jamais fait attention. Pourtant je l'ai souvent croiser. Je la trouver jolie mais je m'étais fait la promesse de ne plus jamais tomber amoureux. Seulement un ange est venu pour la surveiller. Donc j'ai fait attention à sa protéger. J'ai fait comme ci je me foutais d'elle mais j'ai succombé encore une fois. J'ai été chez elle pour voir comme elle allait après ma fête. Sauf que tout c'est enchaîné. En si peux de temps je suis tombé amoureux d'elle. Encore plus fort que la femme que j'ai cru aimé. Mais j'avais des histoires à régler. Donc je les repousser pour ne pas qu'elle soit blesser. Mais finalement je nous ai blessé tous les deux.

Moi: Cette femme c'était une idiote. Mais elle a bien fait de te laisser. Maintenant tu es à moi.

Je le regarde et il sourit. Je l'embrasse et je m'endors dans les bras de l'homme que j'aime.

L'ombre ou la lumièreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant