Chapitre 12

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Je me réveille en étant encore plus fatiguée que la veille. J'ai mal partout. Bon je me lève et je m'habille. Je descends et un papier et sur la table.

Je suis sortie avec Max. Je passe te voir chez toi quand je reviendrais de mon rendez-vous.

Bisous. Holland.

Je repose le bout de papier. Je récupère toute mes affaires et je pars chez moi à pieds.

J'y arrive enfin. Je rentre chez moi et je pars me laver. Puis je me met en pyjama. Je vais sur le canapé, je m'enroule d'une couverture et je pleure. Encore. Je suis pathétique.

Ellipse une semaine

Sa fait une semaine que je suis enfermée chez moi. Je ne sors pas et je n'ouvre à personne. Sauf Holland. Max est venu mais il m'a parlé de Dylan en disant qu'il souffrait lui aussi autant que moi. Que j'avais mal pris ce qu'il m'avait dit. Je l'ai fait sortir et depuis je ne lui ouvre plus.

D'un coup je reçois un message.

De: Dydy <3
A: Moi

Je suis chez toi dans 5 minutes. Faut qu'on parle. Que tu m'ouvre ou pas je vais entrer.

C'est quoi ce bordel. Je n'y fait pas attention. Et je me reconcentre sur mon film aussi pathétique que mon état.

Et effectivement cinq minutes plus tard la sonnette retentit. Je vais voir par le judas. Et c'est bien Dylan. Je ne lui ouvre pas. Je ne veux pas le voir.

Dylan: Ambre je t'aime. Je ne veux plus passer une seule minute sans toi. Quand je t'ai dit de rentrer chez toi c'était pour t'éviter de souffrir en entendant ce qu'elle allait me dire. Mais je me suis rendu compte que finalement c'est moi qui t'es fait souffrir. C'est toi que j'aime pas Diane. Je n'en ai rien à faire d'elle. Ouvre moi.

Je ne lui ouvre. C'est vrai que son discours m'avait touché. Mais je ne veux pas.

Dylan: Bien.

Je regarde et je le vois partir. J'enfile des chaussures et je le rejoins. Ils e retourne. Il s'approche de moi mais je l'arrête.

Moi: Tu m'a fait du mal. Les mots que tu m'as dit m'ont fait du mal. Mais je t'aime aussi. Et si tu dis que tu t'en fous d'elle je te crois.

Il me sourit et il me prend dans ses bras. Et on s'embrasse.

Dylan: Mon amour, tu vas habiter chez moi quelque temps.

Moi: Pourquoi?

Dylan: Ils te veulent. Ils en ont après toi. Et je ne laisserais personne te faire du mal. Donc maintenant on va chercher tes affaires et on file chez moi.

Il me prend la main et on se dirige chez moi. Je monte en haut et je fais mon sac. Je me retourne et je vois Dylan dans l'embrasure de la porte. Il avance vers moi et je l'embrasse. Je le pousse sur le lit. Je me met à califourchon sur lui. Je l'embrasse dans le cou.

Dylan: Bébé. Tu fais quoi?

Moi: Je me fais pardonner et j'ai aussi envie de toi.

# Lemon #

Il sourit. Il me pousse sur le lit et il se met au dessus de moi. Il m'enlève le haut. Et il m'embrasse le cou. Il descend vers ma poitrine et il l'embrasse. Il défait mon soutif et il embrasse et lèche ma poitrine. Il la malaxe. J'aime ça. Je cambre le dos. Je sens quelque chose de chaud entre mes jambes. Dylan descends ses baisers plus bas. Il arrive à la limite de mon short. Il me l'enlève et il embrasse mon sexe. Je tire sur ses cheveux. Il introduit sa langue en moi. Je lâche de gémissements. J'aime tellement ça. Il remonte ensuite vers moi. Il est déjà nu. Je n'avais même pas vu qu'il s'était déshabillé. Il se frotte contre moi. Puis il entre doucement en moi. J'ai mal. Je lâche une ou deux larmes mais Dylan les essuie. Il m'embrasse. Il se stoppe.

Dylan: Je vais attendre un peu pour que tu t'adapte à moi.

Au bout d'un moment il reprend ses vas et viens. Au début ça fait mal mais ça fait place au plaisir.

Dylan donne un dernier coup et on explose. L'extase m'envahit. Je remonte à la surface petit à petit. Je reprend mon souffle tout comme Dylan. Je le regarde. Il est tellement beau.

Moi: Merci.

Je lui sourit et je pose ma tête sur son torse. Il me caresse les cheveux.

Dylan: Je t'aime. N'en doute jamais.

Moi: Je t'aime aussi. Mais comprend moi.

Dylan: Je te comprend mon amour.

Il m'embrasse et on reste comme ça un petit moment. La sonnerie me fit sursauter. Qui peut bien venir à cette heure ci. J'enfile mon short et le haut de Dylan. Puis je descend. Quand j'ouvre la porte ma vie s'arrête à tout jamais.

Désolé voici le chapitre douze. Enfaite mon portable la publiée sans le publiée.

L'ombre ou la lumièreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant