Chapitre 12 : Nouvelle vie

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Hier, nous avons ( moi et Kévin ) contacter la famille et les employés pour leur signaler le décès de papa..
Le palefrenier voulais travailler gratuitement deux mois, compréhensif de la situation, la père de Kévin à finalement un cœur qui n'est pas en pierre.

Pour tenter de penser à autre chose, je me console en travaillant Liberty.
Je dépose tout d'abord ma boîte de pansage au milieu du manège et attrape ensuite mon tout nouveau licol.
Un rouge avec de la moumoute blanche qui fais " esprit Noël " .
J'entre dans le box et l'attache avec une longe blanche toute douce.
Sa posture robuste, ses muscles qui se contracte à chaque foulure et me laisse voir ses tendon à travers sa fine peau..
C'est une cheval de compétition né.

J'entre dans le manège avec lui et le lâche. Bien sur, nous sommes tous d'eux enfermer avec ma boîte de pansage.
Sa réaction est très normal. Il court un peu partout, se roule par terre et rue à chaque coin.
J'ai développer un travail à base de confiance, et ce qui est souvent critiqué dans ma manière de dressage, c'est que je ne l'ai oblige pas. Ce sont avant tout des animaux ayant leurs conscience. Je ne peut les obligés à faire ce que je veut et le fatiguer à galoper juste parce que je veut aller quelque part.
C'est mon opinion et mes résultats sont très prometteur. Il faut leurs montrer que c'est aussi un jeu de travailler, et pas une tâche qu'il faut obligatoirement accomplir.
Il y a très longtemps, je dressais des chevaux avec maman.
On étais très bien payer et arrivons à garder le ranch en bonne états et même plus.
Papa étais juste impressionner !
Elle avait dresser Tornado elle même.. C'etais un cheval plus que fou, il mordait tellement il avait une grande crainte des humains.
En quelques mois, ils galopèrent tout les deux entre les montagnes, et Tornado aimait ça. Cela se voyait.
Une simple pression et il partais. Grace à lui, elle à remporter plusieurs prix sur son chemin.
Plonger dans mes pensées, Liberty me tire vers la réalité.
Il à finis de se défouler et demande un peu d'attention. Je le félicite car il à compris ce que je voulais.
J'attrape une étrille américaine au fond de ma boîte et la passe dans le sens du poil.
Liberty gigote un peu et je lui chuchote :
" Ne bouge pas s'il te plait, je vais te blesser sans le vouloir sinon. "
Ce fut comme une formule magique car il exécute ce que je lui ai demander.
Je me rappel que papa m'appeler la chuchoteuse.
Je chassais cette pensée et enchaîne les brosses dans les bon ordre.
Sa robe brillante, je prend un cure pied que j'ai trouver et lui demande son pied avec soin.
Il reparti son poid sur se trois autres jambes et soulève le pied voulu et enchaine les trois autres.

J'ai seller Liberty et cette fois-ci il a accepter la selle. Vas-t-il comprendre que ce n'est pas du mal ?
Pour commencer, je met une bombe et escalade Liberty.
Sans les étriers évidemment, que j'ai méticuleusement retirer.
Pour un débourrage, question de sécurité, on retire les étriers.
C'est comme ça.
Sur son dos, Liberty ne comprend pas. Il bouge un peu sans mon ordre et e le laisse faire. La selle reparti mon poid et c'est ce qui permet de monter plus longtemps. Il à donc pas mal.
Je tends un peu les rênes pour qu'il se calme. Liberty arrondis son encolure ce qu'il lui donne un air de cheval de dressage de grand concours.
Je donne une légère pression des mollets et nous voilà au pas.
Il s'habitue vite à la selle tandis que j suis ses mouvements. Les reins souples, le dos droits et les épaules legerements en arrière je suis prête pour une transition au trot.
Une deuxième pression et nous partons pour un petit trot régulier.
Je suis très fière de mon cheval. Il à changer ce qu'il y a dans mon cœur.
Je glisse un sourire entre deux foulées.

Après quelques galops, Je décide de m'arrêter ici. Il à accepter la selle mais nous devons encore travailler ca. Il à des "tics" quand je trotte ou quand je galope à droite. Sinon les résultats sont satisfaisant.

Plus tard dans la journée je reviens chercher Liberty qui à fini sa ration du midi.
Nous nous dirigeons vers le paddock bien vert et je le lâche à l'intérieur.
Il est tout fou comme un gamin de 5 ans. Ça vous réchauffe le cœur de voir ça surtout dans des périodes comme celle-ci.
En refermant la porte correctement, j'entend un camion qui roule sur l'allée. Qui viens me rendre visite ?

Liberty & LibertéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant