Liberty & Liberté

Chapitre 22 : L'enveloppe.

Je m'assoit tranquillement sur ma chaise, puis boit une gorgé de mon chocolat chaud. Mon gros pull gris m'évite d'avoir trop froid. Quand je repose la tasse, un bruit retenti. J'ordonne à la personne d'entrer, la serrure n'est pas vérouiller. La porte laisse apparaître une silhouette noir. Celle-ci s'approche de moi et me serre dans ses bras. Je recule d'un pas, et le visage sombre laisse celui de Kévin. J'ouvre grand la bouche de stupeur et manque de tomber en tribuchant sur un fils inconnu qui traverser ma cuisine. Il me parle. Ses lèvres bouge mais sa voix ne s'échappe pas. Lorsque je suis contre au mur, je le traverse, étonnant. Mes mains restent figé, je ne peut plus rien faire à part marche arrière. En moins d'une seconde, je suis dans l'écurie où Liberty m'attend, sellé, brossé. Je me met directement sur son dos et parcourons un long champs rasé. Sans que je ne comprennent les transitions entre chaque scènes. Dites moi que je rêve ! Kevin s'impose devant moi, d'un coup, mais je n'arrive pas a m'arrêter. Je n'arrive pas à me tendre et tirer légèrement sur les rênes.
Nous sommes très près de lui, je vais le tuer ! ..

Un son me tire de mon rêve. Je me retourne et vis mon téléphone se remuer en sonnant. Je l'attrape avant qu'il tombe de ma table de nuit et décroché d'une voix faiblarde ..
" Oui je... Allo ?
- Mackenzie ?
- Ah ! Charline ! Tu m'as manqué ! Tu deviens quoi ?
- Et bah ! T'es fatiguer toi ! J'ai appeler les filles, et il se trouve que je viens d'emménager tout près ! On peut se ...
- Ouiiiii ! Viens chez moi ! Et emmène les filles avec toi !
- D'acc ! Dans 2 heure nous sommes toute là ! "
Je raccroche vivement en me précipitant dans tout la maison afin de ranger mon bazard. La table est dressé, le salon rangé, le dîner est en train de chauffer, le dessert au frigo. Les filles sont la dans une demi heure je cours donc me changer.
J'opte pour un slim bleu clair ainsi qu'une chemise sans manche en voile rouge. J'ai à peine le temps de me maquiller très légèrement, que mes amies sont à la porte. Je dessend les escaliers à toute vitesse, et enclenche la poignée ! Je fis la bise à Channel, Rose, Eliza, Gwendo et quand toutes les filles entre chez moi, je découvre la magnifique Charline que je n'ai pas vu depuis aujourd'hui 4 ans. Ses long cheveux bruns et lisse, ses yeux marron étincellent, son TEE-shirt mignon gris, son iphone 6s Rose et son rouge à lèvre rouge lui vont parfaitement ! Elle est très sensible, et en me voyant, ses yeux brille comme quand un enfant voit une sucette. Je lui t'en les bras et se jette dans les miens. Non seulement elle est encore plus belle qu'avant, mais elle a grossi ! Je ne dis pas qu'elle est envelopper ! Non ! Elle est fine et petite, mais elle m'as presque fais tomber par terre !
Nous nous installons au tour de la table de la salle à manger. Nous parlons de beaucoup de chose :
" - Lâche ton téléphone Rose ! Répliquait-je
- Je parle à Kendji.. 
- Tu t'est marié avec, il ne va pas s'envoler ! Continue Eliza
- D'accord, dit-elle en reposant son téléphone devant elle.
Je me retourne vers Charline et demande :
- Sinon toi ! Quoi de neuf ?
- Bah rien, j'emmènage ici à cause de quelques problèmes financier, mais rien de bien méchant. Et toi ? T'as enfin trouver l'amour ! S'exclame-t-elle en montrant du doigt un cadre photo, dans lequel moi et Kevin s'embrassions.
Je baisse la tete, en espérant que les filles viennent à la faire changer de sujet. Gwendo compris enchainé instinctivement :
- Ça vous dis un film ? "
Les filles, heureuse accours  vers le salon pendant que je remercie ma Gwendoline de m'avoir sauver. Je lui saute dans les bras, presque les larmes aux yeux.
Nous n'avons pas le temps de regarder le fameux film, le plat est prêt.
Je sert un à un mes invites et prend place avec eux. Channel écarquille les yeux après avoir pris une bouchée. De peur j'interviens :
" Quoi ? C'est mauvais ?
Elle rit puis me répond :
- Ah non ! Pour une fois je vais pas finir à l'hôpital ! "
Il est vrai que mes talent  de cuisine se limite aux pâtes..
Nous dégustons ma paella, quand Rose reprend son téléphone:
" - Qu'est-ce que tu fais ? Demandai-je
- C'est le plat préférer de Kendji. "
Dit-elle en se levant brusquement de la chaise en manquant de la renverser. Nous entendons le bruit de l'appareil photo puis elle se rassois.
Moi et Eliza nous nous regardons, en retenant notre fou rire. Eliza continue :
" - Mon Kenzo, lui, adoooooore le ..
- T'en a pas mare de tout ramener à lui ? Coupe Gwendo.
- Il est ..
- Parfait, oui , on connais la chanson réplique Channel.
Eliza regarde le ciel entre de boucher, la tête dans la lune.. "
Le dîner fini, les filles retournent à leur film, tandis que je frotte la vaisselles. J'entend quelques fous rires et de grande respiration en signe de stupéfaction.

J'essuie mes mains mouillés, et jette un coup d'œil par la fenêtre. Un simple reflex. Je n'espère pas voir papa ou Kevin revenir, mais j'aime juste voir le dehors, comme pour prendre une bouffés d'air fraîche. Je vois au loin, un homme sur un vélo, approchant de ma propriété. Sur son blouson, le symbole de la poste est cousu.
Je préviens les filles que je vais juste lui dire bonjour, enfile un gilet accroché au mur, mes chaussons, et me voilà dehors.
" Bonjour ! Comment vous allez monsieur Caspar ?
- Oh ! Mademoiselle Mackenzie, les gens me remerciant de leur apporter leur courrier sont de plus en plus rare..
Malgré son grand âge, il est très gentil.
- Ne vous inquiétez pas pour ça, du nouveau pour moi ?
- Oui ! " il fouille dans sa vieille sacoche
Et me ressort un paquet de lettres dont la plupart sont des factures.
- Merci beaucoup ! Passée une bonne journée Monsieur Caspar ! "
Il me salue de la main et pédale à nouveau. En entrant, je lance le paquet sur la table afin de les ouvrir plus tard.
Je me laisse tomber sur le canapé à côté de Charline, et me glisse sous la couverture devant leur film.
Il y a pas si longtemps, j'étais là, sous le bras de Kevin.
Je chasse ma pensée et me plonge dans la comédie. 

" C'étais très bon ! A la prochaine ! " Me dit Channel en me faisant la bise. Les filles s'en vont une par une, laissant ma maison comme elles l'ont trouver. Je suis à nouveau seul et décide de déchirer mes enveloppes. Je prépare un bon café et m'assoit sur cette même chaise où chaque jour, papa lisait son journal entre deux gorgées. Les factures de foin, de paille, de nouveaux équipements, d'électricité, etc , s'enchaîne. Ma dernière enveloppe est entre mes mains, elle est assez lourde. Je glisse une lame au dessus du paquet et fait tomber un objet. Une montre. Celle-ci me dit quelque chose, mais je ne sait plus vraiment .. Rien d'autre s'y trouver, pas de mots, de lettres, d'adresse à laquel répondre, rien. Je décide la mettre en exposition près du cadre et vas voir le père de Kévin, l'aider à son boulot.

J'arrive dans l'écurie où Jason (le père de Kévin) se débat avec Mlidden, un hongre. Il est grand et musclés, et à une grande frayeur des cravaches, ballon d'équitation, blouson et bonnet. Je n'ai pas prévenu le pauvre malheureux, qui tente de l'amener avec sa doudoune et un bonnet, où un pompom pend au dessus. Je marche assez vite et attrape la longe et explique à Jason la situation.  Nous le rentrons dans son box prévus, puis je lui dis de rentrer chez lui, c'est assez pour aujourd'hui. Tout est fait, je ferme bien les portes après avoir embrasser mon Liberty. Je ne trouve plus le temps pour lui..

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Allez ! Aujourd'hui, je travaille mon cheval. Nous enchaînerons les sauts, le dressage et une balade. Grosse journée, mais il a eu de belle vacances ! De plus, notre concours est demain ! J'attrape un licol et attache mon cheval. Les soins de tout les jours s'imposent. Je lui met un vieux tapis rouge ainsi qu'une nouvelle selle marron. Nous nous installons au beau milieu du manège. J'opte pour la longe afin de le détendre avant de commencer le saut. D'un claquement de langue, mon compagnon démarre.