One Shot 2: La vengeance d'une enfant

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Je sortais de la voiture, il n'y avait pas de bruit dans la cour. Il devait y avoir personne, je prenais mon sac et me rendais à l'intérieur de la maison. Effectivement, il n'y avait aucun signe de mon géniteur et de sa femme. Je montais dans ma chambre, jeta mon sac sur ce qui me servait de lit de temps en temps et alla prendre une douche sous une musique rock alternative. Je me demandais tout de même où avez t-il put bien partir, même pas capable d'accueillir sa fille alors que cela faisait deux ans qu'on ne s'était pas vu, pas qu'il m'est manqué au contraire moins je le vois et mieux je me porte mais j'ai décide de faire un effort, un énorme effort pour passer mes vacances dans cette maison que je déteste. Cette maison où j'ai vu disparaître la personne la plus cher à mes yeux, cette maison me rappelle que de mauvais souvenir, de mauvaise actes, des mauvais moments, des mauvaises personnes. Dans cette maison rien de bon n'arrive et rien de bon n'arrivera temps que je serais en vie! C'est ce que j'ai décidé depuis que j'ai eu mes dix huit ans, que je ne serais pas la seule à souffrir, il connaîtra la même souffrance que moi, il pleura comme moi! Je le jure sur ma vie!

J'entendais une discutions en sortant de ma chambre pour me rendre à la cuisine. Je m'y dirigeait et tout en observant par dessus la rempart de l'escalier qui me donnait une vu sur notre salon je trouvais mon père et sa femme en train de parler. Ils rigolaient, parlaient s'embrassait et mon père caressait le ventre déjà bien grossit de celle-ci. Il devait rester à peine quelque mois avant qu'elle n'accouche. J'espérais franchement ne pas être présente pour voir ce gamin ... bien sûre si elle arrive à accoucher. Je descend et interrompt leur petit moment en m'imposant de la télé avec ma musique rock. Ils me fixent mais ne disent rien, je sais qu'il ne dira rien quant à elle, elle hésitait toujours à me parler de toute façon je ne l'écoutais jamais. Ils bougèrent surement pour se rendre dans leur chambre. 

 - Papa! Papa! Maman! elle va pas bien, la petite fille courrait vers cette homme, j'aurais voulu lui dire que cela ne servait à rien mais elle était déjà devant lui, hurlant à son père de venir en aide à son épouse mais il ignorait, elle essaya de le faire réagir mais faillit se prendre une claque, elle repartie alors vers sa mère qui avait déjà dévaster le sol avec le sang qu'elle crachait. Je la regardais, elle essayais du mieux qu'elle pouvait d'aider cette femme
 - Aider moi! Aidez moi! Cria t-elle dans la rue, des passant s'arrêtèrent pour l'aider 

Je les regardais l'aider, appeler les urgences, le père n'avait pas bouger de son canapé et regardait la télé en toute tranquillité malgré l'agitation. Sa fille avait perdu espoir, je la regardais, elle me regardait, nos esprit furent réuni et la même penser nous habitait si sa mère ne s'en sortait pas, lui non plus s'en sortira pas! 
Je me levais en sursaut, je passais une main pour éviter que mes larmes ne coulent ce n'était pas du tout le moment. Je regardais l'heure sur mon réveille, il n'était que six heure du matin. Je pris mon téléphone, j'avais un message de Harry, un gars qui vivait pas loin d'ici, on avait rendez-vous aujourd'hui à quatorze heure. Je m'entendais assez bien avec lui, il me faisait oublié ma solitude et mon côté dépravé, il était un peu plus âgé la vingtaine je crois, on s'était déjà vu plusieurs fois et depuis quelque mois on sortait ensemble. Je me levais bien décider à faire chier mon monde. Je descendais doucement, pour ne réveiller personne, brancha mon téléphone à l'emplie. Il suffit de quelque minute pour que toute la maison soit réuni dans le salon à me voir me trémousser sur la musique. Je faisais bien sûre l'aveugle et continuais, j'augmentais même la musique avec la télécommande mais je n'obtenue que le silence. Mon père venait de débrancher les amplis! Je le fixais tout sourire et remonta dans ma chambre en prenant soin de bousculer ma belle mère. Je me rendormis alors plus paisiblement et attendait mon après midi avec Harry avec impatiente. 

On blaguait comme à notre habitude sur tout et rien, Harry était vraiment un bel homme, gentil, présent, à l'écoute et il ne cherchait en aucun cas de profiter de mon héritage pas comme tout les autres gars qui ont crut que j'étais suffisamment conne pour croire en leur faux amour. Nous étions dans un bar à manger et boire, j'écoutais ces derniers anecdotes, ils avaient réussit à faire financer son projet étant donner que son patron lui avait laisser carte libre et qu'il devait se débrouiller pour financer le projet. Quand se fut à mon tour de lui raconter mes anecdotes, je lui racontait un peu ce qui s'était passé en cours, mes notes et plein d'autre chose. Cela faisait déjà quelque bonne minute qu'on était là et on allait partir, on se leva, il s'approcha près de moi et me prit par la taille me rapprochant près de son corps, nos lèvres étaient si près, nos souffles s'entremêlaient mais il coupa court à ce moment, un bruit sourd nous arrêta et qu'elle fut ma tête lorsque je vis mon père avec une fille assez jeune à son bras. Toujours aussi fidèle à ce que je vois, la fille à ses côtés me regarda avec un léger sourire, suffisamment pour ne pas se faire remarquer, je fis de même et me promettait de rire avec elle ce soir. Mon géniteur partit à tout vitesse alors que mon petit ami restait stoïque. 

Aux ames meurtriesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant