La cité restera gravé.

Moi c'est Sofiane

J'rentre chez moi encore khali de la veille. J'ai toujours trouvé la vie paradoxal, comme dirait un certain Artiste "on connaît le chemin du paradis mais on s'laisse conduire par un tox", à la cité sa a toujours été comme ça, nos parents se tue à nous éduquer dans le droit chemin tu sors on te propose une taf puis deux et tu plonge. Une fois que ta plonger Dieu seul sait que c'est très difficile d'en sortir sa rentre en toi, aveugle par le biff faut combler la Hess. "Riche dans l'haram ou pauvre dans l'hlel alors choisis vas y dis le ?". Au quartier le choix a été vite fais .. J'traverse la tess les pensées dans le vide, le regard perdu. Deux trois ptiots qui font un foot, les daronnes qui rentre du marché les darons posé au café j'renifle l'odeur de la tess, il doit être 12:30 j'sais pas j'perdu la notion du temps depuis hier soir. Un petit plan proposé par l'refré Mehdi alias Mowgli "y'aura d'la meuf et de quoi s'hydrater joue pas la tappette frero" qui m'avait dit. Mowgli c'mon frère, ah Yemma comment te dire que j'ai un frère qui n'est pas ton fils? On a grandis ensemble c'mon acolyte depuis mino j'ai tout fait avec lui d'la première taf au premier braquo qu'Allah nous guide. Mowgli et Simba dans la jungle, deux âmes perdus sûrement vendu à Sheytan. Bref j'traverse donc la cité cerné par la haine, un mal de crâne insupportables, où aller ? Rentrer chez oim? Avec cette gueule, j'pue la habta j'suis un clochard certes mais pas un pd, Yemma doit se douter que jui pas clean mais jamais elle me verra dans cet état starfallah, j'me rend donc au local. Un petit local pourris qu'on à emménager avec Mowgli, un canapé une table des cendres du charbons des cul d'joint des bouteilles de habta bref la maison du Sheytan quoi .. J'metale sur l'canap et j'mendors jusqu'à ce que le vibreur d'mon bigo me réveil. Mowgli.