Chapitre 4

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NARRATEUR JACK :

La sonnerie retenti dans les couloirs du lycée. Enfin c'était la fin de ce cour ennuyeux !
Je vis Elsa sortir de la classe paniquée. Intrigué, j'analysa la salle de classe d'un coup d'œil et aperçut le cahier de celle-ci sur sa table.
Je le pris et étrangement la couverture du cahier était gelée. Je gara du bout du doigt le gel formé sur le dessus du cahier. Je releva la tête et sortis rapidement de la classe pour ne pas perdre Elsa de vue.

JACK : Elsa !

Elle fit volte-face avec rapidité et me regarda intensément. Gêné je me gratta la nuque en lui tendant son cahier.

JACK : Tu as oublié ça.

À la vu de son bouquin, elle écarquilla les yeux en me dévisageant. Puis la panique se lu dans ses yeux.

ELSA : Euh..merci

Je lui sourit et commença à partir tout en me posant de nouvelles questions.
Une main me retenu par les épaules.

HAROLD : Eh mec, attends-moi !

Harold marcha à mon niveau tout essoufflé. J'avais marché si vite que ça ?

JACK : Désolé...

Il regarda devant lui puis se retourna vers moi.

HAROLD : Dis ? T'as pas l'impression qu'Astrid est distante avec moi depuis la rentrée ?

JACK : Nan...

Mon meilleur ami se mit devant moi et me regarda avec insistance.

HAROLD : Qu'est ce que t'as ?

Je releva la tête puis regarda le sol.

JACK : Rien...

HAROLD : Me prend pas pour un idiot ! C'est cette Elsa qui te rend con ?!

Il me poussa légèrement contre le mur du couloir pour que je donne une raison à mon comportement.

HAROLD : Aller, dis moi !

JACK : Tu veux vraiment savoir ce qu'il y a ?! Très bien. Je crois que je commence à perdre le contrôle de mes pouvoirs !

HAROLD : Je te signale qu'à crier comme ça la moitié du lycée tu préviendra la moitié du lycée...
Et puis qu'est ce qui te fait dire ça ?

JACK : Le cahier d'Elsa, il y avait du gel dessus et c'est moi qui l'avait entre les mains !

HAROLD : Ça prouve rien, c'est sûrement une décoration...

JACK : Tu pense vraiment que je ne sais pas faire la différence entre du gel et une simple décoration de cahier ?

HAROLD : Bah on sait jamais...

Ma main partit toute seule sur son front, il me désespère cet enfant...

HAROLD : Rhooo ça va ! Mais est ce que s'est grave si tu les contrôle de moins en moins ?

JACK : Non t'inquiète, juste un deux pics de glace dans la figure et tu meurs...

HAROLD : Pauv' type !

Je me mis à rire sous la désespérance de mon ami et nous continuâmes notre chemin jusqu'à la prochaine salle de cour.

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