Mensonges Et Trahisons

Chapitre 17

PDV HAYLEY

Choquée et énervée. Voilà les émotions qui me submergent en ce moment-là.

 Je me trouvais dans la voiture de Sam et il y avait un silence plus que pesant. C'est vrai que j'y suis pour beaucoup là-dedans mais bon.

Sam : Bon, tu vas me dire ce qu'il c'est passé là-bas ?!

Moi: Rien. Il ne s'est rien passé.

Sam: Ne mens pas ! Depuis que tu es rentrés dans cette voiture tu ne m'as pas adressé un mot ! C'est à cause de la dispute chez Matthieu ?

Moi: Sam. Je.... Je n'ai vraiment pas envie de parler. Je suis fatiguée.

Sam: Très bien.

Nous continuons notre chemin comme nous l'avons commencé,dans le silence. Il arrêta sa voiture devant chez moi, je sortis et me dirigeais vers la porte.

 J'avais la main sur la poignée mais hésitais. Et si mon père était là ? Et puis zut je n'ai vraiment pas envie de rester là comme une imbécile. Je rentrais et ne regardais pas si mon père était là ou pas et courus à ma chambre. 

Je fermais la porte et m'y appuyais. Je n'ai vraiment plus envie de côtoyer des monstres.

"Dit la fille qui 30 minutes avant voulait tuer Leo."

Non. C'est complètement différent. Eux font parties d'un gang pas moi.

"Mais tu es une meurtrière."

Je ne suis pas une meurtrière. Je ne l'ai pas tué.

"Mais l'envie y était. Tu dis que ce sont des montres mais tu n'es pas mieux. Que diraient Lori et ta mère ?"

Moi: Non, non ! Foutue conscience ! Je me glissai au sol. Je me balançais d'avant en arrière répétant toujours la même phrase. C'est faux.

PDV SAM

Je rentrais dans la maison de Matthieu. 

Dans le salon je vois Martin qui fait les cents pas en se tirant les cheveux. J'allais vers lui, l'attrapais par le col et le plaquais contre le mur

Martin: Lâche-moi je ne suis pas d'humeur. Dit-il froidement.

Moi: Qu'est-ce que tu as fais à Hayley ?!

Martin : Je lui ai dit la vérité.

Moi: arqués les sourcils. De quoi tu parles ?!

Martin: souffle. Qu'on est un gang.

Je lui donne un coup de poing. Sa tête tourna brusquement vers la droite et je vis ses yeux verts devenir sombre et froid.

Martin: Je t'avais prévenus.

Il se détacha de mon emprise et s'approcha dangereusement de moi. Il allait me donner un coup de poing quand Matthieu arriva.

Matthieu : Stop ! Il baisse le bras de Martin qui était resté en l'air.Les gars ce n'est vraiment pas le moment de s'embrouiller. On a mieux à faire ! Leo s'est échappé !

Moi : Quoi ?!

Martin: Voilà pourquoi je t'ai dis que je n'étais pas d'humeur.

PDV MIA

Nous nous retrouvons à Branc. Dans la maison de Jordan. Ont étaient tous assis sur le canapé.

Leo: D'ailleurs, comment va Julia ?

Jordan : Je ne sais pas. Cela fait 1 mois que je ne l'ai pas vu.

Rayan: Mais elle doit être morte de faim la pauvre !

Moi: Comment ça ce fait que tu ne l'a pas vu depuis 1 mois ?

Jordan: Je.... J'étais à l'hôpital.

Il y eu blanc. Tout le monde sauf Rayan le regardait avec les yeux ronds. Et soudain, Leo se leva du canapé.

Moi: Qui t'as fait ça ?! Je vais le pourrir !!

Jordan: Non ! Ce n'était juste qu'un accident de voiture.

Moi: T'es sûr que tout va bien ? 

Jordan: Oui, ne t'inquiète pas.

Leo: Bien, maintenant parlons.

PDV EXTERNE

Cinq hommes se trouvaient dans un bureau. Tous un verre à la main, ils rigolaient à gorge déployés.

 Quand soudain, la porte s'ouvrit. En entendant ce bruit, les 5 hommes se levèrent et sortirent leurs fusils de leurs vestes. Tout ça, avec une grande rapidité. Voyant que ce n'était qu'un employé, ils rangèrent leurs armes et reprirent leurs places.

....(1): Toque avant d'entrer ! Tu nous as fait peur !

Employé: Je suis désoler messieurs. Mais c'était pour vous prévenir que nous avons eu des échos comme quoi il commence à y avoir du grabuge à Londres.

....(5): Comment ça ?

Employé: Deux gangs ne s'entendent pas très bien si vous voyez ce que je veux dire.

....(3): Intéressant...

....(2): Pas intéressant du tout ! Je ne veux pas de bain de sang dans notre ville !!

....(4): Détends-toi ! Pour l'instant surveillons et puis nos enfants sont là-bas. Ils vont gérer la situation.

....(1): Oui pour l'instant laissons nos enfants s'en charger mais si ça continue nous interviendrons ! S'adresse à l'employé. Surveille bien Londres. Et reviens nous voir dès que ça se gâte !

Employé: Bien, je peux y aller ?

....(1): Tu peux.

L'employé partit laissant les hommes soucieux.

....(2): Moi j'aurai pris un vol pour Londres illico presto ! Mais bon.

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Voilà !

J'espère que sa vous à plus !