La lumière filtrée par les rideaux de couleur bleu assez foncé, virant vers le marine éclairait légèrement le mur et mon visage me réveillant tout en douceur.
J'étais seule dans le lit, pratiquement comme à chaque fois que je me réveillais dans cette grande pièce blanche ne possédant seulement un grand lit deux places et un bureau. Sur les murs blancs il n'y avait aucune décoration, aucun cadre, aucune photo comme si c'était une pièce où l'on venait d'emménager, tout était blanc mais pourtant ça faisait trois ans que je dormais souvent ici et rien n'avait changé pas même la parure du lit, à chaque fois que je venais ici c'était toujours cette même couette blanche avec ses même draps blancs. C'était une sorte de routine chaque semaine.
Le temps que je me remémore ma journée ainsi que ma soirée d'hier, je commençais à m'inquiéter. Quelle heure était-il ?J'attrapais mon téléphone posé sur la table de chevet pour y jetais un coup d'œil . Je fus surprise et poussais un soupir dût à mon incapacité à être responsable, l 'horloge de mon téléphone m'indiquait qu'il était 10h20 et que donc bien sur j'étais plus qu'en retard, j'avais raté la moitié de mes cours de la matinée soit un cours de français et un cours de mathématiques. Certes c'était les matières que je détestais le plus mais ce n'était pas une raison pour les loupé, surtout qu'il était prévu que mes notes ainsi que mon comportement s'améliore cette année.
Etbien chérie tu te surpasses pour suivre tes bonnes résolutions. Medit ma conscience.
Je me désespérais moi même car il fallaitavouer que de nombreuses fois j'avais réussis à m'attirer desennuis sans faire grand chose. Et là pour le lendemain de la rentrée je séchais déjà les cours, quelle élève modèle ! J'étais en retard en cours c'était évident alors je décidais de ne pas y aller, ma présence n'aurait pas été bien utile à présent même si je savais que tôt ou tard je payerais les conséquences de cette décision.
Toujours sur mon téléphone je regardais mes notifications. Je fis le tous ces réseaux sociaux qui pourrissent la vie des adolescents les rendant véritablement accro pour cause qu'ils étaient très addictifs. Bien que je critiquais ces réseaux sociaux j'étais exactement comme les autres personnes de mon âge, sans cesse sur mon téléphone mais contrairement à eux c'était plutôt pour utiliser la boîte messagerie que d'aller sur instagram ou sur snapchat. J'y allais de temps en temps sans trop en abuser parce qu'a un moment ça me soûlait de voir un fil d'actualité énorme défilait sous mes yeux me racontant la vie des gens alors que je n'en avais aucune envie car je m'en contre fichais.
J'avais un message, d'un numéro inconnu.
Lui-Alors chérie comme ça tu sèches, tu as trop peur de ce que je pourrais te faire ?
C'était Josh à tous les coups je n'avais pas beaucoup d'amis et donc pas grand monde qui m'envoyait des messages et c'était évident que c'était lui, car il n'y avait que cette personne, dont j'avais fais la connaissance hier et qui allait sûrement m'apporter bien plus d'ennuis dans l'année que moi toute seule, qui m'appelait par ses surnoms ridicules de dragueur à deux balles.
Moi-Comment tu as eu mon numéro toi ?
J'étais sincèrement curieuse de deviner comme ce débile avait obtenu mon numéro alors que très peu de gens l'avaient.
Lui-J'ai le numéro de tout le monde tu sais chérie.
Même par message son comportement m'agaçait, c'était typiquement le style de mec qui voulait séduire toutes les filles profitant de son physique avantageux. Oui Josh était plutôt beau et ça je ne pouvais pas le nier ce que je détestais était le fait qu'il se permette de prendre les filles pour des jouets, comme si c'était des objets avant de les lâcher sans avoir aucun remord. Son numéro par message m'agaça et c'est pourquoi je lui répliquais d'un façon la plus froide même si ça restait une conversation purement virtuelle.
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Brisé
أدب المراهقينLouise Johns, 16 ans, la fille que tout le monde à oublier, dont plus personne ne se préoccupe . Détruite par le temps, abandonnée de tous ceux qu'elles aiment. Cette fille mystérieuse qui cache une chose bien trop lourde et grave pour ses frêles é...