Sujet A2 [Terminer]

Le labyrinthe

Le lendemain, Minho m'a réveillée de bonne heure. Il ma donner un sac avec de la nourritures et une bouteille d'eau. J'ai attachée le sac à ma taille et j'ai attachée mon couteau dans mon dos.
Se n'est que la deuxième fois que je vais dans le labyrinthe, donc, je préfère prendre mes précautions.
Alby est venu nous rejoindre tout comme Newt, lorsque moi et Minho venions d'atteindre les portes. Ce que j'ai compris s'est qu'Alby a donné le commandement à Newt, son second, pendant son absence.
Cette fois, Newt ma sourit, il n'a pas été timide. Il ma souhaité bonne chance et j'ai suivi les deux garçons dans le labyrinthe, lorsque les portes se sont ouvertes.
Je crois que nous avons courus quelques heures, avant qu'ils se décident à s'arrêtés.
Je m'accote contre le mur pour reprendre mon souffle et je demande :
- Sa fait combien de temps qu'on court ?
- Seulement trois heures, dit Minho en souriant. T'inquiète, ma jolie, tu vas t'y habituée.
- Où il est ton cerbère ?
- Dans la section 5.
- La section 5 ?
Alby se tourne vers Minho.
- Tu ne lui as pas dit ?
Minho hausse les épaules.
- J'ai oublié.
Quoi, il est sérieux !
J'entends la voix dans ma tête se mettre à rire.
- Bon, dit Minho, il faut y aller. Tu te sens d'attaque ?
Je me relève après avoir pris une gorgée d'eau.
- S'est quand vous voulez mes dames, dis-je.
Les deux garçons se regardent et se remettent à courir. Je souris et les suis.

En courant, j'ai commencée à voir de grand nombre sur des murs. 1, 2, 3, 4 et lorsqu'on arrive au cinq, je ressens une curieuse impression. Je m'arrête de courir et je regarde autour de moi.
Pourquoi ai-je l'impression qu'on m'observe ?
En me retournant, je découvre que les garçons ne sont plus là.
Non, non, non. S'est pas vrai ! Où ils sont maintenant !
Aucune idée, me répond la voix.
Attend. Tu as aucun mal à retrouvée une montre, mais tu ne sais pas où son Alby et Minho.
Je marche en espérant pouvoir les voir, mais non. Ils sont partis et vont mettre du temps avant de s'apercevoir de ma disparition.
J'ignore pendant combien de temps je déambule toute seule, alors je me fis à la position du soleil dans le ciel. Quand je me dis que je ferais mieux de rentrer à la zone, j'entends un bruit. Un rugissement mécanique.
Un cerbère. Et le cri est tout proche.
Vas-y, me dit soudain la voix.
Quoi, tu plaisantes ?
Minho a dit qu'il voulait montrer un cerbère à Alby, donc, ils doivent être par là-bas.
Pas faut.
Je commence à courir là où j'ai entendue le cri. Heureusement, la petite voix dans ma tête a fini par se souvenir du chemin à prendre.
À droite, à gauche, tout droit, à droite.
Je finis par trouver Minho dos à moi avec son couteau à la main et Alby étendu par terre.
- Qu'est-ce qui s'est passé ?
Minho se retourne vers moi essoufflé.
- À ton avis ? Le cerbère nous a attaqués. Et toi, tu étais passée où ?
- Je... je me suis perdue.
Minho pousse un rire forcé et regarde par terre. Je m'approche d'Alby, allongé par terre. Il a une blessure au front, au torse et au ventre.
- Qu'est-ce qui lui est arrivé
- J'ai fait ce que j'avais à faire.
Il la frapper. Pourquoi ?
Pour l'empêcher de devenir comme Ben, me dit la voix.
Minho s'approche de nous et range son couteau.
- Il faut le ramener dan la zone avant que les cerbères reviennent.
Pourquoi un cerbère ferait semblant d'être mort ?
Un autre rugissement se fait entendre pas très loin de nous.
- Y faut y aller, dit-il en se penchant pour transporter Alby. Garde ton couteau à porter de main.
Je lève la tête et remarque qu'on doit être en fin d'après midi. Les portes vont se fermer dans pas longtemps. Je sors mon couteau de mon étui et je suis Minho.

Mon coeur commence à battre rapidement dans ma poitrine.
J'ai un mauvais pressentiment.
J'ai un peu plus d'avance que Minho et je m'assure qu'on aille pas un autre comité d'accueil à un intervalle. Une étrange substance qui doit ressembler à du sang de cerbère dégouline de la lame de ma machette.
Pendant qu'on retournait à la zone, un cerbère s'était pointé pour nous attaqués. Le cerbère ressemblais à une immense larve hideuse avec des pattes d'araignée ainsi qu'une queue de scorpion mécanique les deux.
Il s'était avancé pour nous coincé contre un mur, mais pour une raison que j'ignore encore, je l'ai provoqué. J'ai utilisée mon couteau pour le frapper en essayant de ne pas me faire toucher par sa queue de scorpion. J'avais réussi à lui faire une égratignure à son affreux visage, qui me faisait pensée à Gally, mais il m'a ensuite balancer contre un mur. Minho s'est joint au combat et le cerbère s'est enfuis comme un lâche.
Ma tête me fait mal depuis l'impacte, mon bras droit et mes côtes du même côté m'arrache à chaque mouvement, à chaque respiration. Ma jambe me faisait mal au départ, mais s'est plus le genoux qui me donne l'impression qu'il va se dévisser du reste de ma jambe.
Le soleil va bientôt se coucher et on est presque arriver dans la zone. Je regarde Minho, épuisé, transporter Alby. On atteint enfin l'entrée du labyrinthe lorsque la bourrasque de vent avec le petit cri en écho se manifeste suivi après du bruit des portes qui commence à se refermer. Minho arrive dans l'allée en premier avec Alby et j'arrive en boitant légèrement à cause de mon genoux. Newt est à l'avant et son visage reflète la peur. Il est clair qu'il a peur que nous soyons coincés de ce côté là.
Je continue du mieux que je peux de marcher avec ma jambe, mais un éclair de douleur me traverse tout le côté droit de mon corps. Je retiens un cri de douleur et je m'écroule par terre, où plutôt, je tombe à genoux essoufflée. Je ne peux plus faire un pas et Minho non plus. Il laisse tomber Alby au sol et tente de le traîner, mais lorsqu'il m'aperçoit, il s'arrête d'avancer.
Du côté de la zone, les garçons crient en nous disant de nous dépêchés, mais nous n'avons plus la force de faire quoi que se soit. De toute façon, les portes sont trop près pour que l'un de nous traverse. Minho ne nous abandonnera pas et je refuse de laisser les garçons à leur sort.
Les portes se referment et les voix des garçons se taisent aussi.
Un silence s'installe entre nous, depuis la fermeture des portes et leur foutu règle me reviens à l'esprit.
Règle numéro trois: ne jamais aller dans le labyrinthe.
En ce moment, je crois qu'on s'en fou, me dit la voix.
Minho se relève et s'avance vers moi.
- On doit partir.
Un autre cri de cerbère se fait entendre, plus loin dans le labyrinthe.
Je me lève avec peine et m'approche d'Alby.
- Aide-moi, dis-je.
- Le labyrinthe est déjà en train de changer. On doit partir maintenant.
- Minho ! hurlai-je.
Il a du sentir que j'étais terrifiée, car il se tourne pour me regarder.
- On peut pas laisser Alby ici.