chapitre 2

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Salut à tous, voilà un nouveau chapitre de passé secret, j'espère qu'il vous plaira. Bonne lecture à tous.
Et en se 31 décembre 2015 je vous souhaite à tous un bon réveillon du nouvelle an et une bonne année 2016 et une bonne santé à tous !!!

pv yuna :

Cela faisait quelques mois que mon demi-frère Masashi avait divorcé de sa femme Shoko, mais il ne paraissait pas triste. je lui avais alors demandé pourquoi et il m'a regardé avec ses yeux froid et répondu : " cette femme n'est qu'une croqueuse de diamond ! je préfère divorcé et être célibataire que d'être en couple avec une femme comme ca."
Croqueuse de diamond, c'est comme ça qu'il avait nommé son ex-femme mais aussi ma mère et moi, malgré ça j'étais tombé éperdument amoureuse de lui.
Grand et mince, une voix douce, basse et retentissant. Un regard intelligent et plein d'assurance. Plus je passais du temps avec lui, plus je le trouvais attirant. Ses yeux, sa façon de bouger les doigts, de pencher sa tête. Mon coeur répondait à chacun de ses mouvements et des sentiments doux et amers me serraient la poitrine.

Après tant d'années, je me décidai enfin à lui avouer mes sentiments. Aujourd'hui Masashi avait pris un congé après avoir passé une semaine à faire des nuits blanches à travailler. Il était assit sur le canapé, ses longues jambes étaient croisées, il était en train de lire le journal d'un air concentré. je le sortie de sa lecture en l'interpellant :

"Yuna : Masashi j'aimerais te parler, c'est quelque chose de très important, je suis vraiment sérieuse !

Masashi : je t'écoute, que veux-tu me dire ?

Yuna : je suis amoureuse de toi, je t'aime depuis le premier jour ou je t'ai rencontré.

Quand Masashi m'a entendu, il a baisséses longs cils comme toujours, et son sourire mystérieux est apparu au coin de sa bouche. Puis il me dit :

Masashi : toi et ta mère, vous ne m'intéressz pas. Espèce de croqueuse de diament."

je m'étais figé sur place, il ne m'avait pas seulement insultée moi-même mais aussi ma mère. me répondre de cette façon m'avait vraiment choqué, je m'y attendais un peu mais ça m'avais énormément blessé. La façon dont il avait parlé, un ton glacial et moqueur, m'avait brisé le coeur. Je partie dans ma chambre en courant, mes jours mouillés par mes larmes. Elles n'ont pas arrêté de couler de toute la nuit.
Le matin suivant mon visage était bouffie, les yeux rouge et la voix un peu cassé. Je me levais difficilement, les événements de la veille se ressasèrent dans ma tête. J'arrivais devant la porte du salon qui était entre-ouverte, je regardais par la fente et vu Masashi boire son café. Mes larmes recommencèrent à se remplir dans mes yeux, je ne rentrais donc pas dans la pièce et partie directement à l'université pour trouver du réconfort au près de mes seules amies.

Arrivé devant notre salle de club, j'ouvris la porte et ne vis personnes. Je l'installa sur une chaise et les larmes que je retenais depuis tout à l'heure déferlaient sur mon bisage pour tomber sur la table créant un reflet sur le verre du meuble avec la lumière éclatante du soleil. Mes sanglots ne s'arrêtaient pas, je crois même qu'on pouvaient les entendre de derrière la porte.

pv haru :

Quand j'étais plus jeune ma mère c'était mariée avec le président du groupe Kametaka. Mon nouveau père était heureux, il allait m'avoir comme enfant car il ne pouvait pas en avoir. Moi aussi, qui n'avais jamais eu de pere, j'étais contente, j'allais enfin connaître l'amour paternel. Il était toujours à me dire qu'il était fier de moi, que j'étais très belle, intelligente et que je pourrais peut-être devenir l'héritière du groupe Kametaka. Malheureusement, quand les membres les plus âgés de la famille décida des candidats pour devenir l'héritier, ils ne m'acceptaient pas en mettant en avant le fait que je n'avais aucun lien de sang avec leur clan. Mon père était très déçu, pas envers moi mais, envers les aînés qui ne me reconnaissaient en tant que membres de leur famille.

Les années passèrent, les regards, les comportements des membres de la famille Kametaka s'empirèrent. Dans le dos de mes parents, ils m'insultaient, me critiquaient, rendant ma vie infernale, rejetant la faute sur moi à tout moment pour des choses dont je ne savais rien.

Un soir, ma tante Yuriko surgit dans le salon, criant comme une hystérique en s'approchant de moi. Elle me gifla tellement fort que maa joue devint immédiatement rouge. Mes parents n'étant pas là pour le mois, Yuriko en profita donc pour me gifler encore et encore pour ensuite me frapper avec ses pieds chaussé de chaussure à talons aiguilles pour m'effondrer sur le sol. Ensuite elle m'enfonca ses talons sur ma main avec une force que je ne lui savais pas.
Une servante ouvrit la porte violemment avec un visage apeuré, sûrement alerté par mes gémissements de douleurs. Ma tante partit en me regardant avec méprit et dégoût, et la jeune femme en tablier se précipita sur moi pour m'aider à me relever et m'emmener dans ma chambre pour ensuite soigner mes petites mais douloureuses blessures.

" Servante : Mademoiselle Haru, vous devez prévenir Monsieur de ce que vous as infliger Madame Yuriko !

Haru : Non je ne lui dirai rien.

Servante : Mais Mademoiselle vous devez lui dire, autrement c'est moi qui lui parlerai !

Haru : Non je t'en conjure ne lui dit rien sinon ce sera pire que maintenant et puis à force j'y suis habitué. "

La servante me regarda avec un regard remplit de tristesse et de pitié en me voyant la supplier de ne rien raconter. Le lendemain j'allais passer la porte d'entrée quand la servante d'hier me demanda si j'allais bien, si les blessures ne me faisait pas souffrir. Je lui répondi que non mais au fond j'avais un mal, plus mentalement que physiquement.
Arrivé à l'université, n'ayant pas cours la première heure, je partie dans la salle de club retrouver mes seules amies. Sauf qu'au moment où j'ouvris la porte, je vis Yuna le regard vide, des larmes coulé sur ses joues. Je l'as pris dans mes bras, la serrant fort, ignorant la douleur de mes bleus, pour pouvoir la consoler. En sentant ses sanglots, je sentie les larmes monter et je ne pu me retenir moi et j'explosa dans ses bras.

Un passé secret "en Pause pour réécriture "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant