chapitre 1

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Depuis que ma mère Ritsuko c'est marié avec Shigefumi Sonobe et que je suis arrivé dans la famille Sonobe, personnes de cette famille ni les ceux travaillant avec mon père et toutes les personnes sachant que je suis devenue la princesse Sonobe ne m'a jamais aimé à cause de la réputation de mère.
Quand mon père et mon frère Keisuke sont avec moi ils sont tous gentils, mais dès lors que je suis seul leurs mépris, leurs insultes ressortent. Si je peux supporter leurs attitudes c'est uniquement grâce à la présence de mon frère. Mais un jour lors d'une soirée, Monsieur Tokudaiji essaya de me draguer alors je le repoussa mais d'une mauvaise façon et Keisuke a mal compris et du coup il me hais, il a coupé les ponts avec moi et est partie à l'étranger.

j'avais mal, je n'en pouvais plus. A la maison, pour ma mère et mon père et mon frère keisuke, je gardais le sourire, je faisais comme si tout allait bien mais quand j'étais à l'université, seul ou avec les personnes qui n'avaient pas trop de lien avec mon père ou keisuke, mon coeur et mon âme étaient froids, je ne montrais aucune expression. La seule raison pour laquelle je n'avais pas mis fin à mes jours, c'étais pour ma meilleure amie Yuna que je considérais comme ma soeur car nous nous connaissons depuis toute petite. Tout comme moi, elle vie les mêmes souffrances, sa mère c'est aussi marié avec un homme riche et du coup elle doit aussi supporter l'attitude des autres membres de sa famille. Nous sommes toute les deux dans la même université.

Le directeur avait remarqué notre comportement, il avait créé un groupe d'art avec Yuna, moi et 4 autres filles. Pourquoi l'art vous vous demandez, c'est parce que nous faisons toute des études en art, mais dans des domaines différents, moi dans l'art floral, Yuna dans le vestimentaire, Maki dans la peinture, Sû dans la sculpture et Haru dans la danse.

Les premiers jours on ne communiquait pas vraiment puis ensuite on commençait à parler. On avait appris que nous vivions toute les mêmes événements. Petit à petit on créait des liens d'amitiés, nos sourires réapparaissaient mais seulement entre nous et aussi avec le directeur.

Le directeur est un peu comme un sauveur pour nous même si il est né dans une famille de riche, la famille Kusabe, il n'est pas vraiment accepté par le fait qu'il sort avec un homme : Akira Masame, il est médecin.

Un jour mon père avait appelée Keisuke pour lui souhaiter son anniversaire. J'étais heureuse car j'allais enfin lui parler pouvoir lui expliquer que ce qui s'était passé était un malentendu mais aussi inquiète par le fait qu'il ne voulait pas m'écoutait.

"Père : bon je vais te laisser Keisuke, on se voit demain matin notre avion arrivera très tôt donc pas besoins de venir nous récupérer moi et Ritsuko.
Et je te resouhaite un joyeux anniversaire. Ah quitte pas quelqu'un veut te parler.

Moi : allô Keisuke joyeux anniversaire!! Comment vas tu ?

Keisuke : qu'es ce que tu me veux ? Tu en a fini avec Tokudaiji tu veux que je te donne le nom d'une riche à qui tu pourras avoir de l'argent en couchant avec lui?!

Moi : non tu te trompe. Écoute je l'ai rejetée, je n'ai jamais couché avec qui que se soit.

Keisuke : et je vais te croire. Je ne veux plus te parler espèce de catin!!!

Bip bip bip...

Moi : non Keisuke non attend !!! Haaaaa!!! "

Mes larmes coulèrent, heureusement que personne n'était là, que père et mère devaient partir pour la semaine en Angleterre. Mais quand j'essuya mes larmes j'eu une sensation bizarre, je regarda ma main et horrifié je vie du sang. Je regarda dans le miroir et vu que mes larmes étaient du sang. Je couru aussi vite que possible à la salle de bain et me rinça le visage plein de sang. [Désolé ça fait un choque quand on le lit mais je sais pas pourquoi j'avais envie de l'écris comme ca].

je n'en pouvais plus, j'avais trop mal, toutes les choses que m'a dit Keisuke m'avait blessés. La seul personne dont je ne voulais pas me faire haïr, qui me donnait envie de rester dans cette famille.
toc toc toc ...
"... : Mademoiselle yuki, tout vas bien ? il est l'heure de partir, la voiture vous attend.

Kobayashi, notre majordome me sorti de mes pensées,

Moi : oui tout va bien, j'arrive dans deux minutes

Kobayashi : Êtes-vous sur que tout vas bien ?

Moi : oui ne vous inquiétez pas, dis-je en ouvrant la porte de la salle de bain et affichant un sourire un peu forcé."

Alors que je partie jusqu'à la voiture, Kobayashi me regarda avec un regard perple.
Quand j'arriva à l'université je me disais que peut-être les filles pourraient me faire oublier mes malheurs et me permettre de sourire ne serais-ce qu'un peu. Mais quand j'ouvris la porte, une atmosphère pesante, sombre planer dans la pièce. je compris de suite que je n'étais pas la seul à être au bout du rouleau.

Un passé secret "en Pause pour réécriture "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant