chapitre 2 suite

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Et voilà mes petits chatons la suite d'un passé secret!!
Désolé pour la longue attente j'ai eu un peu de mal à écrire les points de vue surtout celui de Sû, le syndrôme de la page blanche c'est emparé de moi.

PV Maki :

Je suis Maki Irie, mon beau-père Seguchi Irie est le président d'une compagnie d'électronique. Il est le second fils de la famille Irie qui est une des familles les plus riches du Japon. Depuis que ma mère c'est mariée avec cet homme, elle a retrouvé le sourire, elle est devenue plus joyeuse. Sauf que les parents de Seguchi ne nous ont pas acceptés, pour eux, ma mère et moi ne sommes que des profiteurs pour avoir de l'argent.

Tous les Irie nous méprise, nous insultes dans notre dos. Grâce au sourire de ma mère, j'oubliais l'intégralité de leurs venins. Mais un jours, tous c'étaient effondré, ma chère maman tomba gravement malade. À cause de mon jeune âge, mon beau-père ne voulu pas me dire ce qu'elle avait. Plus les semaines passaient, plus elle devenait maigre, blanche. Parfois, quand elle toussait, elle crachait du sang.

Puis un jour, son coeur cessa de battre, elle s'endormir à tout jamais. J'étais anéantie, je perdis tout mes repères, maintenant j'étais seul face aux monstres de la famille Irie. À son enterrement seul moi et l'homme qu'elle aimait pleuraient, les autres gardaient un visage impassible mais je pouvais voir dans leurs yeux, qu'ils étaient heureux de sa mort, qu'ils s'en étaient enfin débarrassé.

Je me sentais seul, perdu, je ne pouvais pas m'arrêter de pleurer, je ne parlais et mangeais presque plus. Puis quelques semaines après, mon beau-père m'apprit que nous allons accueillir une cousine car ses parents partaient en voyage pendant un très long moment. À son arrivée, la jeune fille se présenta à moi avec un grand sourire en disant qu'elle s'appelait Kanako. Au départ, je me méfiait d'elle, alors que ma cousine voulait être proche de moi.

Lors d'un repas familial, tout le monde me juraient dans mon dos, tout en faisant en sorte que mon beau-papa ne les entends pas. Je commençais à partir pour retourner dans ma chambre pour pleurer car je ne voulais pas qu'ils voient mes larmes, mais je me sentais seul, j'avais peur, ma mère n'était plus là pour me protéger d'eux. J'allais atteindre la porte quand j'entendis un voix aiguë crier contre les adultes. C'était Kanako, je n'en revenais pas, peut-être que finalement elle n'est pas comme eux. Sans que je mis attende, elle m'attrapa mon poignée avec sa petite main blanche et me sorta de la pièce pour me tirer jusqu'au jardin.

" Kanako : tu peux pleurer Maki, ne te retiens pas. Il n'y a personne autour, personne ne te verra ni ne t'entendra. "

Et sans m'en rendre compte, mes joues se mouillaient, mon regard était devenue flou et j'éclata en sanglots dans les bras de la petite fille.

Les temps, les jours, les semaines, les mois, les années passèrent et le lien entre Kanako et moi se renforça. Elle était toujours là pour me protéger des autres membres de sa famile, même quand elle était reparti dans sa maison avec ses parents.

Puis un matin, je descendis pour aller dans la salle à manger. Arrivée an bas des escaliers, j'entendis des voix, particulièrement celle de ma chère Kanako. En m'approchant de la porte, je commencais à distinguer en plus de la sienne, celles de ses parents. Alors que je posais ma main sur la poignée, j'entendis leur conversation.

"Kanako : mon dieu, j'en ai marre de faire ami-ami avec cette fille, cette gourde, elle m'énerve et me désespère !!

Père : je comprends, mais pour notre bien tu dois continuer de jouer la comédie et rester proche de ce truc qui nous sert de nièce.

Mère : tu sais bien que grâce à elle

BAM *claquement de porte*

Maki : tu mens n'est ce pas, on est amies, tu ... tu...

Un passé secret "en Pause pour réécriture "Où les histoires vivent. Découvrez maintenant