Faire connaissance

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Pdv de John

C'est comme une évidence. Quelque chose que je ne maitrise pas.
De prime abord cette fille n'est pas exceptionnelle mais quelque chose me pousse vers elle. Plus elle parle et plus je me sens comme heureux.
J'ai cette chaleur qui me transporte, je me sens bien!
Elle m'a regardé et j'ai su .
Peut importe la folie de cette certitude,l' invraisemblance de cette possibilité, tout mon être me cri que c'est elle. Elle!
Combien de chance sur 100 milliard avais je de la trouver? Presque aucune ! Pourtant c'est ma Lucy.
Pendant quatre ans je lui  ais écris. Enfin à l'adresse de l'éditeur de Princesse Victoria. Quatre ans sans aucune réponse.
Cette fille c'est mon Graal.
Je me suis inscris a cette fac pour elle. C'est tellement moi!
Je sais ce que je veux et je fais tout pour l'avoir.
Je l'observe.
Son physique, sa manière de se tenir, même son histoire , tout est Lucy!
C'est comme ne plus avoir de poids sur les épaules. Comme se sentir léger . Comme arriver à destination après un long voyage. Arrivé chez soit, là ou notre coeur et notre âme sont en accord. Cette impression est trop forte, trop exaltante! C'est la preuve que j'ai raison : C'est elle !
Si sa mère est écrivain alors le doute ne sera plus possible. Mais quel doute? J'en n'ais aucun!
C'est Lucy !
Et elle m'a demandé de faire comme si elle était Lucy.
C'est un aveu.
Je crois que c'est mon jour de chance et que je ne dois surtout pas la laisser s'éloigner de moi avant d'être sûr de l'avoir séduite.
Elle n'est pas démonstrative, et bien aujourd'hui je vais changer cela!
Je lui ai dis que je voulais plus qu' une comédie destiné à ses parents.
Elle n'a pas idée de ce qui l'attend. Je ne vais pas perdre une minute pour renforcer nos liens. L'intimité c'est le mot clé. D'ailleurs autant commercer tout de suite.Alors sans attendre je la traîne jusqu'à la villa. Là je lui demande ou est sa chambre.
C'est vraiment très grand et luxueux. Je devine à la décoration que tout à été fait par un décorateur. Cependant on s'y sent à l'aise. La suite se compose d'une chambre avec bureau attenante a une grande salle de bain a gauche et un salon à droite. Il y a un grand balcon avec chaise longues,Chaises, table, fauteuil et un jacuzzi.
Il est clair que ses parents sont très riches. Peut être plus que les miens.
Je lui demande de se mettre en maillot, et de me retrouver sur le balcon.
Elle ne réagit pas , qu' a cela tienne,je n'hésite pas et l'aide a oter sa salopette. Tanpis , elle restera en sous vêtements!
Et comme je l' imaginé, ils sont depareiller. Cela me fais sourire. Je la reconnais là !
Je lui ôte ses lunettes et détache ses cheveux. Elle est belle. Tellement belle!
Mon coeur bat la chamade et je commence à être à l'étroit dans mon pantalon.
Je n'hésite pas et je l'ote.
Autant se mettre à égalité!
Je ne cherche pas à cacher l'effet qu' Elle me fait.
Elle ne se plaint pas. Elle accepte implicitement de me laisser la regarder.
Je me mets a ses genoux. Je cherche une cicatrice en forme d'éclair près de la rotule gauche et une tâche de naissance en forme de fraise sur un orteil. Ils sont là!
Ils sont la!
Ils sont là!
Mon coeur s'est comme arrêté et je suis juste trop heureux!
Je dois avoir l'air d'un malade à la façon dont je pense la regarder.
Mais c'est si extraordinaire!
Je ne me retiens pas, je la reprend dans mes bras et l'embrasse à nouveau!
Je laisse mes mains la découvrir et ma bouche la dessiné. Mes lèvres, ma langue tracent chaque détail de ses lèvres à son cou, une épaule...j'arrête. Je ne dois rien précipiter. Pourtant elle est toujours contre moi et j'ai logé ma tête dans son cou. L'odeur de ses cheveux est celle que j'attendais, un shampooing au monoi et a la vanille. Sa peau est douce. Si douce. Elle ne dit rien.
Elle semble aussi envoûté que moi.
Je recule et lui propose de faire connaissance.
(Il serait peut être temps en effet!)

John : Je te propose un jeu. Je m'allonge sur le ventre et tu découvre mon histoire en suivant mes cicatrices.

Je m'allonge et la laisse passer les doigts sur une cicatrice qui s'étend entre mon épaule droite et mon bras. Mon but : découvrir nos corps autant que nos histoires. Je ne fais pas dans la conformité , je ne commencerai pas aujourd'hui!

John : Accident de patin quand j'avais douze ans. Je tentais de viser le palet et je n'ai pas vu l'autre patineur. J'ai prit son patin dans l'épaule.

Ensuite elle me touche les reins.
Il n'y a rien là mais la caresse est si agréable!
Je me retourne. Elle est à cheval sur moi maintenant. Elle caresse mon ventre, mes abdominaux et descent ses doigts jusqu'à mon caleçon. Une fine cicatrice horizontale l'intrigue alors je lui répond qu'elle est le résultat d'un accident de voiture.

John : On revenait de match, dans le bus scolaire et un chauffard a grillé la priorité et nous a propulsé dans un sapin. Ma ceinture n'étais pas attachée, je rangeais mes patins dans le panier au dessus de mon siège . Le choc m'a fait tombé mon sac et je suis tombé violement dessus. J'ai eu une côte cassé , cette coupure et quelques bleus. Mais personne n'est mort.

Elle se baisse et l'embrasse doucement.
Je dois arrêter cela. Alors je me relève et je l'observe.

John : Tu es belle.
Je ne sais pas..c'est fou, mais est ce que tu sais que je t'ais écris?
Que nous deux c'est le destin?
Est ce que tu le sens?
Parle moi..dis moi ce que toi tu ressens?

Elle me regardé comme perdue et en attente de quelque chose. Je dois avoir l'air d'un psychopathe et  je la terrifie!
Il faut que nous communiquions,
Il faut qu' elle me pose des questions pour qu'elle comprenne, qu'elle connait mon histoire, la nôtre..
Elle semble hésité, puis finalement elle pose sa question clairement, sans détour.

Lola : Est ce que tu as une cicatrice au niveau de l'aine . Une cicatrice dut a une opération?

Je me fige un instant. C'est trop beau pour être vrai! Mon coeur est en liesse et je suis certain, à l'instant que Dieu existe!
Avec le sourire le plus éclatant qui soit et les larmes de joie dans mes yeux, je baisse mon caleçon et la laisse voir par elle même.
Brusquement elle s'approche, se baisse et se colle presque à ma virilité pour voir et c'est à ce moment qu'une brune trentenaire surexcitée accompagnée d'un top model déboule.

La brune : Chéri Dieu existe!

Lola est en sous vêtements et agenouiller devant Moi qui suis nu et qui a sans doute l'air très heureux...malaise..est ce ses parents?
Sans réfléchir elle plaque ses mains sur ma virilité. Et quoique je ne doute pas que ce soit pour la cacher, je risque à tout moment de perdre le contrôle..

LA Faute A Ma Mère?!.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant