Enveloppé dans ma couverture bien au chaud, encore en plein dans mon rêve, le doux soleil me caressant ma peau frêle, ce doux sommeille paisible, je veux que ça ne s'arrête jamais, le sommeil est une chose dont on ne se lasse pas mais la tranquillité ne dure qu'un court instant et les rêve aussi. 6h30 mon réveil sonne, je luttais pour ne pas ouvrir les yeux et resté dans ce rêve paisible mais bien évidement c'était impossible.
-putain on ne peut pas dormir tranquille ! Hurlai-je tout en appuyant peut être un peu trop fort sur mon réveil.
Mon bras ce laissa tombé sur la couette, je me levai sur les coude et examina la pièce, j'avais oublié ou je me trouvais, la pièce était sombre et maussade l'ambiance donnais envie de ce pendre, après un court instant je laissai retombé ma tête dans mon oreiller. Je pris mon courage à deux mains pour enfin me levé, je me dirigea vers mon miroir et eu la bonne surprise de voir qu'il y avait non pas moi mais un monstre qui se projetait à travers le miroir, j'avais les cheveux en pétard, les yeux a peine ouvert, le tee-shirt tout froissé et une des jambes de mon boxer a carreau rouge était remonté sur ma cuisse, autant dire que je n'étais pas beau à voir. Je mis un temps à réaliser qu'il fallait que j'aille en cours et que les vacances état fini « zut, faut que je dépêche je vais être en retard » m'exclamai-je, je cours vite dans la salle de bain pour me douché, puis enchaîne et me dirige vers mon armoire que j'ouvris grand, je pris un jean délavé, un pull marinière noir et blanc, des basket noir Nike toute défoncé, mes cheveux brun un peu long à mon gout était un enfers a coiffé, quand je les peignier ce qui ne tannais pas une heure, il ne ressemblais plus à rien et revenais au point de départ comme si je venais de me lever, mes yeux bleu qui ce rapprochais du turquoise me permette de rendre tout ceci potable mais malheureusement je devais les camouflé avec des lentille de contacte noir pour que je puisse passé inaperçu et ne pas recommencé cette histoire en sixième dont j'avais énormément souffert. Autant dire que j'avais un style plutôt ordinaire du moins c'est ce que je voulais en ressortir, Je m'emparai de mon sac et me dirigea vers la cuisine, Phil y était et me tendis avec son plus beau sourire mon déjeuner, je le remercie et me dirigea vers la porte d'entrée. Il fessait un temps a orage, je lance un souffle blazer tout en mettant ma veste, regarde ma montre « merde ! il faut que je me dépêche » puis cour dans la rue espérant ne pas loupé le bus.
J'y étais avec dix minute d'avance, j'aperçois de loin l'arrêt de bus, je rassemblai mon courage et mis dirigea avec des pas hésitant. Il y avait très peu de monde mais trop à mon gout, deux filles et un gars attendait sous l'abri bus, je me disposai pas trop loin ni trop près de façon à ne pas trop stressé et refaire une crise comme la dernière fois. Personne ne parlait seul une fille au téléphone discutait tellement fort que tout le monde pouvait facilement participer à la conversation, elle entremêla encore et encore ces cheveux ondulé châtain clair autour de son doigt et mâchais son chewing-gum la bouche ouverte assez vulgairement, son style Bimbo laissais croire que c'était le genre de fille à qui il ne fallait pas se frotté, je senti une goutte sur ma joue ce qui me fit levé la tête, la journée ne pouvais pas mieux commencer, il pleuvait et pas qu'un peu , des grosse goutte viennent s'étalé sur mon pauvre visage désespéré, quand je dis que je n'ai pas de chance avec les rentrées ce n'est pas des conneries. Comment allai-je paraître inaperçu si j'arrive à un premier jour de cours complètement trempé, je n'ai vraiment pas ma chance, ma dignité du moins le peu qu'il m'en restait en prendrais un coup et je m'en remettrai pas ce qui obligerais Phil et ma mère de déménager ce que je ne voulais en aucun cas provoquer, je lançai des injures à voix basse histoire de me défoulé sans que les autre ne m'entende.
-tiens je pense que tu en auras besoin.
Un garçon me tend un parapluie, je le regardai vite fait pour lui faire comprendre que son offre ne m'intéressais pas. Mais j'ai dû l'agacé plus qu'autre chose car un souffle de mécontentement retenti, quand j'ai crus qu'il allait enfin partir, il se retourna et d'un geste brusque me pris la main en me tendit le parapluie sans que je n'ai pu lui dire quoi que ce soit, il partit en courant sous l'abri et m'ignore complètement en regardant droit devant soi. Au bout de dix minutes le bus pointa son nez, chacun a nôtres tour nous entrâmes dans le bus, celui-ci était plein a craqué seul quelque place restait, je décidai de m'installer à côté d'une jeune fille, elle avait les trait d'une fillette, son teint était pale mais c'est joue était légèrement rosé, ces yeux bleu était magnifique et ces cheveux lisse, cour et blond lui allais un ravie, elle leva la tête et me regarda avec ces long cil noir qui fessai ressortir encore plus ces yeux et me fis un magnifique sourire. Le bus était très vieux et peinais a roulé au-dessus des soixante-dix kilomètre heure, la jeune fille à côté de moi ouvris délicatement avec ces doigt frêle un paquet de biscuit, elle en manga un puis se tourne vers moi,
-tu en veux un ? Me demandât-elle en battant des cils
-non merci, lui répond-je d'une voix à peine audible.
Elle haussa les épaule puis repris un biscuit elle se retourna de nouveau vers moi,
-tu a tort me dit-elle la bouche encore plein de gâteaux, ce sont les meilleurs de la ville, c'est à la vanille et framboise, elle fit une pause pour finir ce qu'elle avait dans sa bouche, ma mère m'en donnais tout le temps quand j'étais petite elle me disait tout le temps que ça m'aiderais à grandir mais je pense qu'elle a eu tort de mentir à une fillette de cinq en quand on voit le résultat aujourd'hui, ça me fais penser à...
OK elle est très mignonne, gentil et tout mais casse pied à n'en plus pouvoir, qu'est-ce-que j'en ai à faire moi de sa mère qui lui préparais les même gâteaux, je ne comprends pas comment on peut raconter aussi facilement sa vie à un inconnue, je pourrais être un pédophile elle sent foutrait complètement. Bizarrement le trajet me fut interminable et je n'avais qu'une hâte arrivée le plus vite possible au lycée, elle parlais tout le temps et je ne fessais que répondre par des hochements de tête et des « ouais, OK, d'accord » et j'en passe. Une petit secousse lui fait interrompre la fin de sa phrase, nous arrivions dans un petit chemin entouré d'arbre au bout ce trouvais une immense court des voiture de luxe et des moins luxueuse était garé dans un parking aménagé pour les élèves, un peu plus loin ce trouvais ma nouvel école, c'était épatant, je ne suis jamais encore arrivé dans une école comme ça. Il y avait une grande cour pleine de gravier une grande fontaine majestueuse au milieu, des coins d'herbe avec des bancs et des table des étudiants y étais posé, ce qui était le plus bleffant c'était le bâtiment, enfaîte sa ressemblais à un château, non C'ETAIT un immense château de pierre gris et noir, sur le côté il y avait des bâtiments plus petit mais tous aussi grand, de grand et majestueux escaliers menais a une immense, c'était magnifique. Je remarquai que la pluie c'était arrêté laissant place à un rayon de soleil qui donnais sur la fontaine, je constatai aussi qu'autour de moi d'autres étais tout aussi étonné et submergé par la beauté des lieux, je m'empressai de sortir du bus les yeux toujours grand ouvert émerveiller devant une telle splendeur. Une immense banderole de bienvenue était affiché et posé sur des poteaux, des individus portant un tee-shirt étrange ou il était inscrit vive les Hagnons.
-Bonjours, soyer le bienvenue dans nos établissement. Une fille d'origine asiatique aux cheveux longs m'interrompe devant mon émerveillement et me tendit un papier que j'acceptai, j'observai le papier ou il y avait les plan de l'enceinte du lycée et les différentes activités proposé, tient apparemment il y a une équipe de basket.
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Au delà des mots
Roman d'amourMat Rothschild 16 ans emménage avec sa mère et son beau-père dans une petite ville. Mat n'a jamais eux d'amis et de petite copine et possède une relation familiale compliqué, il a une vie ronger entre le doute et le désespoir. Seul c'est plus beau s...