Chapitre 1: ASSURANCE

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Je m'appelle​ Mat Hantson, Mathieu pour les intime , j'ai maintenant 16 ans et dans 5 mois et six jour c'est mon anniversaire. Fils unique depuis 6 ans, ma sœur julia nous à quitter lorsqu'elle avais 17 ans. On ne m'a jamais  vraiment dit qu'elle était exactement la cause de sa mort mais j'ai toujours su que mes parents ne me disaient pas toute la vérité. Aujourd'hui nous venons d'emménager avec ma mère et mon beau-père dans une grande maison. "Mon Dieux quelle est grande "  pensai- je, ceci allait être ma nouvel demeure, elle était bien trop grande pour nous trois, Ok Phil avait de l'argent et voulais que ma mère et moi vivions dans le confort mais quand même il a fait fort la.  Nous descendions les bagages de la Tiguan et nous les emmenons dans le hall de la maison, c'était une maison assez ancienne, les mur était en pierre noir et le sol imitation marbre, l'endroit me donnais froid dans le dos, surtout cette statue immense qui attise ma curiosité, un homme nue qui fait la pose telle un Djedaile pour seul protection un bout de tissue qui lui cache ces partie génital et doté d'un magnifique casque sur la tête.

- Mat tu veux voir ta chambre ? Elle est a l'étage à gauche à côté du débarra, je me mis à sursauté quand Phil posa sa main sur mon épaule.

- Sa va ? me dit-il avec un regard désolé.

 je lui fis un signe de tête et regarda vers l'endroit où sont doigt c'était pointé,  je jeta un coup d'œil furtif à "Monsieur bout de tissue" avant de me dirigé vers ce qui était destinée  être ma chambre. je monta le long escalier qui menais à l'étage et regarda chaque pièce avant de tombé sur la bonne. Des carton y était déjà déposé, la chambre était grande et spacieuse,  il y avait juste un lit, une table de nuit  avec une lampe de chevet rouge  et un bureau. je laissa un long et grand soupir de découragement qu' on pouvais entendre  dans toute la maison,  j'entra dans la pièce et fit un tour sur moi même pour examinée tous sa de plus près puis je me laisse m'écrouler sur mon lit. mon beau père Phil avais la faucheuse habitude de faire intrusion dans ma chambre sans frapper lorsque j'était petit, apparemment il n'a pas changé.

-Salut je peux entré ? dit-il alors que tout sont corps avait traversé depuis longtemps le seuil de la porte.

 -Alors mon garçon tu en pense quoi de ta nouvelle chambre ?

- Sa va, il fait froid mais sinon sa peux allé.

- Ah oui ? dit-il tout en se dirigeant près du chauffage.

 - ça doit être un problème avec le chauffe-eau, finit il par dire.

-OK je vais faire un tour, je me lève d'un coup et me dirige vers la porte, il me regarde partir sans rien dire.

 Phil est le père que j'ai toujours voulu avoir, il c'est marié avec ma mère lorsque j'avais 5 ans,  je l'es toujours considéré comme mon père, mais c'est vrais que je lui est jamais montré beaucoup d'attention, a vrais dire je ne suis pas très attachant comme garçon, assez fermer sur moi même et j'ai horreur de montré mes sentiments. je descendis les marche je fit un signe a ma mère qui avais peine a soulevé un carton d'ont celui-ci etait remplie de livre.

-Je sort je vais visiter un peut le cartier, cri-ai-je dans la maison tout en me dirigeant vers la porte.

Les écouteurs dans les oreilles, les main dans les poche la tête ailleurs. Je m'assoit sur un banc, toujours dans mes pensé, en face de moi ce trouvais une librairie "chez Sussette", ce nom sonne plutôt boutique de sucrerie ou de boulangerie mais bon, les gens on des idée assez spéciaux dans cette ville. Apres une petite hésitation je décide de rentré dans cette librairie, l'intérieur était plutôt sympa je doit dire, le magasin parait plus grand qu'on ne le pense, une petit musique d'ambiance retenti dans tout le magasin, il est décoré avec un mélange rétro, vintage et vieux film western, des vielles pubs et affiches de chanteurs mort de puis belle lurette sont affichées partout sur les murs et une odeur de fleur embaume la pièce.  le mondes y été a sont compte mais l'endroit été tellement grand que même un milliers de mouton ne se remarquerais pas.  il y avais trois étage un pour les livre, un autre pour les disques et vinyles et le dernier pour les DVD et Cassettes, je m'avança vers le rayon des livres et regarda si je pouvait trouver mon livre préféré   une suite romanesque intitulé "À la recherche du temps perdu" de Marcel Proust un grand hauteur de son époque un auteur que j'admire.

- Si je puis me permettre Je pense que tu devrais plutôt prendre cette ouvrag. Je sursaute tellement fort que j'en perd mon livre des main.

je me relève précipitamment, tout chamboulé par l'intervention d'un vendeur. Il me tendais un livre que je ne connaissais pas, il affichais sur la couverture "Au-Delà Des Mots" de Rabbin Jacky parue en 2013.

- C'est plus récent et un autres genre mais il est intéressant et tellement instructif, je trouve qu'il donne envie d'apprendre plus encore, poursuivit-il. 

Les yeux rivé sur le livre qu'il me tendais toujours, il est vrais qu'il donnais envie de le regarder d'un peu plus près mais j'ai horreur de conversé avec des personnes que je ne connais pas surtout dans les magasin c'est vendeur qui viennent t'accoster alors que tu ne leurs a rien demandé.  j'hésitait un long moment avant de saisir le livre, je tend la main pour le prendre mais je n'y arrivai pas, ma tête me tournais et mon cœur se serrais, j'avais besoin d'air maintenant, je lui donna le livre de Marcel Proust avec aucune délicatesse et partie en courant hors du magasin tel un fugitif. Quand je suis sortie a l'aire libre un grand courant d'aire frais me traversa tout le corps, je souffla un grand coup avant de repartir au pas rapide.  lorsque j'arriva au coin de ma rue, je me reposa et m'assis par terre, je n'en pouvais plus, j'avais l'impression que mon cœur allais sortir de ma poitrine, je ne sais pas ce qu'il m'a pris, j'ai encore eu l'une de ces foutue crise de panique. depuis que je suis tout petit je fessais ces crises de paniques sans arrêt et plutôt grave mais en grandissant elle devenais plus rare mais toujours aussi importante.  j'ai attendu quelque instant la tête dans les bras, l'aire complètement dépité et une honte de moi royales-que. "Pauvre homme" pensai-je, il doit être en se moment même entrain de se demander quel erreur a t'il bien pu faire et la façon dont je lui est balancé le livre, je m'en voulais tellement. 

- Je suis rentré ! la porte claqua derrière et résonna si fort dans toute la maison que même l'affreuse statue ce mis a tremblé. je pose ma veste sur le porte manteau et traversa le couloir qui mène a la cuisine et le salon, tout en observant les pièce, je finit par entendre des bruit d'assiette dans la salle a manger. Ma mère et Phil avait commencé à manger, génial des haricot vert avec du jambon blanc je déteste ça, de toute façon je n'es pas très faim, je m'approche d'eux et prend place a table .

- Salut mon garçon, sa va ?  tu à faim? donne moi ton assiette que je te serve.

 Phil me redonna mon assiette pleine de nourriture et ma mère me lança un léger sourit qui me fit immédiatement changé mon regard de direction. Le repas se passa très vite, ils  parlèrent de la journée et du travail de Phil qui commence demain, la fin de conversation fini sur un bonne ami que je connais très bien appelé le passé et comme toujours Julia. Je partie me couché sans branché a leurs conversation morose et au larme de ma mère que je ne voulais pas m'infligé une fois de plus. Je me dirigea dans ma chambre, ou il y demeurais toujours un froid glacial, de nouveau carton sont apparut, je me dirigea vers l'un d'eu que je pris et posa sur mon bureau, je l'ouvre et y sort une  vielle photos de moi et ma sœur lors de vacance avec ma mère a nos coté. A cette époque ma mère était jeune et très jolie, elle était très attirante  vis a vis des hommes, quand mon père la quitté en la laissant seul du haut de ces 18 ans enceinte de Julia, ma mère le vécu  très mal. Heureusement pour elle elle à rencontré Phil un homme bien et respectable qui ne ferais pas de mal à une mouche. Une larme s'échappa de mes yeux et vint s'effondré sur la photo, d'un geste brusque je m'essuya tout de suite les yeux, posa la photo a sa place sur mon bureau et m'allongea sur le lit. J'étais encore et comme toujours dans mes pensé, mais quelque chose mis extirpa,  j'entendis un bruit par le fenêtre, je me redresse sur mon lit histoire d'écouté plus attentivement, puis je me lève curieux de savoir d'ou venais  ce boucan. Ma fenêtre donnais sur un cartier à premier vue paisible où les maison se ressemblais presque toutes, a deux ou trois maison plus loin il y avais une fête, des jeunes à peine capable de marcher sur leurs deux jambe, criais et titubais dans la rue. C'est le genre de fête que je déteste, l'alcool, les filles, les étudiants enfaîte c'était l'esprit de fête étudiante qui ne sert a rien a part embêter le voisinage. En colère je ferme les rideau, me change et part me couché, j'éteins la lampe de chevet et fixa le plat-fond au dessus de moi, j'ai détesté cette journée et quelque chose me dit que je vais encore plus détesté demain, la rentré ça a toujours été les pires jours de ma vie .


























Au delà des motsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant