Peter Pan

Chapitre 4

Je retourne au Jolly Roger le coeur palpitant, heureusement le soleil n'est pas encore levé.
J'arrive au Jolly Roger et rentre dans ma cabine. Je n'est croisai personne et heureusement sinon j'aurais eu des ennuis. En rentrant je sursaute en voyant, Thomas le plus jeune membre de l'équipage, il a mon âge.

-Oú étais-tu ? Me demande-t-il.

-Quelque pars où tu n'étais pas.

-Je ne rigole pas !

Puisque je ne répond rien il se lève, et va pour sortir mais je l'interpelle.

-Oú vas tu ?

-Puisque tu ne veux pas me dire où tu étais je vais voir ton père !

Mais de quoi je me mêle...

-Non ne fais pas ça ! S'il te plaît ! Le suppli-ai-je.

-Alors dit moi où tu étais !

-J'étais dans la forêt je voulais voir à quoi ça ressemblait.

-Je vais voir ton père !

-Pourquoi ? Je t'es dit où j'étais !

-Ton père ne veut pas que tu sortes et il m'a demandé de garde un oeil sur toi ! Et de le prévenir à chaque fois qu'il y a quelque chose qui ne va pas !

Quoi ?

-Mais j'ai 17 ans, et je suis assez grande pour me débrouiller ! Tu ne sais pas ce que ça fait de rester enfermé sur un navire, et de ne jamais pouvoir y sortir ! Mais oui j'oubliais toi tu sors et tu rentres quand tu veux.

Il semble hésite mais fini par dire:

-Je ne dirais rien à ton père aujourd'hui, mais que ça ne se reproduise plus. T'a compris ?

-Oui, je te le promet ! Merci beaucoup !

Je lui fais un câlin c'est plus fort que moi.

-Derien. Dit-il en partant.

Heureusement il n'a rien dit, j'aurais eu de gros ennui. Je le sais. Ça m'est déjà arrivé de sortir sans permission. J'avais 13 ans et je suis sorti et quand je suis rentré mon père m'attendais. Il m'a enfermé 1 semaine dans les cellules du navire. C'était horrible, mais quel père ferait ça a son enfant ? Aucun !

Le jour était levé et mon père était parti avec l'équipage, il ne restait plus que moi et un homme pour me surveillé. Évidemment.

~Éclipse jusqu'au soir ~

Ils étaient tous revenu, je n'avais pas vu mon père de la soirée mais j'étais habitué. Je voulais tellement que ça change, je voudrais avoir un père qui s'occupe de moi et aussi une mère qui m'aime. Je ne sais même pas si mon père m'aime, quand j'étais enfant il avait engagé une femme qui s'occupait de moi et il n'était jamais là.

J'étais maintenant dans ma cabine. Seule. Et j'attendais, j'attendais mais évidemment il ne viendrai pas. Je savais que c'était trop beau pour être vrai. Je partis me coucher je laissais tout de même la fenêtre ouverte. J'essayais de trouver le sommeil mais je n'y arrivais pas. Quand je sens que le sommeil arrive, je sens une présence derrière moi. Je me retourne il était là, plus beau que jamais. Il m'observais en silence sans rien dire.

-Salut ! Finit-il par dire.

-Salut. Répondis-je dans un murmure.

-Viens. Dit-il en me tendant sa main.

-Oú ?

-Je t'emmène visiter le pays imaginaire, si j'ai bien compris tu vis ici, mais tu ne l'as jamais visite ! Je me trompe ?

-Non !

Je mis ma main dans la sienne et il me dit de monter sur son dos, ce que je fis. Il s'envola et je sentis le vent me fouettait au visage, c'est agréable. Je regardais le paysage autour de moi je n'avais jamais vu le pays imaginaire de cette façon c'etait magnifique.

-Tu veux aller où ? Me demanda Peter.

-Comme tu veux.

Il me sourit et reprend sa route. Nous arrivons devant un énorme rocher en forme de crâne. Ça faisait peur, mais c'était magnifique.
Nous rentrons à l'intérieur. C'est encore plus beau de l'intérieur que de l'extérieur.

-Peter c'est magnifique !

-J'étais sur que tu aimerais. On y va la nuit n'est pas assez longue me te montrer tout le pays.

On s'envola de nouveau, et nous arrivons à... Je sais pas !

-Oú sommes-nous ?

-Au lagon des sirène ! S'écrit Peter plus anthousiasme que jamais.

Nous nous approchons et des sirènes apparurent. Elle était magnifique.

Après avoir un peu parlé avec eux, nous avons continué de visité cet endroit magnifique. Peter me raccompagne jusqu'au bateau et me fait passer par la fenêtre.

-Quand nous reverrons-nous ?

-Demain soir ! Il faut que je te présente aux garçons perdus.

-Ils n'ont pas l'air de m'apprécier.

-Ne t'inquiète pas tant que je serais là, il ne te feront aucun mal.

-D'accord à demain !

-À demain !

Il s'envola et disparaît dans la nuit sombre. Quand à moi je vais dormir , le temps que je serais séparé de Peter Pan.