5- Promenons-nous dans les bois

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Aujourd'hui, je me suis réveillé à 7h30. J'ai bien tentée de me recoucher, mais peine perdu. Hier soir, pendant les trois heures avant d'aller me coucher, j'ai planifier ma journée. J'ai ensuite trouvé une carte de la forêt et du lac derrière de chez mes grand-parents. Hier avait été une journée très mouvementé. Aujourd'hui se fera seule, dans les bois et en pratiquant mes pouvoirs pour devenir plus forte. Je chercherai des écrits sur la magie et répondrai à mes questions.
Pendant que j'étais en train de descendre les marches, j'entendais des brins de conversation de la discussion qu' avait ma mère et ma grand-mère. C'était ma mère qui parlais.
"Elle doit savoir. Lui avouer. Origines."
Dès que j'arrivais dans le salon, elle se tut. De quoi parlait-elle? Je lui poserai seule à seule plus tard.
"Je vais marcher le long du lac et un peu dans la forêt à côté. Je vais me faire un casse-croûte pour pique-niquer là-bas." Lui dis-je.
"Laure, tu sais quoi je pense de tes petites escapades depuis l'incident de la semaine dernière..."
"Maman, tu sais ça n'arrive pas toute les semaines à la même personne. De toute manière, je suis juste à côté de la maison et c'est un terrain privé. Personne ne peut venir. Ca me relaxera et demain je passerai une excellente journée en famille."
"Bon d'accord, mais tu primes que tu restera à la maison demain et qu'on jouera à des jeux de sociétés tous ensemble."
"Je te le promet." Dis-je avant de prendre le lunch que je venais d'avoir le temps de finir et d'enfin sortir de cette maison étouffante.

Je marche depuis à peu près 45 minutes et je ne suis pas encore fatiguée. Le lac est tout près car je peu entendre le bruit des vagues s'écrasant sur le rivage. Après quelques minutes, je suis enfin arrivé. L'eau est si claire qu'on dirai que c'est de l'eau pure que l'on peut boire ici et maintenant. Le bruit des petites vagues est si apaisant. De petits rochers longent la côte. Je monte sur l'un d'eux et m'assois en commençant à méditer. Ne faire qu'un avec la nature. Ça peut paraître compliquer sur le coup, mais c'est un rituel très facile. J'avais fait le vide dans mon esprit quand j'entendis un bruit de vagues beaucoup plus fort que les autres. J'ouvris les yeux, sortant de ma méditation, et remarqua une silhouette dans l'eau, juste devant le rocher où j'étais assise. Je m'approcha de celle-ci très doucement pour ne pas qu'elle prenne peur et s'enfuit. Je ne voyais que la tête d'une fille blonde au yeux bleu et dorée.
"Qui es-tu?" Lui demandais-je.
"Je suis Maëlis. Pas besoin que tu me dises ton nom, tout notre peuple le connais déjà."
"Ton peuple?"
"Oui, le peuple des sirènes. Tu sais les être aux queues de poissons et aux bustes humains. Et bien, tu n'en croiras pas tes yeux, mais j'en suis une. Je suis même la princesse du royaume de Vanduo. Toi, tu es celle dont tout les êtres surnaturels parlent. Et à ce que m'ont dit les ainés, les seuls qui peuvent ce rendre dans l'autre monde, ils parlent aussi de toi là-bas."
"Pourquoi parleraient-ils de moi? Je ne suis qu'une simple fille avec des pouvoirs. Comme la plus part des êtres surnaturels à mon avis."
"Tu n'es pas une simple fille... Tu es celle qui contrôle la lumière et l'obscurité. Celle qui est sensé gouverner l'autre monde. Celle que tout le monde respecte."

La lumière et l'obscurité? Gouverner un autre monde?

"Tu parles de l'autre monde depuis tout à l'heure, mais qu'est-ce c'est au juste?" Lui demandais-je.
"Quelqu'un approche. Je dois y aller. Rejoins moi ici demain à la même heure."
"Je ne peux pas demain, mais après-demain je serai là. Au revoir. Salut ton peuple de ma pa..."

Je n'eu pas le temps de finir ma phrase qu'elle repartit dans l'eau tout en m'éclaboussent un peu au passage. Des craquements de branches se firent entendre derrière moi. Je me retournais vivement manquant de tomber à l'eau. Devant moi ce tenait une fille d'à peu près mon âge. Elle avait les cheveux vert très foncés et était habillée d'une cape noire. Je n'arrivait pas à voir son visage complètement. Derrière elle se tenait un loup noir comme la nuit. Seul ses yeux verts ressortait de son pelage foncé.
"Que faites-vous ici? C'est un terrain privé." Lui dis-je.
"Tu es sûrement la fille aux cheveux violets qui peux contrôler l'obscurité dont les gens de la nature me parlent. Tout le monde parle de toi en ce moment. Certains veulent ta tête d'autre veulent ton amitié. Ceux qui veulent ta tête n'auront pas de mal à te trouver avec ces cheveux, tu ne passe pas vraiment inaperçu. Mais tu es quand même apprécier de tous."

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