Le soir j'eu si mal à la tête qu'il m'était impossible de travailler sur mes devoirs et mes leçons, quand bien même, il fallait que je les fassent et pourtant j'en était incapable. E un instant ma situation passa de souffrante à la douleur la mort.Je cru mourir tant j'avais mal. Dans cette fraction de seconde, un éclair puissant déchira ma tête dans une douleur que nul ne peut supporter. Je ferma les yeux et pris ma tête entre mes mains afin de me concentrer mais rien n'y fut, je me sentait tomber sur mon bureau quand une voix m'interpella et vint me sauver du sort qui m'était destiné. Ma soeur.
- Ayo Lil ? Je peut t'emprunter tes écouteurs, ta tablette graphique, le bureau ... Et aussi ton ordinateur tant qu'a faire ? Ok thanks.
Mes yeux entrouvert n'apercevait que le néant noir dans lequel mon esprit avait plongé, mon corps et mon esprit c'était séparés. Je vit un monde dénudé de toute vie, un monde où tout puait la mort, j'avait envie de partir, j'avait envie de mourir, si je n'était pas déjà morte... Puis je vis cette fameuse lumière au bout du tunnel, celle que j'aurait dû prendre, celle que j'aurai voulu prendre, mais en route vers cette lumière, je revins à moi, je revins sur le bureau comme lorsqu'on se réveil d'une bonne nuit de sommeil, mais cette fois avec le souvenir inoubliable de l'enfer. Ma soeur me tripotait l'épaule en appelant mon père. Quelques instants plus tard, j'était sur le divan avec ma soeur et mon père me fixant comme si je leur contait une histoire inusitée, quoique que mon histoire soit vraiment inusitée...
Enfin le lendemain quand je contai mon histoire à Meg elle fit des yeux surpris et continua d'écrire dans son document de révision de français. Je savais pertinemment que personne ne me croirait, mais je m'obstinait à vouloir chercher le réconfort de quelqu'un, mais il faut que croire que le seul réconfort que je pu trouver fut celui d'une bonne tasse chaude de café amer qui me gardait les deux pied fermement sur terre. Depuis ma visite en enfer, c'était le silence radio, partout personne ne me parlait, tous m'évitait ou m'ignorait, le seule à me fixer bêtement était mon chat, Pritt. Chaque soir mon père pleurait mais je ne su pourquoi, et quand je le lui demandait, il m'ignorait. Peut être que finalement, j'était restée en enfer, ou bien j'était morte sur terre, ou peut être même les deux monde confondu dans l'enfer sur Terre, qui sait ? Certainement pas moi.