* Chanson de Breaking Benjamin, je ne suis PAS l'auteur de cette chanson.
Meg pensa, trente secondes tout au plus, puis ajouta simplement :
- Non.
- Mais si vient ma grande !
Luci tendit sa main vers Még tout en haussant un sourcil comme s'il s'attendait à une réponse de la part de la principale concernée.
- Non. Non non non.
- Ma patiente vient au bout, maintenant, viens, dit Luci d'un ton ferme.
Je m'était recroquevillée au sol, regardant la scène sous mes yeux désintéressés, tandis que Még s'acharnait contre Luci, ne disant que "non" à tout bout de champ. Après un certain temps, c'était MA patiente qui était rendu à son extrémité. Je m'empressa de régler la situation en criant pour que tous comprennent clairement que c'était moi qui aurai le dernier mot :
- Ok, toi, toi, danser, 5 minutes, top chrono, il n'y a pas matière à débat, c'est là que sa ce passe.
Luci, se prenant la tête s'empressa de tenter de garder son titre:
- Je m'excuse, mais tu est chez moi, c'est moi qui décide. Ton derrière tu le met au sol et tu attend, comprit ?!
- Non. Si tu veut j'ai deux jambes et un cerveau, je les utilise et tu te retrouve seul à nouveaux, c'est comme tu veut le vieux. Alors tu prend ton trou, c'est moi qui gouverne ici.
Luci fit son air mécontent, mais n'en ajouta point. Quand je me retourna pour regarder l'état de Még, je la retrouva au sol, pliée en deux, probablement trop occupée a rire de Luci, qui le remarqua immédiatement. :
- Hé c'est pas drôle hein !
- Oh si c'est vraiment drôle, puis elle ria de plus belle.
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Pendant ce temps : Sur terre.
Lorsque ma mère revint de faire les course, elle ne put entrer dans sa maison : Les pompier, policier, ambulancier, envahissait la maison. Elle fonda en larme en voyant non pas des civières, mais des sacs mortuaires sortir de sa maison. Peu importe qui elle parlait elle devait parler à quelqu'un.
- Mais attendez ! Ce sont qui là dedans ?! Il n'y avait que une seule de mes fille dans cette maison !! Dites moi ce qui ce passe !!
Ma mère avait peu être vu un espoir que ne sois pas moi, allongée là. Un policier vint s'occuper d'elle.
- Je suis désolée de vous demander cela, madame, mais nous aurions besoin que vous confirmiez l'identité des enfants retrouver dans votre maison.
- Uh, oui d'accord, je peut au moins faire ça !
Alors qu'elle approchait non seulement de nos corps, elle approchait aussi de la vérité. Le sac numéro un fut ouvert. Boum, son coeur fit un bond, puis s'arrêta, puis reprit de plus belle.
- Ce n'est pas ma fille, c'est son amie, Méghanne.
- D'accord, prête pour un autre ?
- Oui.
Boum, son coeur fit de nouveau un bond, mais il ne s'arrêta point.
- Ce n'est pas plus ma fille, c'est son ami, Philippe.
- D'accord, mais il en reste un seul autre...
- Oh...
Le policier ouvrit le sac lentement, gardant la tension à son comble pendant de douloureuses secondes.
- Oh mon dieu...
Ma mère se laissa tomber au sol, comme si toute vit venait de quitter son corps. Mais, après un certain moment, un déclic se fit dans sa tête...
- Mais, euh, attendez... Pourquoi est ce que son corps est le seul qui est tout calciné...
- C'est justement ça ... LE problème....
- Ohh ? Vous pouvez expliquer ???
Le policier ne se fit point prier pour répondre :
- Les voisin on appelés, disant que une lueur bleu dégageait de votre cave. Lorsque nous somme entrer, il n'y avait pas de lueur, mais des flammes tellement intense qu'elles étaient bleues, c'est peut être ce que les voisin ont tenté d'expliquer. En entrant dans la cave, rien n'avait brûlé, aucune traces de carburant, rien indiquant un incendie volontaire. On a découvert que les flammes provenait des chandelles, dispersées autour du corps de votre fille. Fait étrange : ses amis ont probablement été tués par l'onde de choc de l'explosion, mais rien dans la pièce indiquait avoir subi cet onde de choc... Et de plus, nous avons du mal à reconstituer comment ces chandelles ont pu provoquer une explosion d'une telle force, contenu de l'absence de carburant ou de poudre dans la pièce.
Ma mère resta figée là, dubitative, perdue dans ses pensée... C'était lui... Elle le savait qu'un jours il prendrait sa revanche... Ces paroles lui revint en tête après tant d'années...
" Quand je reprendrai le fruit de mes entrailles, je te ramènerai, ma chère reine...."
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