Après ces deux mots que je lui ai filés, ses yeux n'ont pas arrêté de me foudroyer du regard tout le long de ma garde. Oui, il a décidé de rester avec moi dans cet endroit miniscule. En premier, j'ai refusé, j'ai strictement refuser de risquer de mourrir par manque d'oxygène ou par étouffement. Mais c'est juste en insistant que j'ai accepté. Au moins il ne serait pas entrain de dormir,alors que moi je me force a ouvrir les yeux pour surveiller des ecrans de surveillance. Je sais je suis égoïste. Conçernant les clignotements des engins cloués sur les murs, je ne sais quoi penser. Tout me semblait vrai, j'y ai cru. Et il y'a encore une part de moi qui y croît toujours. Et l'autre qui me repasse le moment oû il y'avait plus rien. Mais je ne peux nier que l'infime partie qui y croît s'impose.


-BRANDON. Criai-je sous mon masque.
Aucune réponse.

Il est là, collé à moi mais il ne me répond pas. Il ne VEUT pas me répondre. Il ne me croît pas.Je ne me croît pas. Enfin si. Enfin non. Enfin je ne sais pas moi non plus quoi croire.Tout me monta à la tête, toute cette histoire me rend malade, le manque d'hoxygène commenca a me ronger petit à petit et la chaleur m'étouffa. Je me tourna vers la porte à peine et tapa le code en me requerovillant, essouflée.

Je courais de toute mes forces. Mais je trébucha, essouflée, quand je sentis le gaz jaune m'envahir les poumons.

J'ai l'impression que j'ai mené la même course que j'avait mené il y'a deux ans en fuyant un gaz a tout rompre.C'était il y'a deux ans de là. J'ai 20ans, mais je me rappelle que de 2ans de ma vie. C'était mes dérnières visions, avant d'attérir içi.

Ma tête était lourde. Ma respiration sifflait et je toussais sans arret. Je sentit un liquide me grimper la gorge.Ma main sur la bouche, une cascade de sang sortit fortement. Quesqu'il m'arrive ? J'ouvra les yeux brusquement en venant juste de me rappeler de ce qui m'est arrivé avant tout ça. Une question se faufila entre toute les autres questions pour me brouiller le cerveau. Où suis-je ? Une grande salle se tenait devant moi. Aucune couleur ne rompait celle de la paix. Le blanc régnait. Je tournais ma tête dans tous les sens, fatiguant fortement mes yeux. Je ne captais plus rien. Mes mains enveloppant mes jambes, ma tête enfouit dans le creux de ces dérniers, une voix masculine surgit :

-bienvenue chez toi. Dit un beau brun en se tenant devant la porte.

Une sonnerie me fait revenir à la realité. J'étais à present dehors la case, tenant mon oxymasque dans ma main. La sonnerie de la salle retentissait. Quesqu'il se passe encore ? J'enfile le masque à nouveau et retapa le code pour pénétrer dans la salle. Ma bouche forma un "o" parfait en voyant la scène. Brandon par terre, l'hoxygène de son masque était terminé. Merde. Il pouvait sortir quand même. Je le tira par les pieds dehors et lui enleva le masque. Ses yeux entrouverts, d'un vert irrésistible me percaient la vue. Aucun de nous deux ne détourna le regard. Il ouvra sa bouche à un moment puis une phrase y sortit d'une voix faible.

- tu n'es qu'une salle traîtresse.

Puis il ferma les yeux pour de bon.

J'attendit des heures et des heures devant le lit de l'infirmerie. Attendant désésperement que Brandon se réveille. Je tourna la tête me lassant de toute cette durée que j'ai passé dans cet endroit. Que je deteste au dessus de tout. Plus que la case d'inspect. Parceque c'est dans cet endroit où je me suis retrouvé la toute première fois dans l'arche. La toute premiere fois où ma vie a prit un détour que jamais je ne pourrai comprendre. Un grognement m'a fait sortir de ma nostalgie, je retourna brusquement la tête pour voir devant moi un Brandon. Un Brandon levant le sourcil, des yeux rougis. Il me regarda d'un regard noir en voulant se lever.

-Non reste allongé. Il faut que tu te repose un peu.

-Tu n'as rien a m'ordonner. Rien à me dire même. Je ne vois même pas pourquoi tu me parle.

Etonnée par sa réplique. Je ne comprend vraiment pas.

-Moi,je ne vois plutôt pas pourquoi tu me parle comme ça.

-Je ne te parlerai même pas. Ne te fatigue pas.

Je me leva d'un bond et sortir de l'infirmerie me dirigeant vers le dortoir. Sautant sur le lit, je fouit mon visage dans l'oreiller, me surprenant que je laissais passer des larmes. Oui ça m'a touché ce qu'il m'a dit. On a eu souvent des disputes mais c'était juste pour 2h et puis on revenait l'un vers l'autre, mais tout à l'heure il avait l'air très sincère. Si c'est pour le fait que je lui es dit que les ecrans clignotaient, sa reaction est exagerée à mon gout, surtout que moi même, je ne comprend pas ce qui s'est passé en une fraction de seconde, mais je le découvrirai. Je le jure. Je saurai tout.

Saluut..J'espere que ca vous a plus. Ce chapitre n'est pas long parceque il est publié avant prevu...Voila.. Merci beacoup. #TeamCaramelBeurreSalé🍩

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