Find it (en écriture)

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J'avalai ma salive rapidement et essuya les larmes qui dévalaient mon visage.Ca ne sert à rien de pleurer en tou cas ce qui est fait est fait. J'avais faim. Atrocement faim si on peut le dire. Je me levai d'un bond me dirigeant vers La salle de la nourriture. Alors pour vous expliquer, ce que que je viens de vous dire n'est pas une salle où il y'a un frigo rempli de bouffe ou des placards bourrés de chips et de biscuits. Loins de là. Très loin même. Alors la salle de la nourriture est une salle extremement gigantesque où il y'a le thème de la nature. Quand on y rentre, on jurerait que c'est une fôret. On devrait chaqu'un de Brandon et moi  aller chasser Pour ramener quoi bouffer. Sinnon on mourra de faim. Brandon se sert d'un pistolet muet et moi des arcs. Je dirai que je suis bien entrainé pour ça. Dés que j'entrai, un leger vent vint me caresser le visage. J'aurai bien aimé sentir le vrai vent de dehors me foueter la figure, mais j'ai droit que d'un artificiel. Je prit les fleches accrochés à la porte et les accrocha dans le dérriere du pull que je mettais. L'arc dans ma main, j'avancai prudemment vers le décor parfaitement fait ( la salle en média ). Les pieds légerment ecartés, un devant, un dérriere. Je tournai brusquement quand j'entendis du bruit derriere moi. Rien. Je vit au loin une gazepol, une sorte de gazelle qui est très délicieuse. Je couru de toutes mes forces en essayant d'être discrète. 15m entre nous. Parfait. je me cacha derriere un arbre, et sortit à peine ma tête avant de placer mon arc devant mes yeux. je ne veux pas la louper celle la. A peine je m'appreta à lancer ma flèche sur son pied droit.Son point faible. Mon pied craqua sur la racine, sur laquelle je me trouvais. Ma proie tourna sa tête, me voit et s'enfuit à toute vitesse.

Je me tournais sans arrêt sur mon lit, cherchant le sommeil. rien. Mon ventre gargouillait de faim, je n'avais pas mangé depuis le matin. Et pour la chasse, c'était parti en cacahuètes. Je soupirai pour la énième fois avant de m'assoir sur le bort du lit. Je pivotai ma tête pour voir Brandon. Il dort profondément. Je me levai à pas de loups pour sortir à la salle de medoc me  prendre un somnifère.

-Evite de ta balader la nuit. J'ai pas envie de ramasser tes morceaux. Surtout après ce que tu m'as fait. Je te previent, Je n'hésitrai pas à te laisser pourrir dans ton sang. entendis-je

Brandon.

Je restai dos à lui. Je sentis les larmes me monter aux yeux mais j'avalai ma salive rapidement pour les empecher de me devaler mes joues. Je respirai un bon coup et marchai sans lui prêter attention.

-Et dire que je ne t'ai pas prévenu.

Pourquoi ? Pourquoi il agit comme ça ? Je lui es strictement rien fait. Rien. Si il décide de ne pas me parler sans m'expliquer la raison, je ne ferai pas le premier pas. J'ouvris un des grands tiroirs de la grande salle, et laissai mes yeux defiler sur le classement alphabetique.

O
P
Q
R
S. Somnifère.

Je le prit entre mes mains et prit un verre d'eau pour l'avaler. Ce verre d'eau me coûtera cher. Pour avoir 3verres de ce liquide vital, il faut faire une activité. Qui est a vrai dire, pas tout à fait simple.
Je retourna au dortoir trainant des pieds, sentant déjà l'effet des medocs sur mes paupières.Lourdes.

-Viens içi, Je vais te rattraper et je vais te manger puisque j'ai faim. Me dit Brandon en me courant après.
On pouffait de rire.  Je lui es volé une part de la viande qui l'a chassé. Et depuis, On a pas arreté de courir dans les immenses couloirs de l'arche.
-C'est bon j'abandonne. Criai-je enfin en laissant sortir un rire. Levant mes deux mains en l'air, Brandon me regarda et sourit.
-I CAN'T LIVE WITHOUUT YOU
DARLING LOVE ME PLEAZ
YOUR HANDS IN THE AIR
GIVE ME YOUR HEART FOREEEVER
Chantons-nous en même temps. Une fois par mois, les gens qui controlent l'arche autrement dit qui NOUS controlent ( Je n'assume pas oui. Parceque c'est pas moi qui a choisi que ca soit le cas), Nous lance de la Musique pendant 1h. Le temps de faire le menage. Oui, ici il y'a une contrepartie a tout. Celle la on l'avait entendu un jour et on s'amusait à répeter le refrain. Comme ce qu'on fait maintenant.Il fonça vers moi et me chatouilla. Des rire incontrolables sortirent de ma bouche.
-All...er  La..Che  ..M..oi dis-je à peine.
-Jamais je ne te lacherai.   Jamais. Chuchota-il d'une voix que je pouvais à peine entendre, au creux de mon orreil..