Artefacts

Chap 1 : La découverte du pouvoir.

Tout commença le jour de rentrée scolaire. Comme chaque jour passant, je prit le bus afin de joindre mon établissement d'étude. C'est lors d'un virage trop serré que le bus se renversa, un accident normal qui peut arriver à n'importe qui.

[Je n'étais tout de même pas préparer à ce qui allait se passer. Encore même loin d'imaginer les futurs instants que j'allais vivre. Des visions d'effrois, et une terreur m'accablant, me glaçant le sang..!]

Étant inquiet je vais voir si il y'a des blessés. Les vitres brisés et je vis avec horreur le malheureux corps sans vie du chauffeur ayant un morceau de verre lui traversant le crâne. Ensuite, je me rendis vers le fond... des personnes écrasées, certaine suppliant de l'aide. J'ai envie de vomir.
Sans même avoir eu le temps de réfléchir, j'entend un bruit sourd... De surchauffe. C'est alors que le bus explosa de mille pièces par fuite de gaz. Je vit mon corps, mes jambes, mes bras se décapiter pendant la fraction de seconde qui me semblait si éternelle. Je voyais ma mort arriver, je pouvais la dévisager.

Quand je me réveilla, à mon étonnement j'étais vivant; et dans ce bus, du moins, de ce qui y restait. Des cadavres et des morceaux de ferrailles brûlant, des flammes et de la fumée saturant l'espace et l'air.

Je décide donc d'aller chercher du secours. Mon corps était si lourd et si léger à la fois... Je le sentais brûlant, il émanait une odeur de fumée, j'avais sûrement du inhalé tout ces résidus de cendre durant mon inconscience. Attaqué par celle-ci, il m'était difficile de me lever, de placer un pas après l'autre... Un calvaire qui venait de commencer. Une tragédie qui elle venait de se produire.
J'avais peur de ma propre personne à ce moment là, je me sentais différent. C'est avec un semblant de courage que je sortit du bus. 

Je vis des hommes entièrement vêtus de noir tenant des tuyaux à la main pour éteindre les flammes, et ça hurlait..: « dépêchez vous ! » 

Mais c'est lorsqu'ils me virent, que tout d'un coup... Ils me regardaient avec un visage d'effroi et ils cessèrent. Plus aucun bruit... Sauf le brasier se tenant derrière moi brûlant, sonnant comme un cafarnahomme, semblant de flammes venant des enfer.

Pour les "aider" j'ai tenté de leur parlé, mais ma voix n'étais que brume et chaleur, un pauvre son de désespoirs sortant de mes cordes vocales en cendre.
Je vivais comme dans un cauchemars. Je pus néanmoins leur parler, ne serait-ce que pour leur dire que tout le monde était mort, et que j'étais le seul survivant. 

Ils me traitèrent tous d'assassin et de monstre ! Et je ne comprenais absolument pas pourquoi.

 Ils commencèrent à me sauter dessus, à me frapper, mais je ne ressentais aucune douleurs comme à mon habitude. Ca ne changeais pas grand chose pour moi. Pourtant je leur disais que je n'y étais pour rien. Ils n'entendaient rien, leur cris et les coups étouffais leur propre voix, dont la mienne.

Face à ces tornades de coups que l'on me faisait subir, auquel je n'y sentais rien, je ne savais pas quoi faire.
Mais je n'avais qu'une envie et c'était de me libérer de cette étreinte. J'essayais de me relever, et... en une fraction de seconde je réussi, mais ce n'étais pas comme d'habitude... Je n'avais fais aucun effort, et puis même...? C'était si soudain, si facile, et je me sentais si léger durant cet insant..! je n'avais jamais sentis une sensation aussi bizarre comme celle ci. De la fumée qui m'a soulevé?
Non... Mon corps s'est levé de lui même. Et pourtant, toujours à prendre des coups.
Je n'y comprenais rien... Ces personnes terrifiées continuais de me frapper alors que je n'y étais pour rien.
Malgré que je tentais à ce moment là de les raisonner, aucun d'entre eux n'écoutaient mes dires. Et ils continuaient à tabasser le restant de mon corps.
La colère montait de plus en plus et fini par s'immerger totalement dans mon corps et mon être.
Je sentais mon sang brûler et mes veines en feu qui montaient à la tête et me déchirant le cerveau.
Par cette soudaine incontrôlable et incompréhensible douleurs, Je fis un geste brusque, un faux mouvement pour être plus clair, mon corps s'envola en un instant, du moins ce qui en restait.

Je volais.

  
Je pensais m'être libéré de tout ça, se sentir voler et libre etc.. Mais non, je me suis sentis ensuite tombé, mon corps pris forme de boule de feu. Celui-ci se dirigeait tout droit vers les personnes qui me frappait. Et je crois bien que j'eu à ce moment là les secondes les plus longues de ma vie.. J'en avais conclu juste avant d'atteindre le sol, que ça allait se finir soudainement. Que je devais donc fuir, que je finirai ma vie en tant que réel meurtrier, un assassin.

Le drame arrive enfin. Arrivé au contact du sol. Une explosion retentie sur d'innombrables mètres. Tout ceux qui m'entouraient ne sont maintenant que sang et poussières. Les cendres volaient de part et d'autres, l'odeur du fer et de brûler  me prenant aux narines. 

Et maintenant... faire table rase, faire comme si je m'éffaçais.
Je reconstruisit instinctivement mon visage, et je décida de partir comme si rien n'était. J'étais donc désormais l'un d'entre eux, et me répondit à mes propres questions J'avais enfin compris qui j'étais et de ce que j'étais.
Que suis-je? : un porteur, pouvant manipuler la fumée et ses cendres...

[J'étais juste devenu quelqu'un hors du commun. Je devin à ce moment là : Un Porteur - appelé aussi par l'armée : Un artefact - ces créatures si craintes et rejetée pour cause de leur pouvoir mortel, qu'elles soient écartées de la société et qu'elles soient incapables de revenir à la normal. On l'est et on le reste, malheureusement... 

C'est donc une faction de personnes nommées « Les Nettoyeurs » qui sont chargés de débarrasser les villes de ces Porteurs. 

Le seul moyen de leur échapper, est de simplement de pas se faire repérer. Un porteur peut se cacher partout parmis vous. Il porte un masque fait par lui même. Son instinct devient "sauvage" à son changement de nature, et son visage est détruit. C'est pourquoi ils ont ces masques, leur permettant de fuir, toute leur vie.

Autrement un Porteur lors d'un sprint est incapable de se servir de ses jambes, et utilise donc son pouvoir par son instinct.]

C'est donc ça... Je partirai à leur recherche, et on détruira cette société pourrie.