Chapitre 1 première partis: éden

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Chapitre I : éden

C'est la musique à fond , la fumée qui pique les yeux et ces fameux vertiges dus à l'alcool et à la fatigue, et pourtant je danse comme une folle, seule, dans ce brouillard coloré de rose et de bleue.Mon verre remplit de Manzana en main, le regard dans le flou.Je remue ma tête dans tous les sens, je sens mes cheveux me caresser les reins.Quelle douce sensation de vide dans mon esprit, l'impression de n'être qu'une marionnette dans les mains de ce monde vide de tout sens.Mes oreilles bourdonnent et je sens mon rythme cardiaque se calmer.Je rejoins mon groupe d'amis aussi sur un banc en béton recouvert de tags.

? - Alors tu en as marre de te défouler .

Je ne regarde pas qui me parle, je m'assieds et finis mon verre . Je fixe le brouillard de couleurs devant moi et je regarde la foule se déchaîner au rythme de la musique.

Moi- J'ai mal à la tête .

? -Moi aussi

Je me relève.

Moi – On y vais .

Elle se lève  à son tour.

? -Je conduisis, je n'ai pas trop bu et puis tu verrais ta tronche un zombie.

On marcha vers la voiture, les bruits de graviers sous nos pieds me vrillent le crâne.Je m'installe au siège passager tandis qu'elle prend les volants.Je posai ma tête contre la vitre et regarde la foule s'agiter dans le nuage de couleurs et des lumières des lampadaires.Elle démarre et donne quelque coup de Klaxon pour signalait notre départ.

Moi – Merde Brice arête j'ai mal à la tête !

Brice – Excuse !

Elle s'éloigne de la fête et s'enfonce dans la ville .

Brice – C'était cool non .

Moi – Hum !

Ma tête va exploser, je n'aurais pas du autans  boire.

Elle rigole, se petit rire moquer qui me fait sourire.

Brice – Alors commence sa tu te bourres la gueule maintenant ? Tu voudrais pas draguer un peu .

Je la fixe un instant et me remets et regardent les étoiles.

Moi – Lâche moi tu sais bien que je voulais juste me vidais la tête.

Elle fit la moue

Brice – en la remplissant d'alcool.

Je fronçai les sourcils et me laissai bercer par le ronronnement dû moteur.

Le soleil se faufiler déjà entre mes cheveux qui me recouvrait maintenant le visage, j'ouvre les yeux doucement , les rayons me brulent, je le re-ferme et mets ma main devant avant de les rouvrir .Je me relève, le corps engourdit et la bouche pâteuse. Je tente déjà de me lever sur mes jambes qui me semble si lourde. Quelle heure il est ?J'entends des bruits de pas et de vaisselles posé sur une table. Ou je suis ?Je baille et sort de la pièce, j'ouvre la porte avec difficulté et chancelante .

? -Eh bien tu n'as pas fait semblant.

Cette voix je la connais que trop bien, je relève la tête qui semblait fasciner par la moquette . Je me sentis mal et je la regardai honteuse.

Moi – Madame Styvinty désolait.

Je joue avec mes doigts nerveuse.

Mme Styvinty – Oh non Zoey ce n'est rien voyons ce n'est pas ta faute si ma fille t'amène dans ces conneries et je t'ai déjà dit de m'appeler Céline .

Elle me gratifie d'un sourire. Et quand on parla du loup, Brice arriva toute joyeuse qui me vit et me tendis un gobelet, a l'intérieur il y avait une purée visqueuse verte ? Je tirai la grimace .

Moi – Ça pue le poisson ton truc.

Brice- Remède contre la gueule de bois.

Je le pris et après de forts encouragements de Brice et sa mère je l'avalai, dégueulasse. Je lui retendis le verre dégoutait, qu'elle se mit à laver.

Mme Céline – Alors ?

Mon mal de tête et ma nausée ne semblaient pas se calmer, je me sens vraiment mal et pourtant mes tremblements ainsi que m'a paniqué avaient disparu.

Moi – C'est vraiment dégueulasse ce truc.

Elles éclatèrent de rire.

Brice – C'est ta punition pour avoir trop bu.

Moi -Très drôle et puis je n'ai pas vomi.

Brice – Ce n'est pas vraiment une excuse ou raison et tu devrais aller te coiffer, la coiffure « j'ai faits la fête toute la nuit » vas pas plaire à ta mère.

Ma mère...elle va me tuer. Madame Céline voit mon inquiétude et tante de me rassurer.

Mme Céline – Je viens de l'appeler

Moi- Elle n'est au courant de rien...

Je blanchis soudainement et je sens que mon que mon corps va exploser.

Mme Céline – Je lui et dis que tu avais passé la nuit là ne t'inquiète pas .

Madame Céline vos êtes un ange.

Moi – Merci

Brice fronça le nez .

Brice – Vas te laver les dents tu pus.

Je grognai et me glissai dans la salle de bain j'entends Brice crier que je prenne sa brosse à dents.Il n'y a que trois brosses à dents, une verte simple et une bleue, je fixe celle rose avec des petits lapins blancs, j'hésite mais c'est tout Brice, je la pris .

Au bous d'une demi-heure j'étais comme neuve . Quand je reviens dans le salon il y a ma mère tranquillement installée sur le canapé noir en cuir discuter avec Céline .Les filles et les mères meilleures amies sa a des avantages. Les aux revoir fait ainsi que les reproches dans la voiture et deux heures plus tard me voila recroquevillé dans mon lit, les rideaux tirés à 3 h de l'après midis un dimanche et c'est même par les vacances.

Je repense à cette soirée et ces gens qui ne sont que là et que des amies pour les fêtes, c'était juste magique...sauf ma gueule de bois.

Le stupide bruit de mon réveil m'arracha a mon doux sommeil et ma mère ma hurla que j'allais me rater le bus et donc m'y voilai assise, les écouteurs cassés sur les oreilles, sereine.

J'adore prendre le bus, quitter ma ville pour en gagner un autre merveilleux, me mélanger dans la foule me fondre dans toute cette vie est pour moi une des meilleures façons d'exister.

Certaines personnes détestent ça et je me dis souvent qu'elles doivent avoir peur de paraître insouciante, inutile, je peux les comprendre c'est le cas de Brice « elle aime les gens quand ils ne sont pas là ».

Je souris à cette pensée et descends enfin arrivée, ces flots d'âme qui se déversent de ces boîtes de métal et d'esse, ce me rassurent, j'adore l'odeur des moteurs et du goudron, les bruits des voitures et des voix, oui j'adore la ville et jamais je ne pourrais la quitter.

J'arrivai dans la cour quand les sonneries nous ramenèrent à l'ordre et que nous nous rangeons dans nos rangs respectifs.

On commence à monter les escaliers en béton quand Brice arriva essoufflée et souriante .On entra dans la salle et on s'installa dans le rand su fond,prés de la fenêtre.C'était une belle journée. Une magnifique journée , un sentiment de bien être et bonheur me serra le cœur .J'étais heureuse je suis heureuse.

Brice s'assit a coté de moi dans un bordel pas possible.

Je rigolas aussi avant qu'il n'arrive accompagnée de filles, mon sourire se fissura et mon corps fut démolie. Brice sarrette de rire et le fusilla du regard .Je déteste les lundis.

Ou tu iras je seraisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant