Jean – Ça j'ai remarqué son oui ! Regarde ce qu'elle est devenu !
Quoi...je ne suis pas un monstre et si c'est le cas vous êtes semblable.
Toka – Je pouvais pas la suivre non plus chez elle ok ! Je suis désolé et je te signale que moi non plus je voulais pas la mêler à tout sa et la transformer en phénomène de foire.
Deux secondes sa veulent dire qu'elle était la juste pour me surveiller, me protéger .
Et ils se connaissent .
Je profitai d'un bref moment de silence pour poser la question.
Moi- Vous vous connaissez .
Jean me jeta un coup d'œil mais ne dis rien.
Toka – Oui, on se connaît depuis qu'on est modifié.
D'accord...Je me recroquevillai sur moi-même, ma tete tambourinait .
Jean -Dors ça va être long.
Je sens sa main ma caressait la joue et doucement je m'éveillai dans le monde des songes.
Quand je me réveillai il fessait jour et nous rouions encore.
Jean- Salut beauté.
Jean me regardait souriant, je lui répondis avec une voix endormit
Moi-Salut
Il s'arrêta à un feux rouges et me donna un paquet de gâteaux
Jean-Ton petit déjeuner, tu m'en file un please.
Il repartit et je lui en donnai un .
Je me retournai et voient Toka assoupis, une couverture la recouvrant, je souris à cette vue mais il disparut bien vite en me rappelant des paroles de Jean, je me retournai et regardai la route.
Moi- Toka n'a jamais été réellement mon amie. Je veux dire elle m'a parlé seulement pour pouvoir être avec moi et me protégé.
Jean-Non
Je le regardai blasé et reposai le paquet de gâteaux.
Jean-C'était bien plus que sa, c'est sur, quand elle te regardait elle souriait, elle est heureuse avec toi. Elle a appris à te connaître et t'a accepté à ta juste valeur.
Un moment de silence ponctua son discourt, le temps que je clarifie mes idées.
Moi-Tu m'as manqué
Il sourit
Jean-Toi aussi tu m'as manqué...
Mais je ne le laisse pas continuer
Moi-Je me suis sentis seule.
Les minutes passent, sans que un seuls mots soit prononcées.
Jean-Tu sais on s'aimer bien mais on se connaissez pas t'en que sa.
Je ne répondit pas et regarda le paysage.Il n'insista pas.
Jean-On est presque arrivé.
Moi-On va ou ?
Jean -La ou tu ne craindra rien...ou presque.
Moi-Ou presque comment sa ou presque ?
Toka -Eden ne contrôle pas totalement sa caractéristique.
Je me retourne Toka me regarder sans un mot, elle le connaît aussi ?
Je n'osa pas demander pour Eden.
Je donne les gâteaux a Toka qui les engloutis.
Quand j'y pense je n'aurais jamais pensé vivre sa un jour, qui aurai pu l'imaginer ?
Meme si je suis avec Jean et Toka même si je sais que je vais revoir Eden je ne peut pas m'empêcher d'avoir peur.
On entra dans une ville a l'allure moderne et chic, elle semblait immense.
Moi-C'est ici ?
Jean -on est plus très loin oui.
Elle trépigne d'impatience, je calai mon nez sur la vitre et regardai à l'extérieur, je m'attends sûrement à voir une ville futuriste car la banalité des gens et des bâtiments m'étonna.
Tout ressembler à ma ville et pourtant tout était différent.
Il tourna dans des ruelles et s'arrête devant un mini parking vide, les places dessinaient à la peinture blanche faisait ressortir la couleur grise des murs.
Une fois garées ont dû descendre et marcher le long d'un mur de béton, Jean sortis un gros sac du coffre.
Les murs étaient coupé par des portes et des fenêtres qui sembler pourris, un long et malaisément labyrinthe, on déboucha finalement sur une porte dans un cul de sac.
Jean- On y est! On est a l'écart et ces mille fois mieux ainsi, ne t'inquiète pas c'est très douillet.
Toka ouvris la porte qui n'était pas verrouiller.
Les pièces étaient plongé dans l'obscurité et le silence
Elle marcha sûrement et s'écroula sur ce qui semblait être un canapé, il alluma la lumière et lança un joyeux :
-Bienvenu chez toi !
Un bruit se fit entendre a l'étage.
Jean hurla
-Eden on est la !
Hein...Eden ...mais je suis pas prête psychologiquement moi, pourquoi il crie comme sa ...
Je regarde Toka paniquer elle me sourit en guise d'encouragement
Il va descendre ! Des bruits de pas résonnèrent et le bruit d'une porte que l'on claque puis plus rien.Je fixe les escaliers en bois, je m'attend a y entendre un bruits de craquement mais rien , le vide.
Jean vide le sac sans un mot, il me lance une poche en plastique :
-Je t'est acheté sa .
Il disparut dans la cuisine.
Toka- Viens je vais te montrer notre chambre.
Je la suivit sans un mot, on gravit les marches, je ne peut pas contrôler les tremblements qui secouent mes jambes.
On passa devant une porte Toa me fit signe en direction de la porte.
-La chambre de Jean et Eden.
Eden est la, derrière cette porte, il est la .
Elle ouvra une autre porte qui était dorénavant notre chambre.
Il y a deux lits simples, deux placards et un grand miroir.
Toka sauta sur un des lit qui devait etre le sien, je m'appropria l'autre.
Toka – Je vais a la douche.
Elle sortis.
Je fut tenter de la suivre ou de descendre en bas mais la peur de voir ou croiser Eden me paralysait.
J'ouvris alors la placard a coté de mon lit qui était vide, après avoir pliées soigneusement mes habits je les rangea a l'intérieur.
J'entendis le bruit de la douche après quelques minutes elle re-rentra a l'intérieur de la chambre.
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Ou tu iras je serais
RomanceJe n'aurais jamais cru te revoir un jour et que je t'aimerais alors plus que toute ses fois ou tu m'ignorais.Je n'aurais pas cru non plus qu'on changerais , que je deviendrais un monstre pour toi .Je te hais comme je t'aime . Eden ...