Avery :
Il faut qu'on se voit, en vrai.Moi :
Je sais oui, ça devient une nécessité pour moi.Avery :
Pour moi aussi. Je n'en peux plus. J'ai besoin de te toucher, de t'embrasser de te sentir...
Il m'est carrément impossible de ne plus penser à toi Colin.Je ressentais exactement la même chose. Jamais je n'avais fait la connaissance d'une fille telle qu'Avery et je voulais pouvoir démontrer mon amour pour elle, d'autant de façon possible.
Moi :
Putain, je dois te voir.Avery :
Je peux venir à Londres après tout ça, après le bac.Moi :
Ou alors je peux venir à Paris.Avery :
Non, tu sais bien que mes parents sont plus laxistes que les tiens.Moi :
T'es sûre que ça ne te gêne pas de faire le déplacement ?Avery :
Pour toi, non.Moi :
Mais je connais déjà Paris.Avery :
Et tu me feras visiter Londres.
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Distance
ContoLorsqu'un amour anormalement intense se construit sans même un touché, et que tout s'arrête...