Voilà la suite ~ Je suis hyper inspirée ces temps ci !
J'ai commencé une deuxième fanfic aussi en parallèle ~
J'espère que ce que j'écris plaît à ceux qui lisent ^^
Mes chapitres ne sont pas trop longs ? Ils font tous plus de 1000 mots à chaque fois ! Une fois que j'ai commencé à écrire j'arrive plus à m'arrêter XD
Aussi est-ce que l'image d'un Yixing un peu bad boy avec le style que je lui ai collé vous plait ? ^^
-------------------La douce sonnerie de mon réveil se diffusa à travers toute la pièce.
Je peinais à ouvrir les yeux, les frottant lentement avec mes mains. Ma chambre était plongée dans le noir le plus complet.Soudain un flash. Junmyeon. Dans mon rêve.
J'avais rêvé de lui ?
C'était bien lui au moins ?
Qu'est-ce qu'il faisait ?
Dans la plupart de mes rêves, les personnes s'y trouvant n'avaient pas de visage quand j'essayais d'y repenser. Ils avaient un corps normal et tout ce qui va avec. Mais pas la partie la plus importante pour moi.C'était alors difficile de se rappeler qui avait fait ça à tel moment.
Je pris mon téléphone en désactivant le réveil, les yeux toujours mi-clos. Je serais bien resté quelques minutes de plus au pays des rêves, sous ma couette encore tiède.
Sans plus tarder, je mis un, puis deux pieds au sol. Le carrelage froid me donna des frissons courrant le long de ma colonne vertébrale.
Mes chaussons mis au pieds, je me dirigeais lentement vers la cuisine. Mon ventre appelait à l'aide depuis pas mal de temps, je crois et il fallait que je dévore quelque chose.En fouillant un peu, j'avais fini par me prendre des petits pains au lait avec une énorme couche de confiture à la fraise.
"Oh putain... Hmmm...oh la vache... C'est trop bon.."
Je venais d'avoir un orgasme culinaire. La bouffe y'a que ça de vrai.
Dormir, manger, jouer. Ça, c'est la vraie vie. Y'a la guitare aussi. Et la danse. La cuisine aussi. La famille aussi, très important. Le Japon aussi j'adore.
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fuck you but thank you [ѕυlay]
Fanfic« A-amis ?, sanglotait Junmyeon. - Ben... Oui ! Amis ! lui dis-je de mon plus beau sourire, laissant apparaître ma fossette. - M-merci ! Il me prit dans ses bras, nicha son visage dans mon cou, humidifiant de ses larmes ma chemise blanche. J'étais s...