Chapitre 1

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J'avais annoncé la veille a ma famille, que j'avais décidé de m'engager dans la marine, ça n'avaient pas surpris mes parents sachant que je voulais depuis toujours être matelot et puis, se n'est pas la guerre, du moins pas encore, c'est vrai que vues les tensions actuelles entre les plus grandes puissances mondiales, ont pourrait se demandés si demain il n'y aura pas la guerre, et c'est ce qui inquiètes le plus mes parents.

Au fond je les comprends, voir partir un enfant que tu as élevé, et aimé de toute ton âme, ça doit faire un choc, mais ma décision était prise, demain je partirais pour mon premier jour de formation a la marine nationales de Bordeaux.

Les pays ont beaucoup évolués depuis le début du 21em siècle, les frontières sont presque les même, seule la Russie a récupérée l'Ukraine et la Biélorussie, il faut également dire que le régime russe c'est modernisé mais est devenu plus agressif surtout en vers les États-Unis d'Amérique. Les villes ont également prisent de l'autonomie, par exemple, Bordeaux a la charge de toute la partie ouest de la France partant des Pyrénées au pays de la Loire et en comptant certaines régions du centre comme l'Auvergne.

Ce sont a présent des petites capitales qui dirige un quart de la France chacune. Autres exemples avec Paris qui dirige la partie Nord, Lyon qui dirige la partie est, et Nice qui dirige la partie sud du pays, cela permet une plus grande égalité dans la réparations des pouvoirs d'une nation, presque tout les pays du monde sont gouvernés de cette manière a présent.

Il était 7h30 du matin, j'étais couché dans mon lit et je me réveillé plus ou moins paisiblement en sachant que aujourd'hui s'était le grand jour. Je me redressais et m'assiais sur le bord de mon lit en me disant: "Est-ce vraiment ce que je veux ?", la réponse était évidement "oui !", je rêvais de toutes ces heures a contempler la mer du pont du navire.

Je me leva et me précipita dans la salle de bain tel un chien sur son maître {Élégant n'est-ce pas ?} car le temps que j'avais pris pour me levais de mon lit était bien supérieur a se que j'avais envisagé. Je m'habilla et descendu dans le salon où étaient réunis toute la famille en train de prendre leur petit déjeuner, moi pour ma pars je ne déjeunais jamais, si je le faisais, j'avais la désagréable impression d'explosé.
Il étaient là à me regarder comme si je partais direction la morgue.

Il était 9h00 quand j'ai du partir, je disais "au revoir" à toute la famille, un pars un , d'un air hautain, je n'étais pas très attaché a ma famille, du moins pas a la vie de famille, ce n'est pas pour autant que je ne les aimais pas, et ils le savaient parfaitement bien.
En sortant de la maison avec mon père, qui allait m'emmener a Bordeaux, j'étais enfin libéré de cet prison familiale, pour beaucoup d'adolescents ou de jeunes adultes, se n'est pas l'endroit qu'ils détestent le plus mais pour moi, la maison était l'endroit à éviter, pour des raisons que moi même, je ne connaissais pas.

Nous étions dans la voiture et mon père démarra, nous prîmes la route A82-12 en direction de Bordeaux, dans le véhicule aucun bruit à par celui du moteur et des voitures qui passaient à toute vitesse ne venait perturber cet atmosphère silencieuse et pesante, nous arrivions enfin à Bordeaux et j'apercevais le bâtiment de la marine nationale, là où j'allais être formé c'est deux prochaines semaines avant de partir en mer, effectivement, avant de partir il faut d'abord connaitre les bases.

La bâtisse était grande et spacieuse, avec une architecture à mon avis du 17-18em siècle. Je descendais de la voiture et fis mes adieux à mon père, il me prit dans ses bras et me dis:

-je te demande de faire attention à toi, tu me le promet ?

Je n'est pas répondu et suis rentré dans le bâtiment. L'intérieur était joliment décoré et orné de médailles sur tout les murs, il y avait également des immenses rideaux bleu et blanc qui cachait du soleil, je m'approchai de l'accueil et demanda à la secrétaire:

-excusé moi, où se trouve la réunion pour les jeunes recrues ?

Elle me répondit gentillement que s'était au 4em étages, salle 22-3, et bien sûr sans ascenseur. J'arrivais enfin a la salle 22-3 avec un mal de jambes, je rencontrai plusieurs autres jeunes adultes qui attendaient devant cette salle assient sur des chaises, elles étaient toute prise alors j'ai attendu debout en m'accolant au mur. Un homme ouvrit la porte de la salle sortit et nous dit:

-entrés matelots !

Voilà le premier chapitre de mon écrit, j'espère qu'il vous a plus et qu'il vous a donnez envie de lire les prochains chapitres.

Le Journal De Bord D'une Destinée "Océan De Saphir" Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant