Qui aurait cru ?

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La fin des cours avait sonné j'étais presser de rejoindre theo car il sortait d'hôpital et on passerait la nuit ensemble, je quitte le lycée. Dans la rue j'avait une envie de courir vers l'hôpital tellement j'étais presser de le voir, ces dernières semaines il me manquait affreusement. Devant le grand hôpital je voit des camions de pompier passez devant moi, il venait sûrement déposer des blessé ou partir vers la caserne. Quand il passe près de moi l'homme me regarde longuement, il me disait vaguement quelque chose. Je l'oublie bien vite et monte vers la chambre de theo les larmes au yeus de joie, en ouvrant la porte un silence de mort dans la chambre. Je ferme les yeus me calmant une légère panique m'envahit je fait un pas qui me demanda tellement d'effort puis un autre, j'en fit quatre encore avant d'arriver devant son lit. Ces parents étaient assis sur deux chaises en face du lit de leurs fil aucun sourire et aucune couleur sur leurs visage, des nouvelles machines étaient arrive pendant la nuit. Theo était branché à tout sorte de machine une fesait un bip assez régulier avec raideur je la regarde, c'était une courbe qui montait et descendait à chaque bip.

^-^-^-^-^-^-^ (un peu comme sa)

Il avait dans sa bouche un tuyau qui le reliait à une machine près de la fenêtre je reste de longue minute ne comprenant pas ce qui se passait, la porte s'ouvre sur un petit garçon et une fille de a peut près mon âge. Ils pleuraient tous les deux et courent au bord du lit pour toucher ou secouer doucement theo. Leurs paroles raisonnairent longuement dans ma tête.

Theo.. accroche toi ! Écoute nos parole... tu n'a pas le droit de partir et de nous abandonner.

Ces la ou la vérité me frappe de poing fouet la gorge nouée je réussit à demander inquiète à ses parent:
- que...que... que lui est t'il arriver ??
Sa mère leva les yeus vers moi il n'y avait plus aucune lueur ses yeus bleu étaient devenut terne, des cernes énormes étaient dessiné sous ses yeus. Elle ravale sa salive et elle dit:
- un arrêt cardiaque fulgurant plus un cancer qui est arrivé en quelque jour...
- pour le cancer quand il m'avait dit hier que tout allait bien... il me mentait vous aussi vous m'avez menti ?!
Dit je en montant le ton elle se leva et pose sa main sur mon épaule et elle me répond:
- il m'a fait promettre que je ne devrai rien dire jusque quand il serait dans cette état... les médecins disent qu'il moi er pendant la nuit je suis désolé.
Je crut recevoir une balle dans le coeur mon souffle devient saccadé mes jambes semblaient être devenut de la compote, je glisse à genou au sol ma main devant ma bouche. Je ne pouvait pas y croire.
Ils me font marcher ces une blague... dites moi que ces une blague...
Je n'arrivait pas à me faire réaliser ce qui lui arrivait mon esprit ne voulait pas y croire et mon coeur non plus, sa mère et son père me secouairent pour essayer de ramener mon attention vers eux. Un flots de larmes coulent sur mes joues et j'avait une envie de crier mon désespoir, je prend de grande foulée j'avait l'impression de ne plus pouvoir respirer. Un grand verre d'eau atterrit sur ma figure je secoue ma tête comme un chien, puis regarde son père dans les yeus. Les larmes coulaient toujours sur ces joues aussi sa coulait et chez sa femme aussi, le cri ne put se retenir j'avait compris que c'était que la vérité des chose je cria à plein poumons son nom et mon désespoir:
- THHHHHHEEEEOOOOOOOOOO !!!
Puis je mets mes bras autour de mon ventre et serra en répétant inlassablement son nom espérant que cela le reveillerait, mais bon je ne suis pas dans un comte de fée. Je suis que dans la vérité la mort venait en douceur le récupéré et l'amener au cieux au paradis. Les deux enfants à côté du lit pleurait aussi en appuyant leurs bras sur le lit, cela dura trente minute pour les autres je prit au moins trois heures avant de commencer à me calmer. Et on n'avait pas vue que pendant ces trois heures de chagrin le coeur de theo c'était à tout jamais arrêté de battre. Un médecin arrive dans la pièce avec son stagiaire et quand il nous vit encore au sol il demanda:
- vous avez compris qu'il était...
- Morts ?? Nous venons tous juste de voir la... machine.
Dit je en tremblant longuement d'effroi et recommenca a pleuré un énorme plomb vient me bloquer le coeur, je n'avait plus de souffle je mets une main sur mon coeur. Je tousse essayant de reprendre mon souffle au bout de quelque seconde je tombe violament au sol, puis encore quelque seconde plus tard je tombe dans les pommes.
Theo...theo...theo...theo....theo....theo...
Ces mots tournaient dans mon esprit sans rien d'autre avec je me réveille avec grande difficulté, ma bouche était pateuse mon regard était tout flou. J'avait chaud et froid sa alternait tout les quinze seconde environ une lumière virvoleta devant mes yeus, je gémit et essaye de demander à la personne d'arrêté. Impossible ma bouche ne voulait pas s'ouvrir je n'avait plus le contrôle de mon corp, je me sentit dépassé et mon esprit arrêté pas de me faire tourner ce nom dans ma tête.
Theo...theo...theo...theo...theo...theo...
J'avait envie de hurler de tristesse et de rage de n'avoir plus rien faire pour lui sauver la vie, je ne lavait pas mérité sa protection quand Thomas m'avait rendue visite. Et voilà se qui m'en coute je le perd à tout jamais j'ai cette impression depuis trois jours, que ces moi qui aurait du mourir dans se lit à sa place. Je m'en voulait tellement je n'avait et n'aurait jamais du l'aime ou même mérite son amour envers moi, car au finale je ne lui ait offert que la mort.

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Theo... a rejoind les cieux sakura commence a perdre la raison et des pensée noir ne tardera pas à envahit tous ces pensée...

Bye-bye ♡♡

Un Amour IncassableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant