Partie 4

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  Puis d'un coup le téléphone me réveilla, *je me rappelle très bien de cet appel qui m'a détruit ma vie* je n'ai pas eu le temps de voir le numéro j'ai vite raccrocher :

 Moi : Allo oui ?

 ...... : *en pleurant* Allo, Rehil hadi khatltek a rehil ! {c'est ta tante rehil !}

 Moi : Oh ! Qu'est ce qu'il y'a pourquoi tu pleures khelti {tante}

 Ma tante : Bebek {ton père}, est mort Allhirehmo {Que Dieu aille son âme} crise cardiaque

     Et puis là, le Big choque, je n'oublierai jamais cette nuit là, j'avais jeté mon téléphone et j'ai poussé un gros cris je commençai à pleuré, je criais, je m'arrachais les cheveux , Meissa et Jedda sont venus 

   Eux : Qu'est ce qu'il y'a ?! 

   Moi : Ah Meissa *en pleurant* baba..baba..

   Meissa : *les larmes au yeux* Malo baba malo ? {qu'est ce qu'il a papa qu'est ce qu'il a ?}

   Moi : Il est...m..o..r.t... 

    Et la Jedda et Meissa commencèrent à crier à s'arrachais les cheveux, à pleurer, toute la tess pouvais entendre nos bruits, je n'ai pas pu dormir la nuit, oh papa hbibi {chéri}, tu me manque déjà , au début Yemma, après toi, reviens s'il te plaît ! jétais alongée sur son lit, avec nos photos, mais bon c'est la vie, mon père est mort, c'est le mektoub, j'ai finis par dormir, mais au cours de la nuit je me suis rappelé la mort de papa et j’ai pleuré du début de la nuit à l’aube, je me suis rendu compte que chaque jour qui passe est un pas de plus vers notre tombe.. et nous ne sommes jamais sûr de pouvoir faire un autre pas le lendemain, ne soyez pas paresseux pour effectuer vos prières. Il y a des millions de personnes qui souhaitent revenir à la vie, afin qu'ils se prosterne devant Allah de les sauver du feu de l'enfer. Sachez que la mort ne blague pas , elle t'emporte que tu sois riche ou pauvre ! Arabe Blanc ou Black ! Dans ce monde, tu peux négocier avec tout le monde sauf avec l' Ange de la mort.

   Je ne suis pas partie au lycée pendant une semaine, j'était toujours sous le choque, Intissar était toujours là pour moi, elle m'écrivait les leçons et me les expliqua, Henri venait aussi me voir, il a un grand coeur malgrès tout, il me soutenait m'aidait... je commençais à m'attacher de plus en plus à lui, il me rendait heureuse et joyeuse, Meissa était dans une situation pire que la mienne, Jedda aussi, quant à moi ? j'avais des cernes et des poches, des yeux gonflé, des cheveux malcoifés, j'était pire que moche, je ne me regardais plus dans le miroir, quand je me sentais seule, je faisais mes salats et je lisais le coran, ça me calmait.

   Les jours passèrent tout était bien elhamdoulilah, j'ai reppris mes cours , Intissar étaient toujours là pour moi, Henri se rapproche de plus en plus de moi, il m'avait invité d'aller voir sa mère khelti {tante} Melika c'est une algérienne Mashallah ♥ une perle cette femme, on s'est bien entendu, je l'ai trop aimais, elle voulait que je passe la nuit chez elle, j'était toute génée, car Henri sera là aussi, j'ai finis par accepté, elle est une femme douce et forte ! une femme en or, elle me racontait sa vie, son divorce, moi je ne faisais que l'entendre et admirait son expérience, la pauvre elle s'est marié avec un français qui l'a trompait, ils vivaient en Suede, et après le divorce elle est venue vivre à Paris, Henri n'est pas du tout musulman, il comprends l'arabe. La nuit je n'ai pas pu dormir, à chaque fois je me rappelle Papa {Ellah irehmou}, je suis sortie au jardin pour respirer un peu, je me suis installé sur la balançoire, tout à coup j'apperçois Henri qui se dirigeait vers moi et me dit : 

   Henri : Que fais tu ici ? il fait froid viens on entre ! 

   Moi : non c'est bon ... 

   Henri : Bon, comme tu veux ...

     Il est parti, et revenu avec une couette et me couvera, il ne faisait que regarder dans mes yeux, c'était romantique, à ce moment là , j'était sure que j'était amoureuse de Henri, c'est lui l'homme de ma vie ! Le lendemain, en rentrant à ma maison je vis ...

Chronique de RehilOù les histoires vivent. Découvrez maintenant