La Prison

Chapitre 5: la fille

Au même moment, Juan s'apprêtait à donner son verdict à Myrode, quand une idée lui vint à l'esprit. La veille il s'était moqué ouvertement d'un Gardien de La Prison et il n'y avait pas eut la moindre remontrance. Cela signifiait que tant qu'il n'avait pas donné son verdict, Myrode le protègerait. C'est pour cela qu'il décida de donner son verdict que à la fin de la semaine.

C'est alors qu'un Gardien de La Prison arriva, il tirait une fille d'une vingtaine d'année par les cheveux, elle se débattait avec une telle hargne qu'il avait bien du mal à suivre. Le Gardien de La Prison la jeta dans la cellule de Juan qui était étonné par sa beauté. Elle avait les cheveux aussi noirs que l'Univers, ses yeux étaient d'un bleu océanique, elle était de taille ordinaire sa peau était d'un rose pale ordinaire mais aux yeux de Juan cette fille était extraordinaire. C'était la fille de ses rêves. Au moment où la fille toucha le sol, Juan s'indigna, il courra vers le Gardien de La Prison, bien que ce dernier faisait le double du gabarit du jeune homme, celui-ci le plaqua à terre, l'étouffa avec la chaîne qui nouait ses poignets, et l'assomma avec ses poings. C'est alors que quatre gardes arrivèrent, Juan ne pouvait plus fuir ses chaînes étaient trop lourdes. Il se retourna, assomma le premier, tua sur le coup le deuxième, fit tomber le troisième, et maîtrisa le quatrième. Quand le troisième Garde se releva, il voyait Juan maîtriser avec incroyable facilité le quatrième gardien, il fuit donc sans demander son reste.

Il rentra dans sa cellule:
-Ça va? demanda Juan,
-Oui merci. Pourquoi as tu fais ça? lui répondit la fille,
-Je ne sais pas peut-être parce qu'il le méritait.
La fille rigola,
-Comment tu t'appelle?
-Jade et toi?
-Juan. Tu es vraiment ...
C'est alors qu'une vingtaine de Gardien de La Prison, qui faisaient un vacarmesi assourdissant que Jade n'entendit pas la fin de la phrase de Juan,arrivèrent en escortant Pierrel jusque dans sa cellule. Dès qu'ils virent cescinq gardes par terre, ils demandèrent la personne qui avait commis cet acte,mais en réponse ils furent hués par tous les prisonniers. Pierrel était unKroulquois ordinaire: il était froid, et tout ce qu'on lui demandait était unemenace mais il semblait être un peu plus gentil avec Juan.